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Citron pressé : M6 chamboule ses programmes, Stranger Things, voiture électrique

Au sommaire cette semaine : M6 chamboule ses programmes de l’après-midi, combien coûte de remplacer la batterie d’une voiture électrique, Stephen King verrait bien le personnage de Yuri dans Stranger Things avoir sa propre série, et la Volkswagen ID.3 qui peine à devenir la locomotive que le constructeur espérait.

M6 remplace les traditionnels téléfilms de l’après-midi

logo M6

logo M6

M6 tourne une page de l’histoire de sa programmation. Depuis la mi-juin, en effet, vous ne verrez plus de téléfilms l’après-midi en allumant la chaîne. A la place, seront diffusés des documentaires pour, selon la directrice de la programmation Christine Bouillet, “raconter des histoires que vivent les Français”. Loisirs, métiers originaux, activités familiales… les sujets seront variés. Ces nouveaux contenus ont sans doute plus de chances d’attirer des spectateurs qui n’étaient pas toujours très en phase avec des téléfilms qui datent de quelques décennies…

Combien ça coûte de remplacer la batterie d’une voiture électrique ?

dcbel electric car batteries

dcbel electric car batteries

Vous êtes tenté par l’achat d’une voiture électrique mais vous posez des questions sur les coûts liés à sa batterie ? Dans ce dossier complet, on vous propose le plus d’informations possibles sur le sujet – de quoi peser le pour ou le contre dans le cas, par exemple, de l’achat d’une voiture électrique d’occasion. La batterie est en effet l’une des pièces les plus coûteuses d’une voiture électrique. Mais ce sont aussi des composants conçus pour être très durables. Si vous devez un jour remplacer la batterie de votre voiture électrique, il existe également plusieurs options à considérer.

Et si Yuri (Stranger Things) avait sa propre série ? C’est ce que suggère Stephen King

Stranger Things Hawkins Voiture Los angeles

Stranger Things Hawkins Voiture Los angeles

Il ne vous étonnera pas d’apprendre que le célèbre romancier de science-fiction Stephen King est un fan de la série Stranger Things. Ce dernier a visiblement beaucoup apprécié la saison 4 au point d’affirmer dans un tweet que Yuri, un des nouveaux personnages de cet opus, mériterait sa propre série spin off. Selon l’auteur, Yuri est un personnage “aussi collant que fuyant”, une “sorte de Barry version Russe”.

La ID.3 ne se vend pas aussi bien que Volkswagen ne l’espérait

Volkswagen ID3 2020 sur la route

Volkswagen ID3 2020 sur la route

La petite compacte électrique ID.3 devait être un hit pour Volkswagen – mais les ventes semblent prises dans un goulet d’étranglement de plus en plus encombré par la concurrence et les conséquences de la crise de composants. Tesla Model 3, Fiat 500, Dacia Spring… le marché change et les immatriculations du véhicule s’effondrent. La demande est pourtant bien là dans une certaine mesure, mais même les candidats les plus motivés à l’achat en sont quitte pour des délais très longs, résultant sur des livraisons en chute libre.

C’est tout pour aujourd’hui. Retrouvez dès la semaine prochaine un nouveau Citron-pressé pour rester connecté à l’actualité qu’il ne fallait pas rater !

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Apple TV+, Prime Video : les GAFAM vont-ils tuer le sport à la TV ?

C’était l’une des annonces choc de ce mois de juin 2022. Apple vient de signer un contrat de diffusion de la MLS, plus gros championnat de soccer aux Etats-Unis, pour un montant de 2,5 milliards de dollars. Dès 2023 et jusqu’à 2032, le public américain devra donc souscrire à l’offre Apple TV+ pour visionner les matchs diffusés auparavant sur une chaîne câblée.

Apple se dit « le partenaire idéal pour accélérer encore la croissance de la MLS ». Cette opération fait suite à un premier pas de la Pomme dans l’univers du sport à la TV. Apple avait déjà mis la main sur la diffusion d’un match du baseball majeur chaque vendredi soir. Et il y a fort à parier que le géant ne s’arrêtera pas là et tentera certainement de rafler quelques créneaux de diffusion des matchs de NFL (foot US), NBA (basketball) et NHL (hockey sur glace).

Amazon, pionnier des droits du sport

Football Ligue 1

© Unsplash / Sandro Schuh

Avant Apple, Amazon avait montré la voie. En France, l’américain a raflé les droits de la Ligue 1 de football, sport le plus populaire d’Europe et d’Amérique du Sud. L’accès aux matchs est réservé aux clients ayant souscrit à une offre à 12,99 euros par mois, en plus de l’abonnement Amazon Prime (5,99 euros par mois ou 49 euros par an).

Amazon a également raflé les droits de diffusion du match en nocturne du tournoi de tennis de Roland Garros. Ces deux évènements majeurs, autrefois entre les mains des chaînes publiques ou d’acteurs français (hors Bein Sport), sont désormais réservés aux abonnés. De quoi soulever quelques inquiétudes chez les acteurs du marché, mais aussi de susciter la polémique chez les téléspectateurs.

Qui ne saute pas n’est pas GAFAM

roland garros nadal djoko

© Prime Video Sport / Presse-citron.net

Le match Nadal-Djokovic du tournoi de Roland Garros est l’exemple type de cette transformation de l’industrie audiovisuelle. Cette rencontre au sommet a été programmée lors de la session nocturne, en première partie de soirée. Amazon détenait donc les droits de diffusion de ce match, ainsi que quelques autres rencontres en co-diffusion avec France Télévisions.

Un scandale pour de nombreux téléspectateurs et acteurs du marché. « Cette décision me choque profondément, commentait au Figaro Delphine Ernotte, présidente de France Télévisions. Je trouve extrêmement choquant de privilégier un acteur américain comme Amazon au détriment du service public, surtout sur un évènement financé en tout ou partie par de l’argent public », dénonçait-elle.

Marion Bartoli, consultante pour Amazon Prime Video, rappelait quant à elle les termes du contrat liant la FFT à Amazon. « Amazon a signé un contrat, où il est stipulé que le match de soirée serait le plus beau match de la saison », expliquait-elle sur Europe 1. Il est logique que le tournoi respecte ses engagements (…) Il était totalement logique que Prime Video ait ce match ».

Pour calmer les esprits, Amazon Prime avait pris la décision de diffuser le match en clair. Mais le problème n’est pas résolu pour autant.

Le sport à la TV bientôt entre les mains des GAFAM ?

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© Philips

Si la polémique est compréhensible, il convient de replacer la diffusion TV des sports les plus populaires dans une industrie. Et à l’heure où les téléspectateurs veulent une meilleure qualité d’image, des diffusions sans publicités, en dehors des heures de travail, les fédérations doivent trouver d’autres financements.

Lors de la signature du contrat de diffusion de Roland Garros, la FFT précisait que l’arrivée d’un nouveau diffuseur allait faire augmenter le montant des droits de 25%, alors qu’une édition de Roland Garros se négocie autour des 20 millions d’euros.

Ces quelques millions supplémentaires, la FFT les a utilisés pour superviser la production images, travail autrefois géré directement par France TV. Dans le même temps, le groupe public a pu élargir ses plages de diffusion avec des matchs le matin soit « 40% de tennis de plus en clair ». Ces quelques millions serviront aussi à rénover les installations des courts.

Pour la Ligue 1, c’est une autre affaire. La diffusion des matchs sur Amazon n’est qu’une conséquence de l’explosion des enchères lors des négociations avec la LFP. Après le fiasco Mediapro (chaîne Telefoot), la LFP a lancé un nouvel appel d’offres. Canal+ et Amazon en sont ressortis grands vainqueurs moyennant respectivement 332 millions d’euros pour les saisons de 2021 à 2024 pour le premier, et 250 millions d’euros annuels pour le second pour la diffusion de la plupart des matchs de Ligue 1.

Si le montant des enchères n’égale pas le milliard lâché par Mediapro, il reste considérable. Aussi, en 2022, qui d’autre que les GAFAM disposent de suffisamment de ressources pour venir jouer des coudes lors des enchères ?

Rappelons qu’en 2022, Apple et Amazon figurent parmi les entreprises mondiales à la plus forte valorisation. Apple a franchi la barre des 3 000 milliards de dollars de capitalisation en début d’année. Amazon franchissait dans le même temps la barre des 1 700 milliards de dollars.

Difficile alors d’imaginer des chaînes publiques ou des groupes privés nationaux rivaliser avec ces monstres. Aussi, il semble écrit que le sport à la TV sera à l’avenir diffusé sur les plateformes de streaming de ces géants du numérique, moyennant un abonnement mensuel.

La beauté du sport…

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Le Redmi Note 11 Pro est à vous pour 1 euro (+ 5€/mois) chez Bouygues Telecom

Tout juste sorti, le Redmi Note 11 Pro profite déjà d’une offre sensationnelle chez Bouygues Telecom. Le prix du smartphone dégringole. En optant pour le forfait mobile adéquat, le Redmi Note 11 Pro vous revient à 1 euro (+ 5 euros par mois). C’est le moment idéal pour en profiter. Mais ne tardez pas trop, cette offre se termine bientôt.

Pour découvrir cette offre d’exception, c’est par ici :

Profiter de l’offre chez Bouygues Telecom

Redmi Note 11 Pro, fait pour vous

Disponible depuis quelques semaines, le Redmi Note 11 Pro s’impose comme un excellent smartphone milieu de gamme. Il a tout pour vous plaire ! Grâce au SoC Snapdragon 695 de Qualcomm, le dernier-né de Redmi réalise des performances incroyables, même en multitâche. Cela en fait un compagnon idéal au quotidien.

Mais c’est surtout l’écran du Redmi Note 11 Pro qui nous impressionne le plus. Vous allez en prendre plein les mirettes ! Entre une dalle OLED de 6,67 pouces, un taux de rafraîchissement de 120 Hz et une définition Full HD+, le Redmi Note 11 Pro se dote d’un écran exceptionnel pour un smartphone milieu de gamme. Les concurrents ne font pas le poids et les fans de contenu multimédia adoreront regarder leurs films et séries favoris sur leur téléphone.

Quant à l’autonomie du Redmi Note 11 Pro, vous allez pouvoir être tranquille. Grâce à sa batterie d’une capacité de 5000 mAh, votre smartphone vous accompagne pendant une bonne journée voire une journée et demie si vous n’êtes pas trop connecté. Le meilleur dans tout cela, c’est sûrement son système de recharge rapide 67W. En 15 minutes seulement, vous récupérez 50%. Pour être rechargé à bloc, vous pouvez compter45 minutes. Un bonheur au quotidien, vous n’avez plus à charger votre smartphone la nuit, vous pouvez le brancher au réveil avant d’aller au travail.

Enfin, le Redmi Note 11 Pro arbore un appareil photo très complet avec un capteur principal de 108 mégapixels, un capteur ultra grand-angle de 8 mégapixels et un capteur de 2 mégapixels avec objectif conçu pour la macrographie. C’est certain, votre nouveau smartphone vous permettra d’immortaliser les moments qui comptent le plus pour vous.

Redmi Note 11 Pro

© Xiaomi

Comment repartir avec le Redmi Note 11 Pro à 1 euro chez Bouygues Telecom ?

Malgré une fiche technique musclée, le Redmi Note 11 Pro se démarque par un prix contenu. Affiché à 369,90 €, c’est encore mieux si vous pouvez repartir avec cette pépite à 1 euro (+ 5 euros par mois) chez Bouygues Telecom, à condition de choisir le bon forfait mobile.

Un forfait 5G Sensation(nel) chez Bouygues Telecom

Avoir un smartphone compatible 5G, c’est bien. Ainsi, ne pas pouvoir en profiter pleinement serait dommage. Ainsi, Bouygues Telecom vous propose cette offre exceptionnelle sur le Redmi Note 11 Pro à condition de souscrire à son forfait Sensation Avantages Smartphone 90 Go 5G. Il est idéal pour les amateurs de contenu.

  • 90 Go de données en 4G ou en 5G en France, dont 50 Go utilisables en Europe, DOM, Suisse, Andorre
  • Appels, SMS et MMS illimités en France, Europe, DOM, Suisse, Andorre
  • Bonus : une seconde carte SIM internet offerte
  • Prêt gratuit d’un téléphone équivalent en cas de panne, perte, vol ou casse

Pour couronner le tout, Bouygues Telecom propose son forfait Sensation Avantages Smartphone 90 Go au tarif avantageux de 26,99 euros par mois la première année. Puis, le forfait remonte à son prix initial de 41,99 euros par mois. Notez que les clients Bbox profitent d’une remise mensuelle de 6 euros sur leur facture mobile, afin de faire encore plus d’économies.

Pour repartir avec l’excellent Redmi Note 11 Pro à 1 euro (+ 5 euros par mois), c’est par ici :

Profiter de l’offre chez Bouygues Telecom

Ce qu’il faut savoir sur nos bons plans

Ce contenu vous est proposé par les experts bons plans de Presse-citron.
La rédaction n’a pas participé à sa réalisation. Il est possible que cette publication contienne un lien d’affiliation : l’e-commerçant pourra alors nous reverser une commission (pour vous, rien ne change). Les prix mentionnés dans cet article sont susceptibles d’évoluer.

Pourquoi maintenir la cohérence du MCU est très difficile ?

C’est peu dire qu’en un peu plus de dix ans, l’univers cinématographique Marvel (MCU) a pris de l’épaisseur. Avec ses nombreux films et séries, tous interconnectés, les scénaristes et les réalisateurs ont fort à faire pour maintenir de la cohérence et faire avancer l’histoire globale. D’autant que Marvel a des fans très à cheval sur le sujet, prêts à bondir pour signaler le moindre faux pas.

James Gunn s’explique sur Les Gardiens de la Galaxie 3

Cette problématique a justement été abordée par James Gunn, le réalisateur des Gardiens de la Galaxie, dans un entretien accordé au média The Playlist. Il explique ainsi :

Je pense que certaines personnes prennent ces univers très, très au sérieux et c’est difficile pour moi, je le vois sur Les Gardiens, quand je travaille sur Les Gardiens Vol. 3, et que quelqu’un dit, ‘Eh bien, mais dans Avengers : Endgame, Will Poulter a dit ça. Et alors je réponds toujours en plaisantant, “Eh bien, ce n’est pas canon”.

Comme le rappellent nos confrères de Screenrant, James Gunn s’était déjà exprimé sur ce thème par le passé. Il prévenait par avance qu’il allait remettre en cause le canon du MCU afin de faire fonctionner une partie de l’histoire des Gardiens de la Galaxie 3. Si cela vaut le coup, il aurait tort de se l’interdire. Il faudra toutefois veiller à ce que cette incartade ne soit pas trop flagrante au point de briser toute cohérence à l’univers créé par Marvel.

La date de sortie des Gardiens de la Galaxie 3 est d’ores et déjà fixée au 3 mai 2023. On retrouvera toutefois la bande de Star-Lord dans le prochain Thor : Love and Thunder qui sortira le 13 juillet prochain dans les salles obscures françaises. Vous pouvez justement retrouver toutes les informations nécessaires, la bande-annonce et le synopsis de ce nouveau volet dans notre article dédié ici.

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Se dirige-t-on vers un exode massif des développeurs ?

DigitalOcean, un fournisseur américain d’infrastructure cloud, vient de publier une étude extrêmement intéressante concernant les développeurs. Pour sonder au mieux leurs opinions, l’enquête a permis d’interroger 2598 professionnels venus d’un peu partout dans le monde et notamment des États-Unis, d’Inde, d’Allemagne, ou encore du Canada, et du Royaume-Uni.

Salaire et avantages sociaux en ligne de mire

Le constat principal que l’on peut faire de ce rapport, c’est que 42 % des développeurs envisagent de quitter leur emploi cette année. Ils sont même 27 % à avoir déjà changé de société au cours de l’année 2022.

Parmi les principales motivations citées par les employés interrogés, on retrouve notamment la volonté de toucher un meilleur salaire. La question du télétravail ou du retour au travail sur site est un autre motif de mécontentement mentionné par les développeurs. Certains réclament aussi de meilleurs avantages sociaux à leur entreprise. Enfin, une minorité quittent leur emploi pour lancer leur propre entreprise.

DigitalOcean précise ainsi : « La grande démission a fait couler beaucoup d’encre ces deux dernières années. Les entreprises technologiques connaissent le même phénomène, notamment chez les développeurs, qui sont très demandés. Cette situation a conduit à une pénurie de développeurs, même dans les grandes entreprises, et à des rapports d’épuisement professionnel pour ceux qui restent. »

Rappelons que plusieurs secteurs du monde de la Tech sont touchés par ce problème, et c’est notamment aussi le cas de la cybersécurité. Selon une enquête de l’entreprise Deep Instinct, 45 % des professionnels disent avoir envisagé de quitter leur emploi au cours de l’année écoulée en raison du stress. 46 % des personnes interrogées connaissent au moins une personne qui a déjà sauté le pas.

Ils affirment en effet que leur entreprise n’est pas assez équipé ou préparé pour faire face aux nombreuses menaces. Cela génère donc du stress et une vraie anxiété dans leur mission au quotidien.

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Thor 4 : pourquoi Christian Bale sera un des meilleurs méchants Marvel

Thor : Love and Thunder sortira le 13 juillet prochain au cinéma. Ce prochain volet du MCU est très attendu par les fans. On pourra notamment assister à la transformation de Natalie Portman en Mighty Thor, tandis que Chris Hemsworth retrouve son rôle fétiche de Dieu du Tonnerre.

Un personnage complexe et fascinant

Mais s’il est un qui se trouve au cœur de l’attention médiatique ces derniers temps, c’est bien Christian Bale. L’acteur britannico-américain, connu pour s’investir à fond dans ses prestations cinématographiques, campera le méchant Gorr à l’écran.

Récemment, le réalisateur de Thor : Love and Thunder, Taika Waititi, est revenu auprès de Fandango sur ce nouveau personnage : « Je dirais que c’est le méchant le plus sympathique qu’ils aient eu. Il a été le méchant le plus apprécié de tous les films Marvel », dans les tests passés auprès du public.

Même son de cloche du côté de Chris Hemsworth qui décrit la performance de Christian Bale comme était pleine de « complexité, de profondeur, une sorte de bizarrerie. Vous vous surprenez à éprouver de l’empathie, ou à vous poser les mêmes questions que ces méchants ».

Tessa Thompson, qui incarne Valkyrie à l’écran, poursuit « Oui, parfois on les encourage, parfois on les déteste ». Et Chris Hemsworth de répondre : « C’est génial de jouer le héros si tout le monde encourage le méchant. »

Pour rappel, voici le synopsis dévoilé par Marvel Studios pour ce Thor : Love and Thunder :

Dans le film, Thor entreprend un voyage différent de tout ce qu’il a connu jusqu’à présent : une quête de paix intérieure. Mais sa retraite est interrompue par un tueur galactique connu sous le nom de Gorr le Boucher des dieux, qui cherche à faire disparaître les dieux. Pour combattre cette nouvelle menace, Thor demande de l’aide au Roi Valkyrie, à Korg et à son ex-petite amie Jane Foster, qui – à sa grande surprise – manie inexplicablement son marteau magique, Mjolnir. Ensemble, ils se lancent dans une aventure cosmique poignante pour percer le mystère autour de la vengeance du Boucher des dieux et l’arrêter avant qu’il ne soit trop tard.

On ignore encore si Gorr sera très présent à l’écran ou non mais ses passages devraient en tout cas marquer profondément le public du film. Marvel a d’ailleurs déjà officialisé sa durée qui sera de 1h59. Un chiffre assez bas par rapport aux précédents volets du MCU.

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Arnaques à la romance : pourquoi les deepfakes renforcent les risques

C’est un chiffre pour le moins effrayant. Selon une étude de la Federal Trade Commission (FTC), les internautes américains ont perdu 304 millions de dollars dans le cadre d’arnaque à la romance en 2020, un nouveau record. Depuis, les choses ne s’arrangent clairement pas, et elles pourraient même empirer si l’on en croît Cassandra Cross, chercheuse spécialisée dans la fraude sur Internet à l’Université de technologie du Queensland.

Les deepfakes changent la donne et incitent à la prudence

Selon elle, les acteurs malveillants recourent de plus en plus à l’intelligence artificielle et aux deepfakes pour tromper leurs interlocuteurs. Alors qu’il est conseillé au public d’utiliser des méthodes de détection telle que la recherche par image inversée pour vérifier l’authenticité d’une photo envoyée, cette dernière serait déjà obsolète.

Citée par Techxplore, la scientifique précise : « L’IA et les deepfakes rendent les recherches d’images inversées pratiquement dépassées. Il est absolument nécessaire d’améliorer la réponse technologique à l’IA et au potentiel de fraude des deepfakes, car les moyens de détection disponibles sont limités. »

Elle ajoute en guise d’exemple : « Une femme américaine a envoyé de multiples sommes d’argent à un homme qu’elle croyait être un fonctionnaire de la marine américaine. Dans ce cas, le délinquant a manipulé des images et des enregistrements publiquement disponibles d’un officier de la marine américaine pour créer des vidéos deepfake de la personne authentique sous une autre identité ».

D’une manière générale, on sait que les deepfakes offrent également de vraies opportunités pour les cybercriminels. On a notamment vu que les faux enregistrements audio peuvent tromper de nombreux employés d’entreprises qui obéissent ainsi aux ordres de leurs faux supérieurs.

Face à l’ampleur de la menace, il convient donc de se montrer très prudent dans nos échanges en ligne et il faut bien sûr éviter d’envoyer de l’argent à un inconnu, y compris pour des investissements supposément juteux.

NordVPN
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Par : NordVPN

Test du Zenbook 14 OLED : l’ultrabook bien sous tout rapport

Complète. Voici le mot idoine pour définir l’offre d’Asus en matière de PC.  Entre ses produits gaming ROG, ses Vivobook taillés pour le multimédia et la bureautique et ses différents Zenbook, allant du milieu au haut de gamme, le choix est pléthorique. Pourtant, malgré ses efforts, le constructeur taïwanais n’est pas arrivé en 2021 à se hisser à dans le top 5 des meilleurs vendeurs de PC, toujours dominé par Lenovo, HP, Dell, Acer et Apple.

Qu’à cela ne tienne ! Asus ne baisse pas les bras et décide d’adopter pour cette année une tactique d’abondance. Pour preuves, le constructeur a déjà annoncé le lancement de quatre nouvelles références pour le troisième trimestre prochain.

Parmi toutes les nouveautés de ce début d’année,  le ZenBook 14 a particulièrement retenu notre attention grâce à son rapport techno-prix équilibré, en tout cas sur le papier. Après l’avoir utilisé au bureau, en weekend et à l’étranger pendant un voyage professionnel, voici nos impressions.

Prix et disponibilité de l’Asus Zenbook 14 OLED

Disponible depuis le mois d’avril dernier, le Zenbook 14 OLED (UX3402) se décline en deux configurations et en un seul coloris, le bleu nuit. Pour 1199 euros, le premier dispose d’un processeur Intel Core i5 de 12e génération,  de 16 Go de RAM et de 512 Go de stockage SSD. Pour 1399 euros, le Zenbook 14 embarque un Intel Core i7 avec les mêmes caractéristiques.

Asus Zenbook 14 OLED au meilleur prix Prix de base : 1 529 €

Un lifting tout en maîtrise

Le Zenbook 14 Oled inaugure un nouveau design qui sera désormais adopté par l’ensemble des ultrabook de la marque. Derrière, l’aluminium brossé habillé de discrètes courbes concentriques a été abandonné au profit d’un dos en métal à la finition mate. Sur ce dernier, des droites vernis habillent l’espace en formant des triangles aux finitions plongeantes.

Un choix judicieux puisqu’en design industriel le triangle symbolise, entre autres, l’harmonie et l’équilibre. Soit deux termes qui conviennent parfaitement à ce Zenbook 14 lorsqu’on le voit pour la première fois.

Nouveau design des Zenbook

© Presse-citron

En le prenant en main, cette impression perdure. Avec ses 1,4 kg sur la balance, il n’est pas le plus léger de sa catégorie, mais son poids est bien réparti.  De manière globale, le large châssis respire la solidité.

Pour faire la jonction entre ce dernier et l’écran, Asus a fait le choix d’une charnière, d’un bleu plus clair, allant de part et d’autre du produit. L’ouverture, la fermeture et le dépliage à 180 degrés s’effectue sans accroc, même si parfois nous avons l’impression de forcer un peu notre gestuelle. Par exemple, pour le fermer, il faut veiller à accompagner jusqu’au bout l’écran sinon celui-ci aura tendance à se rabattre sur la fin en faisant du bruit.

© Presse-citron

Pour finir, nous sommes heureux de constater que pour Asus le format ultrabook n’entraîne pas obligatoirement une connectique limitée. Plutôt généreux, ce Zenbook 14  arbore un USB-A Gen1, deux ports Thunderbolt 4, un port HDMI, un lecteur de carte micro-SD et bien évidemment une prise jack 3,5 mm.

Sobre et élégant, le Zenbook 14 frôle l’excellence design, à deux détails près. Dommage que l’intégration de son écran soit réalisée dans un cadre en plastique qui ne respire pas autant la robustesse que le reste de la machine. Et surtout, son dos est diablement trop friand des traces de doigts.

Clavier et trackpad compacts

Au début, le clavier nous a paru d’abord un poil trop compact. Pourtant, la place qu’il prend est proportionnelle à la taille du châssis (31,3 x 22 x 1,7 cm). Après plusieurs heures d’utilisation, nous devinons d’où nous vient cette impression.

Bien que les touches soient épaisses et agréables au toucher, elles nous semblent un peu resserrées. De même, les touches de fonction sur le haut sont, cette fois, un peu trop petites, tout comme la touche Entrée. Du coup, nous avons effectué au début quelques fautes de frappe accidentelles ralentissant notre prose.

En bon dactylo malléable, et comme souvent lorsqu’on change de machine, il nous a fallu une petite semaine d’adaptation pour que notre expérience d’écriture soit totalement fluide.

© Presse-citron

Mise en évidence par un cerclage gris, la touche d’alimentation fait également office de lecteur d’empreintes compatible avec Windows Hello. En ce qui concerne le rétroéclairage, qui offre trois niveaux d’intensité, il n’y a rien à dire. Même dans l’obscurité la plus totale, le clavier se révèle à nous sans problème. Enfin, gros coup de cœur en ce qui concerne le large pavé tactile (130 x 74 mm).

© Presse-citron

Il permet une glisse précise, nos doigts patinent dessus presque avec plaisir. L’ingénieuse surimpression numérique, qui s’active par un bref appui sur le coin supérieur droit, est toujours de la partie. Extrêmement réactive, cette dernière permet un gain de productivité non négligeable une fois que la gestuelle forcée se transforme en réflexe.

Un écran qui brille de mille feux

Depuis quelque temps, le constructeur s’est donné pour mission de démocratiser le plus possible l’OLED sur son catalogue. Avec à chaque fois, un calibrage parfaitement réussi. Ce Zenbook ne déroge pas à la règle, sa dalle (non tactile) de 14 pouces (2880 x 1800 pixels) au format 16:10 est tout simplement somptueuse.

Que ce soit pour de la bureautique ou du loisir, c’est un vrai régal de l’utiliser. Les plus pointilleux d’entre vous pourrait nous signifier que sur sa gamme XPS Dell propose des définitions plus musclées (3840 x 2400 pixels), mais croyez-nous.

Sur un format de 14 pouces, le gain d’un affichage 4K est selon nous très peu visible et ne sert du coup pas à grand-chose. Sauf, peut-être, à faire augmenter la facture.

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Comme pour son design,  Asus gère donc le calibrage de son écran d’une main de maître. La température est toujours réaliste et aucune couleur ne vire sur l’autre. Grâce à la technologie OLED, les contrastes sont, logiquement, quasiment infinis.

L’expérience aurait pu être parfaite, mais malheureusement l’écran ne dispose d’aucun traitement anti-reflets. En intérieur, il faudra veiller à ne pas être trop être en contrejour pour regarder une vidéo, sous peine de voir se refléter sur les zones d’ombres de l’écran les détails de la pièce.

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Enfin, en extérieur il sera possible d’utiliser la machine pour travailler quelque temps, mais pas sur la durée tant le confort de lecture est sujet aux réverbérations. Nous avons bien tenté de jouer sur la luminosité pour pallier ce problème. Bien qu’efficace dans la majorité des situations, cette dernière s’avère un chouïa trop faiblarde en extérieur pour nous venir en aide.

Performances solides

Dans les entrailles du Zenbook 14, on trouve un processeur Core i7-1260P accompagné de 16 Go de mémoire vive DDR5. Pour rappel, ces dernières puces d’Intel sont hybrides, autrement dit elles sont composées de quatre coeurs hyperthreadés pour la performances et de huit autres cœurs, plus économes, dédiés à l’efficience du système.

Dans notre configuration de test, ce processeur est épaulé par une puce graphique Intel Iris Xe, 16 Go de RAM et 512 Go de stockage SSD, que l’on peut heureusement étendre via une carte micro-SD pour ne pas se sentir à l’étroit sur la durée.

Sans surprise, le dernier rejeton d’Asus est rarement pris à défaut. Que ce soit pour de la bureautique en multitâches, de la navigation web ou du streaming, le Zenbook 14 propose une expérience fluide, sans aucun ralentissement. D’autant qu’il est possible d’augmenter la fréquence de rafraîchissement de l’écran à 90 Hz, ce qui optimise visuellement en continue cette impression de rapidité.

Pour les créatifs du dimanche, sachez qu’il sera également possible de lancer des logiciels de retouches photos, mais seulement pour une utilisation d’appoint. En ce qui concerne le jeu, il ne se prédestine pas à faire tourner les derniers blockbusters vidéoludiques, mais sur du Cloud gaming ou sur des jeux pas trop gourmands en ressources graphiques, il saura vous satisfaire.

© Presse-citron

Est-ce que le dernier rejeton possède le même talon d’Achille que la plupart des ultrabooks ? En effet, c’est bien connu, le gros point faible de ce format de PC est inhérent à leur taille. Ils montrent généralement des faiblesses en matière de dissipation thermique car ils n’ont pas beaucoup d’espace pour s’aérer convenablement.

Et bien à notre grande surprise, le Zenbook 14 s’en sort plutôt bien. Même pleinement sollicité, il a très peu chauffé et surtout il est resté 90% du temps muet comme une carpe.

Un compagnon fidèle

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Grâce à son nouveau processeur, qui optimise la consommation, et sa large batterie de 75 Wh, le Zenbook 14 a deux jolis arguments à faire valoir en matière d’autonomie. Dans les faits, il tient la cadence lors d’une lourde journée de travail – écran à 90 Hz , luminosité maximale et streaming audio en fil rouge – et d’une mini soirée ciné.

En tout, en le poussant à bout, il s’est essoufflé au bout de 9h, ce qui en soit représente un bon résultat. D’autant qu’en étant plus clément avec lui, notamment le weekend avec quelques sessions de surf et du Netflix, il est possible de profiter largement de lui sur deux jours.

Compact, le chargeur USB-C offre une puissance de 65W, ce qui nous permet de redonner des couleurs au Zenbook 14 sans trop attendre.  Pour atteindre 50% de batterie, nous avons eu besoin de 45 minutes. Enfin, pour faciliter le transport, Asus intègre à son emballage une jolie housse de transport, ainsi qu’un adaptateur USB-A vers RJ-45 pour le brancher en Ethernet. On apprécie le geste.

Audio et webcam : un bon et un mauvais point

Pour un produit polyvalent, se destinant autant à du loisir qu’à de la bureautique, il est étonnant de voir une webcam aussi médiocre. En limitant son module à du 720p, Asus semble oublier que les visioconférences font désormais partie du quotidien du plus grand nombre.

Attention, on ne demande pas ici d’avoir une expérience vidéo hallucinante, mais au moins le strict minimum sur un ultrabook en 2022. Sur l’ensemble des réunions vidéo que nous avons effectuées, la netteté à toujours fait défaut. Dommage, surtout que la plupart de ses concurrents directs proposent des capteurs Full HD.

Pour ne pas terminer fâché, abordons le sujet de la qualité audio. Avec ses deux haut-parleurs situés sous le châssis, le Zenbook 14 propose un spectre sonore équilibré, quoique un peu étouffé dans les graves.

Excellent sur les médiums, les voix sont claires et limpides, et les aiguës, restitués à souhait, l’expérience globale est plaisante, même à un volume élevé. Une bonne surprise, car sur ce point, contrairement à la webcam, il fait beaucoup mieux que la plupart de ses concurrents.

Acheter le Zenbook 14 OLED

Notre avis sur le ZenBook 14 OLED

« Tu n’aurais pas un PC portable récent à me conseiller qui pourrait me servir pour le boulot et pour me détendre ? ». Équilibré et performant, le Zenbook 14 OLED (UX3402) est l’appareil idéal que l’on peut conseiller sans hésiter pour répondre à cette fameuse question.

En effet, il a presque tout de ce qu’on peut attendre d’un ultrabook en 2022. Un design premium et racé, un somptueux écran OLED pour le loisir, un clavier convaincant pour de la bureautique et une connectique généreuse. Ajoutons à cela, des performances solides, une autonomie sérieuse et un excellent rapport techno-prix.

Comme évoqué dans le test, il est dommage que sa webcam soit d’une qualité assez moyenne et que son écran soit sujet aux reflets. Deux petites fausses notes, qui ne viennent en rien gâcher notre impression globale, et qui nous prouvent à nouveau que la perfection n’existe pas encore.

Asus Oled 14

1 399Є

Design et finitons

9.0/10

Écran et audio

9.0/10

Performances

8.5/10

Autonomie et recharge

8.5/10

Rapport techno-prix

9.0/10

On aime

  • Un bel écran bien calibré…
  • Un design élégant
  • Des performances solides
  • Une autnomie appréciable

On aime moins

  • …mais trop sujet aux reflets
  • Une webcam plus que moyenne
  • Le cadre de l’écran, un poil plus cheap que le reste