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Trouvez le Google Pixel 8a au meilleur prix grâce à ce guide d’achat

Le Pixel 8a de Google est la version abordable du Pixel 8 qui vient d’être officialisé le 7 mai 2024. Le smartphone représente un équilibre de prestations permettant un tarif officiel de 549 € plus contenu que celui des variantes plus haut de gamme, les Pixel 8 . Que ce soit les performances, l’écran, l’intelligence artificielle ou  même ses talents en photo, le Pixel 8a propose à moindre prix une expérience quasi équivalente dans le cadre d’une utilisation quotidienne.

Le tout avec une expérience Android pure, et l’accès aux dernières nouveautés de l’écosystème avant l’ensemble de la concurrence Android. Bien sûr, même en l’état, le tarif du Pixel 8a est déjà très agressif – on ne trouve pas ce niveau de prestations avec cette expérience logicielle aussi épurée facilement chez la concurrence. Toutefois, Google laisse les revendeurs moduler le prix à la baisse au fil des mois.

Ce qui vous assure de trouver des offres alléchantes.Pour cette raison, nous vous proposons ce guide pour acheter le Pixel 8a de Google au meilleur prix, qui est mis à jour fréquemment pour vous assurer de trouver les meilleurs tarifs du Pixel 8a sur le web :

Où acheter le Pixel 8a de Google ?

Comme son prédécesseur, le Pixel 8a est distribué chez Fnac-Darty, Boulanger, Orange, SFR, Bouygues, Auchan, Carrefour, Cdiscount et Amazon.

Guide pour acheter le Pixel 8a de Google

Le meilleur prix pour acheter un Pixel 8a sur le site officiel de Google est de 549 € mais au fil du temps on trouve des tarifs plus bas chez les revendeurs tiers. Pour faciliter vos recherches, nous proposons le tableau de comparaison des prix du Pixel 8a. Voici le tableau complet des prix du Pixel 8a, pour la France :

Google Pixel 8a 128 Go au meilleur prix Prix de base : 549 €

Galaxy A15 128 Go au meilleur prix Prix de base : 219 €
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Les points forts du Pixel 8a de Google

  • Processeur Google Tensor G3 avancé pour des performances exceptionnelles
  • Double caméra de 64 MP et 13 MP offrant une qualité d’image supérieure
  • Résistance à l’eau et à la poussière avec une certification IP67
  • Un prix attractif pour une fiche technique robuste

On le souligne, ce modèle est presque identique au Pixel 8, à quelques éléments près. Cependant, pour que le prix Pixel 8a soit plus abordable, Google a fait quelques concessions qui ne devraient toutefois qu’importer très peu à la plupart de ses utilisateurs. L’appareil est vraiment très proche de ses pendants premium comme le montre notre dossier sur le Pixel 8a.

Pourquoi acheter le Pixel 8a de Google

Avant d’acheter le Pixel 8a, on vous propose de poursuivre la lecture qui vous permettra de découvrir tous les avantages de ce smartphone, que ce soit au niveau de la fiche technique ou de ses fonctionnalités. Les fondamentaux sont cette année encore les mêmes : en plus d’avoir le même processeur que le Pixel 8, le Pixel 8a propose aussi les mêmes fonctionnalités au coeur de l’expérience utilisateur. C’est notamment le cas de ses capacités en photographie, le tout avec un design presque identique.

Performances et photos : presque tout du Pixel 8, sauf le prix

Google Pixel 8a Main
© Google

Malgré son prix plus abordable, le Pixel 8a embarque exactement le même processeur Tensor G3 que les versions haut de gamme, le tout pour des performances au top, que ce soit au niveau de la fluidité de l’interface, son GPU pour profiter des meilleurs jeux sur le Play Store, ou de ses enclaves IA qui permettent à la fois des fonctionnalités d’IA générative en local – et des rendus photo exceptionnels.

Sur ce modèle, le processeur Tensor G3 est combiné à 8 Go de RAM et 128 Go ou 256 Go de stockage. De plus, le smartphone abordable profite aussi de la puce de sécurité avancée de Google – qui vous assure notamment un chiffrement incassable dans les cas d’utilisation qui en tirent parti, de la sécurité Android au chiffrement bout en bout dans vos conversations privées, en passant par Google Pay.

Sur le dos, le Pixel 8a est doté d’un ensemble de capteurs photo avancé : un capteur principal de 64 mégapixels et un ultra grand-angle de 13 mégapixels. À l’avant, on a un capteur de 13 mégapixels pour les selfies, qui permet un déverrouillage par reconnaissance faciale.

En fait sur ce point le Pixel 8 de base un capteur selfie de moins bonne définition (10,5 Mp). Pour être plus précis, la définition de tous les capteurs du Pixel 8 est inférieure, mais les capteurs de ce dernier captent un peu plus de lumière grâce à des pixels plus grands. Selon nos tests, la différence de rendu est toutefois largement compensée par l’IA du smartphone. On ne remarque pas grande différence dans la plupart es scénarios.

L’écran du Pixel 8a, du grand spectacle le tout en 120 Hz

L’écran du Pixel 8a ressemble à s’y méprendre à celui du Pixel 8. La seule vraie différence est une dalle un tout petit peu plus compacte, de 6,1″ contre 6,2″ pour le Pixel 8. Au-delà vous ne faites ici pas le moindre compromis : le Pixel 8a est bien OLED, un must pour le rendu des contrastes et des couleurs. Il a une définition FHD, et est doté du taux de rafraîchissement 120 Hz – quand de nombreux concurrents dans cette catégorie de prix se contentent de 60 Hz ou de 90 Hz en 2024.

Autonomie et recharge rapide du Pixel 8a

Le Google Pixel 8a est également excellent si vous avez besoin d’autonomie. Il peut tenir sans forcer plus de 24 heures, voire davantage grâce au mode d’optimisation de l’autonomie particulièrement avancé d’Android sur ces modèles.

La recharge est très rapide sur le Pixel 8a : le standard PD3.0 est de la partie, avec en prime le petit luxe que représente la recharge sans fil. Elle est toutefois plus lente, à 7.5W. Cette fonctionnalité est souvent omise dans la catégorie chez la concurrence.

Où acheter le Pixel 8a moins cher en France en 2024 ?

Google Pixel 8a
© Google

Vous l’avez compris, le Pixel 8a est un rapport qualité-prix difficile à trouver chez la concurrence. Qui plus est expurgé de bloatware et autre surcouche que certaines marques maîtrisent plus ou moins bien. Voici donc sans plus attendre les meilleures options pour acheter le Pixel 8a au meilleur prix en France.

Actuellement, la meilleure offre pour le Pixel 8a 8/128 Go est de 549 € chez Google et la plupart des revendeurs – on vous propose d’ajouter cet article à vos bookmarks et d’y revenir régulièrement pour trouver en un clin d’oeil le meilleur prix du Pixel 8a.

Voici un tableau comparatif des prix du Pixel 8a de Google qui liste de façon actualisée les meilleurs tarifs disponibles en France.

Google Pixel 8a 128 Go au meilleur prix Prix de base : 549 €

Galaxy A15 128 Go au meilleur prix Prix de base : 219 €
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Huawei lance la Watch Fit 3 : un rapport qualité-prix imbattable dans les montres connectées

Huawei vient de profiter d’un événement à Dubaï pour lancer une toute nouvelle montre connectée et une version Space Edition de sa Huawei Watch 4 Pro. La montre est dotée d’un écran AMOLED 1,82″ avec une densité de pixels lui permettent d’afficher des images en HD. Sa fiche technique continue avec le système TruSleep 4.0 dédié à l’analyse approfondie de la qualité de votre sommeil, ainsi qu’une suite de capteurs comme le suivi du rythme cardiaque et de la saturation en oxygène (SpO2) regroupés sous l’appellation TruScreen 5.5.

Le design est extrêmement bien fini – avec un look carré à bords arrondis comme les dernières Apple Watch. Elle est très fine avec une épaisseur de 9,9 mm mais aussi légère : seulement 26 grammes. Le casing, disponibles en finition argentée, dorée ou rose est en alliage d’aluminium et tout a été sélectionné pour délivrer un look particulièrement élégant. Jusqu’aux bracelets disponibles, de conception très premium, dont quelques options en métal ou en cuir. Outre tous ces aspects, c’est une montre dédiée à l’activité physique et au “manger mieux”.

Huawei marque encore des points dans les montres connectées

Pour vous encourager à des comportements bénéfiques pour la santé, Huawei propose une application, Stay Fit, qui regroupe une base de données alimentaire élargie et une fonction d’analyse nutritionnelle pour aider les utilisateurs à équilibrer leur régime alimentaire et leur activité physique. Des Entraînements intelligents complètent le tableau pour vous mettre en mouvement, quel que soient vos habitudes et objectifs.

Au-delà de cette nouveauté, Huawei a également lancé une Watch 4 Pro Space Edition. La différence avec le modèle déjà disponible ? Des matériaux “de qualité aérospatiale” et un design qui décline l’innovation technologique de la tuyère des fusées, dite Laval. On retrouve au centre du cadran par défaut un croquis animé et interactif de cette tuyère. Le tout sous du verre en céramique nanocristalline.

L’ensemble de capteurs est une évolution de celui que l’on trouve dans la Fit 3 : le TruScreen 5.5+. La fonction Health Overview 2.0 permet des mesures simultanées avec un rapport détaillé de vos indicateurs santé en 60 secondes. Le tarif de la Watch Fit 3 est particulièrement intéressant, puisque la montre est disponible en France au prix de 159,99 € seulement. Quant à la Watch 4 Pro Space Edition, il faut compter tout de même 639,99 €.

Pour toute commande d’une Watch Fit 3 jusqu’au 7 juillet 2024, une paire de FreeBuds 2 est offerte. Quant à la Watch 4 Pro Space Edition, elle s’accompagne d’une paire d’écouteurs plus premium, les FreeBuds 5, pour toute précommande jusqu’au 5 juin 2024.

  • Huawei lance deux montres connectées depuis un événement à Dubaï, la Watch Fit 3 et la Watch 4 Pro Space Edition.
  • La première est un rapport qualité prix assez imbattable sur le marché, tandis que la seconde déroule des prestations ultra-premium.
  • Les deux montres sont disponibles en France.

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Prise en main des nouveaux iPad Pro et iPad Air 2024, notre décryptage complet

C’est ce qui s’appelle une sacrée coïncidence. Il y a quelques jours, le cabinet IDC annonçait que le marché des tablettes était reparti à la hausse au premier semestre 2024, après de longs mois de disette. Certes, l’embellie est légère, mais le secteur n’en avait plus connu depuis le début de l’année 2021.

Bien que cela soit rassurant, ces résultats sont un peu l’arbre qui cache la forêt. En effet, rien qu’entre 2022 et 2023, le chiffre d’affaires des ventes d’iPad a chuté de 25%. En même temps, l’an dernier, Apple avait quelque peu surpris son monde en ne sortant aucune nouvelle ardoise numérique. Cela n’était jamais arrivé depuis le lancement de l’iPad, premier du nom, en 2010.

Par conséquent, cette Keynote du 8 mai 2024 revêt un caractère hautement symbolique et stratégique pour la firme de Cupertino. Ces nouveaux iPad Air et iPad Pro 2024 seront-ils capables de redonner de l’élan aux tablettes du géant américain ? La réponse dans notre prise en main et notre décryptage complet.

Une Keynote pas comme les autres

Inédite, la Keynote d’hier intitulée “Let Loose », soit « lâchez vous » dans la langue de Molière, l’est à plusieurs égards. Déjà, de par son lieu et son heure. C’est la première fois depuis plus de dix ans qu’une Keynote d’Apple a lieu en Europe, et de surcroît dans l’après-midi, 16h en France.

Inutile d’être devin ici pour comprendre qu’Apple souhaite désormais s’aligner sur le plus de fuseaux horaires possible, notamment en Asie. En effet, rappelons qu’au fil du temps, la Chine est devenue un des marchés les plus importants dans les résultats financiers de l’entreprise.

Ipad Air et iPad Pro 2024 locaux
© Presse Citron

Autre particularité de cette Keynote, elle s’est tenue à la Battersea Power Station. Célèbre pour être apparue sur la pochette de l’album Animals, des Pink Floyd, cette ancienne usine de charbon abrite désormais, entre autres, un Apple Store, ainsi que les bureaux du groupe au Royaume-Uni. Un lieu magnifique que beaucoup de journalistes français découvraient pour la première fois.

Après une présentation vidéo d’une trentaine de minutes, que vous avez pu suivre en direct sur notre site, la caverne d’Ali Baba s’est ouverte pour les journalistes. Nous avons alors pu prendre en main et tester les nouveautés des nouveaux iPad Air et Pro pendant deux bonnes heures. Voici nos premières impressions.

Prix et disponibilités des nouveaux iPad Air et iPad Pro 2024

L’ensemble des produits annoncé lors de cette Keynote sont déjà disponibles en précommande et seront commercialisés à partir de la semaine du 13 Mai.

L’iPad Air 2024 se décline en 4 coloris (bleu, mauve, lumière stellaire et gris sidéral) et dans les configurations suivantes :

  • L’iPad Air de 11 pouces à partir de 719 euros (128 Go et Wi-Fi) et jusqu’à 1519 euros (1 To, Wi-Fi et Cellular).
  • L’iPad de 13 pouces à partir de 969 euros (128 Go et Wi-Fi) et jusqu’à 1769 euros (1 To, Wi-Fi et Cellular).

De son côté, l’iPad Air 2024 se décline en deux coloris (noir et argent) et dans les configurations suivantes :

  • L’iPad Pro de 11 pouces à partir de 1219 euros (256 Go et Wi-Fi) et jusqu’à 2809 euros (2 To, Wi-Fi et Cellular et verre nano-texturé).
  • L’iPad Pro de 13 pouces à partir de 1569 euros (256 Go et Wi-Fi) et jusqu’à 3159 euros (2 To, Wi-Fi et Cellular et verre nano-texturé).

Enfin, les deux nouveaux Magic Keyboard sont disponibles pour 349 euros pour les modèles 11 pouces et à 399 euros pour les plus grands modèles, tandis que l’Apple Pencil Pro s’affiche à 149 euros.

iPad Air 2024, Apple voit double

Comme nous vous l’avons annoncé dans un précédent article qui résume l’ensemble des nouveautés de l’iPad Air, la firme californienne a décidé en 2024vd’étoffer son offre. Pour cette 6 ème génération d’iPad Air, le traditionnel modèle de 11 pouces s’acoquine pour la première fois d’un nouveau compagnon, un modèle de 13 pouces.

Selon Apple, le grand format de 13 pouces est celui  qui a le plus la côte sur le modèle Pro. L’américain voulait donc proposer plus de liberté de choix aux clients se tournant vers cette gamme.

Ipad Air et iPad Pro 2024 présentation
© Presse Citron

Bien qu’il propose 30% d’espace d’affichage en plus que la version de 11 pouces, l’iPad Air grand format reste relativement maniable. Il faut dire qu’Apple maîtrise toujours aussi bien la finesse et la répartition du poids de ses produits. Chaque ardoise fait 6,1 mm d’épaisseur, tandis que le modèle 11 pouces ne pèse que 462 grammes et le 13 pouces, lui, affiche sur la balance 617 grammes.

Ipad Air et iPad Pro 2024 design
© Presse Citron

Au niveau de la qualité d’affichage, Apple ne renverse pas la table. C’est toujours l’excellente technologie Liquid Retina (LED IPS) qui se chargera de nous flatter la rétine. Dommage tout de même que la marque à la pomme n’en profite pas pour muscler légèrement la définition du modèle le plus petit qui reste bloquer à 2360 x 1640 pixels. On reste juste en dessous du QHD, soit du 2560 x 1440 pixels. Logiquement le modèle 13 pouces monte plus haut, 2732 x 2048 pixels.

Durant notre prise en main, ce grand modèle nous a fortement impressionnés.  Malgré l’afflux de lumières dans toute la salle de présentation, nous avons pu regarder quelques vidéos sous de bons angles de visions. Notons aussi que la colorimétrie s’avère toujours extrêmement juste.

Ipad Air et iPad Pro 2024 écran
© Presse Citron

Au cœur de ces nouveaux iPad Air, on retrouve presque sans surprise une puce M2. Cette mise à jour du processeur était aussi attendue que nécessaire. En effet, sorti en 2022, le dernier iPad Air commençait un peu à s’essouffler face aux tablettes Android embarquant un Snapdragon 8 Gen 2.

iPad Pro : OLED et finesse, le combo parfait ?

Passons dorénavant aux stars de cet événement. Et de l’année 2024 ? Les deux nouveaux iPad Pro 11 et 13 pouces. Après deux ans d’attente, Apple a mis les petits plats dans les grands pour cette 7 ème génération.

Dès la première prise en main, la préhension est époustouflante. Il faut dire que le grand modèle n’affiche que 5,3 mm d’épaisseur, tandis que la variante 11 pouces descend à 5,1 mm. Une véritable petite prouesse technologique, surtout quand on connaît la suite.

Ipad Air et iPad Pro 2024 finesse
© Presse Citron

Pendant longtemps, nous soupçonnions Apple de rester sur la technologie LED pour une raison de design. En effet, un écran OLED entraîne mécaniquement une tablette plus épaisse. Pourtant, ces nouveaux iPad Pro sont ultra-fins et se pare d’un nouvel écran OLED. Quel est donc ce tour de passe-passe ?

Toujours avide de repousser les frontières technologiques, Apple inaugure sur ces nouveaux modèles un type d’écran baptisé « Tandem Oled ». Ce dernier fusionne deux dalles pour offrir un affichage « Ultra Retina XDR » avec une définition de 2 420 x 1 668 pixels pour le modèle 11 pouces et de 2 752 x 2 064 pixels pour le 13 pouces.

Ipad Air et iPad Pro 2024 écran
© Presse Citron

Ce n’est pas tout ! En plus de permettre cette taille de guêpe, l’écran  « Tandem Oled » propose une luminosité de 1000 nits pour un usage normal et de 1600 nits en pic. C’est tout bonnement du jamais vu sur des tablettes. Et notre première prise en main a rapidement confirmé qu’Apple n’exagère en rien ces chiffres.

Pendant un quart d’heure, nous avons pu regarder plusieurs contenus en SDR et HDR et sans trembler, nous pouvons l’affirmer.  Que ce soit en termes de colorimétrie, de luminosité ou de contrastes, nous sommes bien face à l’écran le plus impressionnant qu’il nous ait été donné de regarder dans un format 13 pouces.

Ipad Air et iPad Pro 2024 écran OLED
© Presse Citron

Pour un usage purement professionnel, et ce quelque soit votre secteur d’activité, ces nouveaux iPad Pro s’imposent comme des compagnons presque parfaits. D’autant que les accessoires aussi se mettent au diapason de leurs maîtres.

Ipad Air et iPad Pro 2024 clavier
© Presse Citron

À savoir un nouveau Magic Keyboard (retour haptique, nouvelle ergonomie et touche fonctions) et un nouveau stylet baptisé Pencil Pro. Sur ce dernier, Apple s’est longuement attardé et il n’a pas eu tord. Ce nouveau stylet dispose d’une flopée de nouveaux gestes et fonctionnalités. Nous ne manquerons pas de les décortiquer lors d’un prochain test.

Avec la puce M4, Apple est prêt à entrer dans la guerre de l’IA

Ce fut l’autre grande surprise de cette Keynote, les nouveaux iPad Pro embarquent un tout nouveau processeur M4 sans passer par la case M3. Ces derniers étant présents sur les derniers MacBook présentés fin 2023.

Inutile ici de trop s’attarder sur les performances pures de cette puce. Elle est actuellement ce qui se fait de mieux actuellement dans l’industrie de la tech. Voyez par vous même : GPU et CPU de 10 coeurs chacun. Et aussi, une prise des meilleures technologies d’affichage (Dynamic caching, Mesh sading et Ray tracing).

Ce qui est le plus intéressant dans ce saut de génération, c’est d’apprendre que la M4 intègre un NPU (Neural Processing Unit) doté de 16 cœurs et capable de supporter 38 000 milliards d’opérations par seconde. Et oui, Apple ne pourra plus cacher ses ambitions en matière d’IA générative très longtemps.

Ipad Air et iPad Pro 2024 clavier IA
© IA

D’abord, car le temps presse, la concurrence a déjà quelques coups d’avance, notamment Samsung avec Galaxy AI. Mais pas que… Si l’on regarde plus largement, Google, Microsoft et Amazon ont eux aussi déjà pris part à cette guerre.

Ensuite, car tous les spécialistes et le grand public sont impatients de voir la manière dont la firme américaine va intégrer des fonctionnalités d’IA générative à ses écosystèmes produits. Dans ce domaine, Apple reste le maître incontesté.

Et enfin, car cela permettra peut-être à l’iPad Pro de devenir enfin le produit qui mettra progressivement les PC portables à la retraite. En tout cas, Apple semble faire de ses nouveaux iPad Pro, ses futurs produits stars. Ce sont les plus fins, les plus puissants, ceux capables d’accueillir des nouvelles fonctionnalités d’IA et ceux qui possèdent le plus bel écran. En effet, rappelons que les MacBook Pro ne propose « que » du mini-LED, tandis que les MacBook Air du LCD.

Ipad Air et iPad Pro 2024 clavier IA et écran
© Presse Citron

Bien évidemment, nous ne pouvons ici que spéculer. Toujours aussi adroit dans sa communication, Apple n’a jamais été enclin à faire du teasing, la marque a toujours été dans l’annonce et la maîtrise de ses nouveautés. Par exemple, durant cette Keynote le mot IA n’a été prononcé que…deux fois durant plus de trente minutes. Le géant américain préférant parler de machine learning en mettant en avant sa puce M4.

2024, une année charnière pour Apple

Pour terminer, il est intéressant de revenir sur la temporalité de cette Keynote dans l’année d’Apple. Elle vient s’intercaler dans un début d’année chargée. Soit entre le récent lancement du casque Vision Pro et la prochaine WWDC, qui doit se tenir en juin et dévoiler notamment les nouveautés logicielles, dont iOS 18 et iPadOS 18.

Cette proximité d’événements est plutôt rare pour la firme de Cupertino. Vraisemblablement un signe qui nous montre qu’Apple souhaite occuper en 2024 l’espace médiatique de toutes parts. Avec en ligne de mire le terrain de l’IA générative, bien évidemment, mais aussi une volonté de faire de son nouvel iPad Pro le hardware ultime.

iPad Pro 2024 clavier IA et écran
© Presse Citron

Cette Keynote abonde selon nous en ce sens. Après, même si ces nouveaux iPad Pro semblent parfaits sur le papier, il persiste un petit hic qui ne date pas d’hier. Beaucoup d’utilisateurs sont habitués à macOS pour travailler. Et à notre goût, iPadOS  a toujours quelque peu restreint les possibilités de l’iPad Pro. Unifier les deux écosystèmes peut être une possibilité, mais pour cela Apple devra choisir officiellement un de ces deux enfants. Une chose impensable aujourd’hui…

Quoiqu’il arrive, nous ne manquerons pas de vous proposer très prochainement des tests complets et grands formats de tous ces nouveaux produits. Ainsi, nous pourrons en plus du design, de l’écran et des performances, évaluer l’autonomie, la charge et la partie photo qu’il a été difficile de jauger lors de cette prise en main. 

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Opera One - Navigateur web boosté à l’IA
Opera One – Navigateur web boosté à l’IA

Par : Opera

“100 milliards pour 2,5 km”, la ville du futur The Line est un gouffre financier

Le prince Mohammed Ben Salmane (MBS), Premier ministre d’Arabie Saoudite depuis 2022 va-t-il devoir tirer un trait sur The Line, face à des coûts en fuite exponentielle ? Le mégaprojet, consistant en un gratte-ciel de 500 mètres de haut s’étirant sur près de 170 kilomètres en ligne droite, est perçu, selon les points de vue comme la ville du futur, ou la plus grande aberration de ces dernières années. Il faut dire que si l’idée peut sembler élégante sur le papier, elle se heurte à plusieurs réalités : jamais dans l’histoire un acteur individuel n’avait tenté de construire un bâtiment si grand.

La surface de bureaux et logements totale dépassera de 29% ce que compte la ville entière de New York – il s’agira, si le projet s’achève dans les termes actuels, d’une mégapole millionnaire en nombre d’habitants, qu’il faudra bien sûr convaincre de déménager pour une structure à peine sortie de terre. Tout le contraire, ou presque, de la façon dont les villes qui ont jusqu’ici le plus la côte ont été fondées et se sont développées.

Pourquoi les coûts de Neom explosent ?

Or, tout cela ne serait rien si le coût du projet était maîtrisé – et que les erreurs des maîtres d’ouvrage ne s’enchaînent pas. Un article du Wall Street Journal (WSJ) révèle ainsi les coulisses peu rassurantes de cette construction hors-normes. Le début des travaux serait si chaotique que le coût des premiers 2,5 km dépasserait déjà les 100 milliards de dollars. Et les difficultés auraient déjà forcé le projet de MBS à revoir à la baisse son calendrier.

D’ici 2030, ce n’est plus 16 km de The Line qui seront ouverts, mais seulement 2,4 km – de quoi loger moins de 200 000 personnes, au lieu des “millions” de résidents prévus à l’issue de la première phase. Les difficultés de Neom font parfois quelque peu sourire. Par exemple, la firme aurait dépensé 5 milliards de dollars pour construire le logement des quelque 100 000 ouvriers dépêchés sur les lieux. Tout cela pour devoir rapidement les détruire, le trajet de la ligne (maintes fois revu entre-temps) traversant ces derniers.

Ailleurs, l’excavation d’une marina de 15 mètres de profondeur a été réalisée. Mais la montagne de déchets et de sol issu de l’opération a été déposée juste sur le passage de The Line, forçant Neom en une très coûteuse opération de réexcavation pour déplacer cet obstacle artificiel. On peut toutefois terminer sur une note positive : il est probable que ces erreurs dotent les maîtres d’oeuvre d’une expérience utile pour la suite, et permette au mons l’achèvement d’une portion du projet.

Reste à savoir maintenant si cette ligne sera maintenue, ou si le projet s’expose d’emblée à une fin aussi anticipée qu’abrupte. Le site officiel du projet, en tout cas, semble essentiellement dédié à attirer les gros investisseurs à ce stade. On comprend que cela devient indispensable, même si on se demande qui osera mobiliser des fonds par centaines de milliards de dollars pour une construction à l’avenir de plus en plus incertain.

  • La construction de The Line en Arabie Saoudite se heurte à la dure réalité selon le WSJ.
  • La multiplication d’erreurs sur place conduit à une fuite en avant des coûts.
  • À terme, The Line pourrait coûter plus de 2 000 milliards de dollars, selon les estimations révisées les plus conservatrices.

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TIkTok attaque les USA en justice

Il y a quelques semaines, on apprenait qu’après un vote des représentants et des sénateurs, le Congrès avait adopté un texte qui inclut des mesures visant à bannir le réseau social des États-Unis. Mais Bytedance (maison-mère de TikTok) avait rapidement indiqué n’avoir aucune intention de vendre son application, et ce malgré cette loi américaine, nécessitant pour TikTok de couper ses liens avec la Chine.

Face à l’offensive américaine, TikTok contre-attaque !

Voilà quelques longues années maintenant que TikTok est dans le viseur des autorités américaines. L’application chinoise est notamment accusée de permettre au gouvernement chinois d’espionner et de manipuler les citoyens américains. Mais ce mardi 7 mai, Bytedance a décidé de contre-attaquer, en portant plainte… contre les Etats-Unis.

Selon le réseau social et ses avocats, le texte adopté par les représentants et sénateurs américains est tout simplement “inconstitutionnel“. Dans une plainte déposée devant un tribunal fédéral de Washington, les plaignants indiquent : “Pour la première fois dans l’histoire, le Congrès a adopté une loi qui bannit une plateforme d’expression, et elle seule, de façon permanente à l’échelle nationale, et qui interdit à chaque Américain de participer à une communauté en ligne unique comptant plus d’un milliard de personnes dans le monde.”

Rappelons que le texte américain menace TikTok de bannissement, sauf si Bytedance revend son réseau. Une manière pour les autorités de s’assurer que TikTok ne puisse pas être contrôlé par le gouvernement chinois. Pour le PDG de TikTok, Shou Zi Chew, : “Les faits et la Constitution sont de notre côté et nous nous attendons à l’emporter.” Rappelons que TikTok compte plus de 170 millions d’adeptes aux Etats-Unis.

La loi Protecting Americans From Foreign Adversary Controlled Applications Act donne un délai de 270 jours (plus 90 jours supplémentaires sous certaines conditions) à Bytedance pour revendre TikTok. Malgré toute la réticence des autorités américaines, TikTok aiderait (selon Bytedance) des milliers d’entreprises locales à prospérer, sans compter une contribution à hauteur de 24 millions de dollars, à l’économie américaine.

Reste à savoir maintenant si Bytedance parviendra à faire plier l’état américain face à ce qui ressemble à “des méthodes de voyou” selon la maison-mère de TikTok.

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TikTok
TikTok

Par : TikTok Pte. Ltd.

21,0 M avis

L’intelligence artificielle, nouvelle amie des adolescents esseulés ?

Un phénomène plutôt singulier se dessine parmi les jeunes générations. De plus en plus d’adolescents se tournent vers des chatbots pour trouver du réconfort, de l’écoute et parfois même, une forme de thérapie. Une tendance qui interpelle et soulève des questions quant aux impacts potentiels sur leur bien-être psychologique. Ces adolescents tissent des liens virtuels étroits avec ces entités numériques, les considérants parfois comme des amis ou même des confidents privilégiés. C’est un reportage du média américain The Verge qui a révélé cette tendance, qui tend à se répandre, tout du moins de l’autre côté de l’Atlantique.

Confessions à un mur de pixels

Aaron, un adolescent dont l’identité a été préservée sous ce pseudonyme, a franchi le pas. Après une dispute avec son groupe d’amis, il s’est tourné vers un chatbot nommé Psychologist sur la plateforme Character.AI pour se réconforter. « Ce n’est pas comme écrire dans un journal intime, où tu te confies à un mur » a-t-il expliqué à The Verge. « Il répond vraiment ». D’autres témoignages vont également dans le sens de celui d’Aaron, bien que l’usage en lui-même puisse légèrement différer.

Frankie, 15 ans, utilise également ces chatbots pour « se défouler sans avoir à en parler aux gens ». Ces outils numériques offrent une forme d’exutoire facilement accessible, où les adolescents peuvent librement exprimer leurs pensées et émotions sans crainte de jugement. « Je dois faire face à quelques problèmes psychologiques, que je préfère ne pas imposer à mes amis, alors j’utilise en quelque sorte mes bots comme une thérapie gratuite » continue Frankie.

Libérés ainsi du regard et des conventions sociales, les adolescents se sentent plus à l’aise pour livrer leurs sentiments les plus intimes. La disponibilité constante de ces IA, opérationnelles 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7, offre ainsi un refuge précieux face aux moments de solitude ou de détresse.

Hawk, un autre adolescent, s’est aussi confié au média pour expliquer comment il faisait usage de ces IA. De son côté, il les utilise pour parler à des personnages de jeux vidéo. Il explique : « Pour moi, c’est plus pratique de rester seul dans ma chambre avec les lumières éteintes que de sortir et de rencontrer des gens en personne ».

Un apprentissage social virtuel mais limité

Par ailleurs, ces interactions avec les IA semblent aller au-delà du simple défouloir ou de la séance de psy. Aaron souligne que ses échanges avec le chatbot l’ont même aidé à s’affirmer dans la vie réelle. Avec un regard un peu négatif sur lui-même, il témoigne : « Dans la vie réelle, je me laisse souvent marcher sur les pieds, mais avec l’IA, je peux m’entraîner à être ferme et à exprimer mes opinions et mes intérêts sans me sentir gêné ». Une appropriation particulière de cette technologie, qui soulève tout de même des questions sur la dépendance potentielle aux interactions virtuelles pour acquérir des compétences sociales essentielles.

Kelly Merrill Jr. est professeure adjointe à l’université de Cincinnati. Spécialisée dans les avantages des technologies de communication pour la santé mentale et sociale, elle a son avis sur la question. « Les recherches montrent que les chatbots peuvent contribuer à atténuer les sentiments de dépression, d’anxiété et même de stress. Mais il est important de noter que beaucoup de ces chatbots n’existent pas depuis longtemps et que leurs capacités sont limitées. À l’heure actuelle, ils se trompent encore souvent. Ceux qui n’ont pas les connaissances en IA nécessaires pour comprendre les limites de ces systèmes finiront par en payer le prix ».

On ne peut qu’entendre ce raisonnement, lorsqu’on connaît la tendance aux hallucinations des chatbots, même ceux ayant disposé des meilleurs entraînements.

L’enquête de The Verge prouve bien une chose : les relations sociales sont en pleine mutation, encore plus depuis que les IA conversationnelles sont devenues accessibles au grand public. La virtualisation des relations pourrait un jour devenir une norme et cet aspect en particulier doit attirer notre attention. On peut tout à fait imaginer qu’à terme, l’absence de contact physique et d’empathie réelle dans ces interactions virtuelle mène à une forme d’aliénation émotionnelle. Aliénation dans laquelle les adolescents peineraient à développer des relations authentiques et à régir leurs émotions dans le monde réel. L’enjeu sociétal est de taille : trouver un équilibre entre les apports indéniables des technologies numériques et la préservation des interactions humaines, indispensables à l’épanouissement psychologique et social des individus. Nous avons du pain sur la planche.

  • Une enquête de The Verge a révélé que certains adolescents se tournaient vers les chatbots pour y trouver une forme d’écoute ou de défouloir.
  • Une attitude qui prouve que ces systèmes d’IA prennent une place de plus en plus importante dans le développement affectif des plus jeunes.
  • Même si certaines études prouvent que l’usage de chatbots peut être positif, les effets sociétaux au long terme de ce genre de pratique pourraient être très négatifs.

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Cette vidéo incroyable montre la surface hyperactive du soleil avec un niveau de détail inouï

En septembre dernier, l’Agence spatiale européenne (ESA) a envoyé Solar Orbiter à une distance record du Soleil. Embarquant à son bord l’instrument Imageur Extrême Ultraviolet (EUI), le satellite a ainsi capturé des images d’une précision et d’une clarté stupéfiantes, révélant des phénomènes solaires d’une intensité éblouissante. Ces observations ont été réalisées à seulement un tiers de la distance entre la Terre et le Soleil, soit à peu près 50 millions de km de notre étoile. Comme quoi, il n’y a pas que James Webb pour nous rapporter des images aussi spectaculaires provenant de l’espace !

Plus près de toi mon astre !

À l’exception du Parker Solar Probe de la NASA, jamais un engin spatial n’avait osé s’aventurer aussi près du Soleil. Cette proximité a révélé de splendides détails de notre étoile, encore jamais vus auparavant. Les images capturées nous transportent ainsi dans un paysage surréaliste, aux teintes rougeoyantes et à l’ambiance infernale. Paysage qui n’est pas sans rappeler les alentours de la Montagne du Destin de la célèbre saga Le Seigneur des Anneaux.

Parmi les images les plus spectaculaires, on peut observer une « pluie coronale » de plasma incandescent et de petites éruptions solaires, dont l’une (à 22 secondes de la vidéo), bien que paraissant minuscule à l’écran, est en réalité bien plus grande que notre planète elle-même. La vidéo, visible ci-dessous, a été publiée il y a huit jours sur la chaîne YouTube officielle de l’European Space Agency.

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Des températures bouillantes, pour des images qui le sont encore plus

On peut également y apercevoir bon nombre de filaments de plasma sillonnant toute la surface de l’astre. Ces filaments, bien que frôlant les 10 000 ° C, sont considérés comme relativement « froids » si on les compare à l’arrière-plan incandescent, situé derrière les gouttes de plasma. Celui-ci est en réalité la couronne solaire, la couche la plus externe de l’atmosphère du Soleil et avoisine le million de degrés. La température de la surface du Soleil quant à elle (la photosphère) est d’environ 5 500 ° C.

Ces observations inédites fournissent aux scientifiques des données fondamentales pour comprendre la dynamique complexe de la surface solaire et les processus à l’œuvre en son sein. En effet, améliorer notre compréhension des éruptions solaires, qui peuvent avoir des conséquences néfastes sur nos infrastructures et nos technologies sur Terre, demeure un enjeu important. Grâce à l’étude des mécanismes qui déclenchent ces éruptions, les scientifiques espèrent pouvoir mieux les prédire, et ainsi protéger de manière plus efficace notre planète et les missions spatiales humaines.

  • Au mois de septembre dernier, l’Agence spatiale européenne (ESA) a envoyé Solar Orbiter au plus près du Soleil.
  • Le satellite a donc pu capturer une vidéo impressionnante, où l’on peut admirer l’activité de notre astre comme jamais nous n’avions pu le faire auparavant.
  • Ces données vidéos sont d’une importance capitale pour la recherche spatiale.

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Microsoft déploie une mystérieuse IA pour les services secrets

Il y a quelques heures, Microsoft a lancé un modèle d’IA générative dédiée aux agences de renseignements américaines. Le but ? Analyser des informations ultraconfidentielles.

Ce modèle est basé sur GPT-4, mais sa plus grande particularité est qu’il est pensé pour fonctionner entièrement déconnecté d’internet, ce qui permet une sécurisation maximale des données traitées, et souvent classifiées.

Un ChatGPT déconnecté, pensé pour les espions

Lors de la présentation de cette nouvelle offre d’Intelligence Artificielle, le CTO en charge des missions stratégiques chez Microsoft, William Chappell, a déclaré « C’est la première fois que nous disposons d’une version isolée – où isolée signifie qu’elle n’est pas connectée à Internet – et elle est sur un réseau spécial seulement accessible par le gouvernement américain, ».

Même si cette version de GPT-4 est basée dans une infrastructure cloud, elle utilise un système de “Air-Gapping” qui lui permet d’être entièrement séparé d’internet.

Autre point capital, cette version de GPT-4 ne se servira pas des fichiers et documents transmis pour améliorer son apprentissage, et permet donc que chaque information secret défense soit cloisonnée.

C’est la première fois qu’une communication (officielle) présente un modèle d’IA construit spécifiquement pour des charges de travail classifiées. L’année dernière, la CIA avait déployé une alternative à ChatGPT pour filtrer d’énormes quantités d’informations publiques. Cependant, ce modèle d’IA n’a pas été utilisé sur des documents classifiés. D’autres agences gouvernementales utilisent l’IA générative pour travailler avec des données non classifiées.

Cette Intelligence Artificielle pour les espions est le fruit de 18 mois de travail pour Microsoft, qui a utilisé un super-ordinateur dédié à l’Intelligence Artificielle en Iowa. Même si le modèle est opérationnel depuis plus d’une semaine, il doit encore subir une batterie de tests, et doit surtout recevoir la validation des services de renseignement pour être utilisé au quotidien.

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Critique La Planète des Singes : Le Nouveau Royaume arrive-t-il à nous surprendre ?

Aujourd’hui sort le nouvel opus d’une saga cinématographique particulièrement populaire. La Planète des Singes est une saga emblématique pour tous les amateurs de science-fiction. Il y a des films, des séries télévisées, des jeux vidéo et même des bandes dessinées !

En 1968, la première adaptation cinématographique du roman de Pierre Boulle est un succès. Le long métrage remporte même l’Oscar d’honneur du meilleur maquillage. Cette première incursion sur grand écran ouvre la voie à de nombreux autres films. Depuis plus de cinq décennies, La Planète des Singes fait vibrer moult fans de science-fiction. Mais alors que la saga a eu droit à de nombreux remakes, reboots et spin-offs, on se demande comment elle pourrait se renouveler vraiment. C’est la lourde tâche de La Planète des Singes : Le Nouveau Royaume. On vous dit si la saga a réussi son pari dans cette critique.

Un vent frais pour la saga

La Planète des Singes : le Nouveau Royaume nous fait une proposition originale. Loin de remakes et autres reboots que nous redoutions, ce film apporte une nouvelle pierre à l’édifice. La saga de science-fiction lancée par Pierre Boulle s’enrichit et on ne peut que se réjouir !

Il s’agit du point de départ d’une nouvelle ère. Après la dernière trilogie, La Planète des Singes : le Nouveau Royaume nous donne rendez-vous 300 ans après la mort de César. Son héritage est indéniable, mais trois siècles après sa disparition, les nouvelles générations ont oublié à qui ils doivent leur évolution. D’autres singes ont totalement dénaturé ses enseignements afin de mettre sur pied un empire et faire régner la terreur. L’objectif de ce chef tyrannique ? Asservir d’autres groupes de primates afin de trouver la technologie humaine et accélérer leur évolution. Après une attaque de ces singes sanguinaires, le jeune Noa est forcé d’entreprendre un voyage périlleux pour sauver sa famille. Un périple qui l’amené à s’interroger sur le passé mais aussi sur l’avenir qui attend son espèce.

L’idée est rafraîchissante et pertinente. Alors que César n’est plus qu’un lointain du souvenir, son ombre plane malgré tout sur ce long métrage. L’intrigue de La Planète des Singes : le Nouveau Royaume est intéressante. On rencontre de nouveaux personnages et des enjeux inédits. Mais le métrage peine à créer un lien entre ces protagonistes et les spectateurs. Difficile de s’attacher pleinement à Noa, le jeune singe rebelle, Raka, le sage orang-outan ou encore Nova, une humaine qui croise leur route dans leur quête.

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Un rythme en dents de scie

Malgré une intrigue foncièrement intéressante, La Planète des Singes : le Nouveau Royaume souffre de quelques longueurs. Alors Le Nouveau Royaume figure dans le titre de ce nouveau long métrage, nous n’en verrons pas suffisamment. Le film prend son temps pour nous replonger dans l’univers de la saga et nous permettre de mieux en appréhender les enjeux. Ce qui n’est pas une mauvaise chose, bien sûr. Néanmoins, quelques scènes auraient mérité d’être raccourcis au profit de moments plus longs dans ce nouveau royaume.

Le rythme de La Planète des Singes : le Nouveau Royaume est trop inégal. C’est justement parce que le nouveau royaume est si important et si intéressant que nous ressortons de la salle obscure avec l’impression de rester sur notre faim et de ne pas en avoir assez vu. Quelques questions subsistent sur cette partie du film.

Plus globalement, La Planète des Singes : le Nouveau Royaume prend trop son temps. Sa durée de 2h25 n’est pas forcément justifiée. Le film aurait gagné à éjecter une petite vingtaine de minutes pour ne pas nous perdre en route.

Des effets visuels à couper le souffle

Si La Planète des Singes : le Nouveau Royaume a quelques défauts, on les oublierait presque en un claquement de doigts face à ses impressionnants effets visuels. Difficile de rester de marbre devant le travail accompli par Weta, l’entreprise chargée de donner vie aux primates du long métrage.

Planete Singes Nouveau Royaume
© 20th Century Studios

Ce nouveau film est une véritable claque visuelle. Les décors sont majestueux, les effets spéciaux nous scotchent à notre place mais ce sont surtout le réalisme des personnages qui nous a émerveillés. La Planète des Singes : le Nouveau Royaume nous en met plein la vue, on croirait presque pouvoir toucher la fourrure de Noa. Le long métrage ne déçoit pas ceux qui veulent flatter leur rétine. Quand on pense aux premiers films de la saga, le chemin parcouru est saisissant.

Verdict : un film qui enchantera les fans

Finalement, La Planète des Singes : le Nouveau Royaume devrait séduire les amateurs de la saga de la première heure. Les effets visuels sont sa véritable force, ainsi qu’une intrigue plutôt rafraîchissante malgré quelques longueurs, des personnages qui ne sont pas forcément attachants et un rythme inégal.

Si vous aimez la saga et que vous voulez en prendre plein la vue, La Planète des Singes : le Nouveau Royaume devrait faire battre votre coeur.

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Apple présente son nouveau Pencil Pro, le stylet qui passe au niveau supérieur

Apple n’a pas fini de nous surprendre. Loin de ses habituels rendez-vous de fin de journée, Tim Cook nous donne rendez-vous au beau milieu de l’après-midi, pile à l’heure du goûter pour les aficionados français.

Pour ce keynote intitulé “Let loose” (comprenez “Lâchez-vous” dans la langue de Molière), Apple a décidé de faire briller nos yeux avec ses nouveaux iPad Air et iPad Pro. Afin d’accompagner ces pépites en bonne et due forme, la firme de Cupertino a mis au point un tout nouveau stylet, plus premium que jamais. On vous dit tout ce qu’il faut savoir sur l’Apple Pencil Pro.

Apple Pencil Pro : renforcer votre expérience

Pour améliorer votre expérience sur votre iPad, peu importe le modèle, un stylet est primordial. Le nouvel Apple Pencil Pro deviendra rapidement votre meilleur allié pour dessiner, peindre, prendre des notes ou même annoter des documents avec simplicité. En lançant l’Apple Pencil Pro, la firme de Cupertino enrichit sa gamme et devrait satisfaire les créateurs les plus exigeants.

Apple Pencil Pro 1
© Apple

L’Apple Pencil Pro a tout pour lui. Ce nouveau stylet premium dispose de capacités presque magiques, ce qui devrait ravir les créateurs et autres artistes, surtout pour dessiner ou peindre. L’Apple Pencil Pro arbore un tout nouveau capteur sensoriel pour renforcer l’expérience des utilisateurs : il suffit de le serrer un peu pour faire apparaître votre palette d’outils. Doté d’un gyroscope, l’Apple Pencil Pro offre une précision inouïe. Tout a été pensé pour que vous puissiez donner vie à vos idées. Vous pouvez également bénéficier d’interactions plus personnalisées que jamais.

Parmi les plus grosses nouveautés de ce nouveau stylet Apple, on note le retour haptique, pour renforcer l’impression d’utiliser un crayon sur du papier. Les animateurs pourront désormais bouger et tourner un élément en même temps. Si vous êtes du genre tête en l’air, l’Apple Pencil Pro peut maintenant être retrouvé grâce à Find My.

La fixation magnétique lui permet de se fixer avec aisance sur votre iPad tandis que son fini mat est du plus bel effet. Toujours dans un souci de vous simplifier le quotidien, l’Apple Pencil Pro profite du jumelage et de la recharge sans fil.

Décidément, Apple fait fort à l’occasion de ce keynote “Let loose”. On imagine que les amateurs dont le cœur bat pour les nouveaux iPad Air et Pro tout justes présentés par la firme de Cupertino ne resteront pas indifférents face au charme et aux nombreux atouts de l’Apple Pencil Pro. Pour les artistes et autres créatifs, l’Apple Pencil Pro permet de passer au niveau supérieur.

Apple Pencil Pro 2
© Apple

L’Apple Pencil Pro sera officiellement commercialisé le 15 mai 2024 pour 149 euros. Si vous êtes impatient, bonne nouvelle : il est possible de précommander ce tout nouveau stylet ultra premium.

  • Apple vient de dévoiler son Apple Pencil Pro
  • Ce stylet est plus premium que jamais, à destination des créateurs
  • Il est disponible à 149 euros dès le 15 mai 2024 (déjà en précommande)

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