Guy de Lussigny - Manager de Transition
Search for:
Test Amazon Kindle (2024) : après un week-end de lecture, voici la liseuse la plus utile pour moi

<em>Ph. Amazon Kindle (2024), Ph. Nina Raemont/ZDNET.</em> Les Kindles ne sont pas des tablettes comme les autres. Leur seul objectif est d'être aussi proche de l'usage analogique que possible, en permettant une lecture sans distraction, une autonomie de plusieurs semaines et un écran facile à lire, quel que soit l'environnement. Cela signifie que les clients et inconditionnels du Kindle ne s'attendent pas à une technologie de pointe lors de la sortie d'une nouvelle version. Ils veulent simplement un excellent appareil, avec quelques touches qui améliorent la génération précédente. C'est particulièrement vrai pour le modèle de base des Kindle. C'est le produit le plus abordable et le moins riche en fonctionnalités de <a href="https://www.zdnet.fr/actualites/amazon-lance-quatre-nouveaux-kindle-dont-le-tout-premier-modele-couleur-399644.htm">la nouvelle gamme Kindle</a>. Elle comprend un nouveau Paperwhite, <a href="https://www.zdnet.fr/guide-achat/test-du-kindle-scribe-amazon-a-t-il-reussi-a-faire-un-vrai-carnet-de-notes-numerique-39951658.htm">un nouveau Scribe</a> et un tout nouveau venu, le Colorsoft (le tout premier Kindle couleur). Le modèle de base ne dispose pas d'une lumière chaude réglable comme le Paperwhite, de capacités de dessin et de prises de notes comme le Scribe, ni de couleurs vives comme le Colorsoft. Ce que le Kindle 2024 a en revanche, c'est une simplicité efficace. <h2>Les trois points essentiels à retenir de la liseuse Amazon Kindle (2024)</h2> <ul> <li>Le modèle de base des liseuses Kindle d'Amazon est vendu à partir de 110 €. Il tourne les pages plus rapidement, a un écran plus lumineux et un coloris vert matcha (en plus du noir classique).</li> <li>La lecture sur cet e-reader est vraiment pratique.</li> <li>Ce modèle a l'autonomie la plus courte de toute la gamme, mais elle est tout de même de six semaines.</li> </ul> <h2>L'essentiel est toujours là</h2> J'ai passé du temps à lire et à jouer avec ce nouveau modèle de base Kindle. Et je le recommande vivement si vous êtes à la recherche de votre premier e-reader ou si voulez remplacer un Kindle acheté il y a plus de deux ans. Amazon a sorti <a href="https://www.zdnet.fr/guide-achat/les-meilleures-liseuses-kindle-de-2022-39947028.htm">le précédent modèle de base du Kindle en 2022</a>. La version 2024 conserve la plupart des caractéristiques, à quelques exceptions près. Il s'agit notamment de couleurs extérieures différentes (Matcha et Noir), d'un éclairage frontal plus lumineux, d'un taux de contraste plus élevé et d'une vitesse de rotation des pages plus rapide. La couleur Matcha est sympa, et est beaucoup plus fun que les options Navy ou Black de la gamme 2022. L'un des aspects que j'apprécie le plus dans le modèle de base est sa facilité d'utilisation et sa portabilité, grâce à sa taille compacte. <h2>Une liseuse passe-partout</h2> La taille de l'écran reste inchangée (6 pouces), ce qui est idéal pour la lecture en déplacement. La résolution de l'écran de 1072 x 1448, le poids de 158 g et l'autonomie annoncée de six semaines n'ont pas changé non plus. J'ai passé le week-end à lire des livres électroniques que j'avais loués auprès de la bibliothèque. Un samedi, j'ai emporté le Kindle dans la poche de ma robe pour lire dans le métro entre deux courses. Je me suis promenée dans la ville ce jour-là, et j'avais gardé le lecteur électronique dans ma poche. Je l'ai à peine remarqué tout au long du trajet. Dimanche matin, paresseuse, je me suis prélassée dans mon lit, allongée sur le côté, lisant le Kindle d'une seule main, ce que je ne peux jamais faire avec un roman physique parce qu'il est inconfortable de le tenir dans cette position. <img src="https://www.zdnet.com/a/img/resize/0e94e2fb6b6ca84dc3d9ff4d04e74cdb6d212416/2024/10/28/8c32a032-d19f-4477-b0b7-23bad2698d3c/177d0557-4034-47e0-bc94-0b2a7d4e2a12-1-201-a.jpg?auto=webp&width=1280" alt="Matcha Kindle against green backdrop" /> <em>Nina Raemont/ZDNET</em> Pendant que je lisais, j'ai remarqué que les temps pour tourner les pages et charger les livres étaient nettement plus rapide que sur mon <a href="https://www.zdnet.fr/actualites/liseuse-amazon-lance-sa-kindle-oasis-39835558.htm">Kindle Oasis</a> ou mon Kindle Paperwhite de 2022. J'ai fait comparé mon ancien Paperwhite et mon nouveau Kindle et j'ai constaté que ce dernier tournait les pages un peu plus vite. En ce qui concerne l'autonomie, je ne peux pas confirmer que ce e-book peut fonctionner durant les six semaines annoncées par Amazon, car je n'ai testé le Kindle que pendant une semaine. Néanmoins, six semaines, c'est une longue période entre deux charges, et je n'ai pas eu en tout cas de baisse spectaculaire de l'autonomie jusqu'à présent. <h2>Partante pour des découvertes</h2> J'aime enrichir ma collection de livres physiques. Mais j'apprécie également de pouvoir consulter divers romans et des ouvrages de non-fiction en bibliothèque. Le Kindle est un excellent moyen pour lire et louer des livres que je n'aurais peut-être jamais acheté, mais qui peuvent m'intéresser quand même. Et je peux glisser cet appareil portable dans ma poche ou mon sac et lire dans le bus, avant ou après le boulot, ou en attendant un rendez-vous chez le médecin. Parce que la lecture est sa seule fonction, le Kindle propose une interface vraiment sans distraction qui rend les devoirs de lecture pour les lycéens et les étudiants moins intrusifs qu'un ordinateur portable ou une tablette. <h2>Les conseils d'achat pour la liseuse Amazon Kindle (2024)</h2> Étant donné que de nombreuses spécifications restent inchangées, il n'est pas raisonnable de passer du modèle de base 2022 au modèle de base 2024, sauf si : <ul> <li>Vous n'êtes pas satisfait des couleurs</li> <li>Pas satisfait du temps pour tourner les pages</li> <li>Vous n'êtes pas satisfait des couleurs de la luminosité de l'écran de votre Kindle 2022</li> <li>Et que vous êtes prêt à dépenser 110 € pour y remédier</li> </ul> Si vous n'avez jamais acheté de livre électronique ou si vous envisagez d'en acheter un pour un proche pendant les fêtes, je vous recommande sans hésiter ce Kindle. Il possède toutes les caractéristiques dont vous avez besoin pour un bon e-reader respectable : un écran vif, des temps de réaction brefs, une grande autonomie et une belle couleur, le tout pour un bon prix. Si vous voulez un pouce d'écran de plus, différentes couleurs du lecteur, une lumière chaude et réglable pour lire dans différents environnements, et le double de l'autonomie, vous pouvez passer au Paperwhite, 60 € plus cher. <i>Source : <a href="https://www.zdnet.com/article/i-spent-the-weekend-reading-on-amazons-newest-kindle-and-its-more-useful-than-ever/" target="_blank" rel="noopener">"ZDNet.com"</a></i>

Productivité : une méthode pour partager des fichiers entre Android et MacOS

<em>Constantine Johnny/Getty Images</em> Apple propose <a href="https://www.zdnet.fr/pratique/iphone-ipad-comment-utiliser-airdrop-sans-wi-fi-39962274.htm">AirDrop</a> pour simplifier le processus de partage de fichiers entre iOS et macOS. Mais qu'en est-il des personnes qui utilisent <a href="https://www.zdnet.fr/actualites/android-4000082258q.htm">Android</a> et <a href="https://www.zdnet.fr/actualites/macos-4000085483q.htm">macOS</a> ? Que pouvez-vous faire si vous êtes concerné ? Vous pouvez toujours créer un partage réseau sur votre appareil sous macOS. Mais cette approche complique les choses. Et de nombreux utilisateurs préfèrent ne pas avoir à s'occuper des rouages des partages SMB. Heureusement, il existe une application appelée AirDroid qui comble le fossé entre les deux systèmes. AirDroid est une application gratuite (avec des achats in-app pour plus de fonctionnalités) qui vous permet : <ul> <li>De partager facilement des fichiers entre les deux systèmes</li> <li>De sauvegarder des photos et des vidéos du téléphone vers l'ordinateur</li> <li>De trouver d'autres appareils</li> <li>Et même d'enregistrer l'écran de votre mobile Android</li> </ul> C'est de la fonction de partage de fichiers dont je veux parler dans cet article. Avant d'aborder cette fonctionnalité, parlons de la version gratuite et de la version premium. La version premium coûte 4 $/mois et autorise un échange illimité de données en réseau distant (alors que la version gratuite ne donne droit qu'à 200 Mo), une gestion de la taille des fichiers plus importante (la version gratuite est limitée à 30 Mo, alors que la version premium donne droit à 200 Mo), une taille de transfert de fichiers plus importante (la version gratuite est limitée à 30 Mo, alors que la version premium donne droit à 1 Go), et la possibilité d'ajouter trois appareils Android au total (la version gratuite vous limite à deux appareils). Ceci étant dit, voyons comment fonctionne le partage de fichiers d'AirDroid. <img src="https://www.zdnet.com/a/img/resize/8ff597829b99bd09b7661a5bba1574e7d6dc38df/2024/10/29/8565774c-c1ad-469d-b1c9-81aad2d86857/airdroidhero.jpg?auto=webp&width=1280" alt="The AirDroid login screen." /> <em>Capture d'écran par Jack Wallen/ZDNET</em> <h2>Comment utiliser AirDroid</h2> <strong>Les seules choses dont vous aurez besoin</strong> sont un appareil Android et un appareil MacOS. Je ferai une démonstration sur un Pixel 9 Pro et un MacBook Pro M1. <h2>1. Installer AirDroid sur Android</h2> La première chose à faire est d'installer AirDroid sur votre appareil Android. Pour ce faire, ouvrez le Google Play Store sur votre appareil Android, recherchez AirDroid, appuyez sur l'entrée, puis appuyez sur Installer. <img src="https://www.zdnet.com/a/img/resize/8b8373bee2ed61b12ba0ca553663a2d0f6966da2/2024/10/29/2c91b6cf-3d9b-44c1-b21e-a8f826f6d340/airdroidinstall.jpg?auto=webp&width=1280" alt="The AirDroid entry on the Google Play Store." /> <em>Vous trouverez AirDroid pour Android sur le Google Play Store. Capture d'écran par Jack Wallen/ZDNET</em> <h2>2. Installation d'AirDroid sur MacOS</h2> Vous ne pouvez pas installer AirDroid à partir de l'Apple App Store. Au lieu de cela, allez sur la <a href="https://www.airdroid.com/fr/download/">page de téléchargement d'AirDroid</a> sur votre appareil MacOS, téléchargez la version personnelle d'AirDroid et double-cliquez sur le fichier téléchargé. Vous devrez ensuite faire glisser l'icône AirDroid dans le dossier Applications (dans la fenêtre contextuelle) pour terminer l'installation. <img src="https://www.zdnet.com/a/img/resize/ca5eb0689e0c3fe8b729aba58b45d35766bc55d6/2024/10/29/a4070ec8-68d1-4b09-972a-b8d1e65332a2/airdroidinstallmacos.jpg?auto=webp&width=768" alt="Installing AirDroid on MacOS." /> <em>L'installation d'AirDroid sur MacOS se fait par simple glisser-déposer. Capture d'écran par Jack Wallen/ZDNET</em> <h2>3. Créer un compte AirDroid</h2> L'étape suivante consiste à créer un compte AirDroid. Le plus simple est d'ouvrir la <a href="https://www.airdroid.com/fr/user-center/signup/">page d'inscription AirDroid</a> et d'y créer votre compte. Une fois cette étape franchie, ouvrez l'application AirDrop sur Android et MacOS et connectez-vous à l'aide des informations d'identification de votre nouveau compte. <img src="https://www.zdnet.com/a/img/resize/7604a08e2a8332166953f1a0ced42d9063eda14f/2024/10/29/44ac774a-c108-4adc-9ec6-4e53cdc1c43c/airdroidsignup.jpg?auto=webp&width=740" alt="The AirDrop web-based sign up." /> <em>L'inscription sur le site web est beaucoup plus facile. Capture d'écran par Jack Wallen/ZDNET</em>. <h2>4. Pour transférer un fichier, ouvrez l'onglet Transfert</h2> Ouvrez AirDroid sur votre appareil Android et allez en bas de la fenêtre sur l'onglet dédié au transfert, transfert que vous allez faire de votre ordinateur. Puis appuyez sur le trombone (pour envoyer un fichier) ou sur l'icône d'image (pour sélectionner une photo prise par l'appareil photo de votre appareil). <img src="https://www.zdnet.com/a/img/resize/0570ae442c460295f7b957442b6ad44124fca7fb/2024/10/29/9510ceea-5d66-40bc-9d64-37c0014f034a/airdroidandroid.jpg?auto=webp&width=740" alt="AirDroid running on Android 15." /> <em>A partir d'ici, vous pouvez transférer différents types de fichiers. Capture d'écran par Jack Wallen/ZDNET</em> <h2>5. Sélectionnez le type de fichier à transférer</h2> Lorsque vous appuyez sur le trombone, vous pouvez sélectionner les applis, l'appareil photo, les vidéos, la musique ou les fichiers. Appuyez sur l'une des options, puis sélectionnez le fichier à transférer. Puis envoyez les fichier(s) sélectionné(s). Le fichier est alors transféré vers l'appareil MacOS. Il n'est pas nécessaire d'accepter manuellement le fichier sur l'appareil MacOS. Lorsque vous envoyez un fichier à MacOS, il se trouve dans <strong>Utilisateurs>NomUtilisateur>root>Library>Application Support> AirDroid >Downloads (où NomUtilisateur est votre nom d'utilisateur MacOS).</strong> Vous pouvez transférer des fichiers de MacOS vers Android de la même manière. Et c'est tout ce qu'il y a à faire pour transférer des fichiers entre Android et MacOS avec AirDroid. Cette application m'a été utile régulièrement et je suis sûr que vous la trouverez indispensable dans un monde où Android et MacOS doivent coexister. <i>Source : <a href="https://www.zdnet.com/article/how-to-share-files-between-android-and-macos-with-airdroid/" target="_blank" rel="noopener">"ZDNet.com"</a></i>

Chez Google, 25 % des lignes de code sont déjà générées par l’intelligence artificielle

Les modèles d’intelligence artificielle ont de très nombreux usages. Mais l’un des domaines dans lesquels ces modèles excellent est le codage informatique. Et chez Google, les ingénieurs s’appuient déjà énormément sur l’IA pour coder. En effet, à l’occasion de la présentation des résultats du troisième trimestre, le patron de Google, Sundar Pichai, a révélé que 25 % du code de l’entreprise est déjà généré à l’aide de l’IA.

“Nous utilisons également l’IA en interne pour améliorer nos processus de codage, ce qui stimule la productivité et l’efficacité. Aujourd’hui, plus d’un quart du nouveau code de Google est généré par l’IA, puis revu et accepté par les ingénieurs. Cela permet à nos ingénieurs d’en faire plus et d’avancer plus vite”, a-t-il indiqué.

Les développeurs ont déjà largement adopté l’IA générative

En tout cas, les ingénieurs de Google ne sont pas les seuls à s’appuyer sur l’intelligence artificielle générative pour coder. Lors d’une étude réalisée par le forum Stackoverflow (publiée en 2024), 76 % des répondants ont indiqué qu’ils utilisent déjà ou ont l’intention d’utiliser l’IA pour coder. Et 72 % des développeurs interrogés ont indiqué qu’il sont très favorables à l’utilisation de l’IA. En 2023, la plateforme GitHub a interrogé des développeurs américains : 92 % utilisent déjà les outils basés sur l’IA.

Gemini débarque sur GitHub

En tout cas, la révélation de Sundar Pichai est une bonne publicité pour l’IA Gemini de Google, qui débarque sur la plateforme de codage GitHub. Pour rappel, cette plateforme appartient à Microsoft. Et elle proposait déjà un assistant pour les développeurs baptisé Copilot qui s’appuie sur les technologies d’OpenAI. Mais récemment, GitHub a annoncé la possibilité, pour les développeurs d’utiliser d’autres modèles, comme Claude 3.5 Sonnet ou Gemini 1.5 Pro à la place des modèles d’IA d’OpenAI.

Pourquoi ? “Au cours de l’année écoulée, nous avons assisté à un boom des modèles linguistiques de haute qualité, petits et grands, qui excellent individuellement dans différentes tâches de programmation. Il est clair que la prochaine phase de génération de codes d’IA ne sera pas seulement définie par la fonctionnalité multi-modèle, mais aussi par le choix multi-modèle”, a expliqué la plateforme de Microsoft. En d’autres termes, au lieu de restreindre les utilisateurs de GitHub aux technologies d’OpenAI, la plateforme veut permettre aux développeurs de profiter des avantages des autres modèles, pour des tâches spécifiques.

L’IA dope les revenus de Google Cloud

Sinon, il est à noter que les investissements de Google dans le domaine de l’IA génératrive portent déjà leurs fruits. En effet, si la publicité reste sa principale source de revenus, la branche cloud a connu une croissance exceptionnelle au troisième trimestre, grâce aux nouveaux produits destinés aux entreprises qui souhaitent utiliser l’IA générative. Les services de Google Cloud propulsent par exemple en partie l’assistant My AI de Snapchat. Le cloud et les modèles d’IA de Google sont aussi utilisés par Volkswagen America pour fournir un assistant virtuel à ses clients.

  • Lors de la présentation des résultats trimestriels de Google, Sundar Pichai a révélé que 25 % du code de Google sont déjà générés par l’IA
  • Le code généré avec l’intelligence artificielle doit néanmoins être validé par des développeurs humains
  • Des études montrent que les outils basés sur l’IA génératives sont déjà très utilisés par les développeurs
  • Et bientôt, les développeurs qui utilisent GitHub pourront utiliser Gemini grâce à une intégration entre les deux produits

📍 Pour ne manquer aucune actualité de Presse-citron, suivez-nous sur Google Actualités et WhatsApp.

Youtube
161,6 M avis

Chrome : trois nouveaux outils pour accélérer votre navigateur en un seul clic

<div> Google annonce de nouvelles fonctionnalités dans Chrome qui devraient améliorer les performances de votre navigateur. Dans <a href="https://blog.google/products/chrome/google-chrome-performance-controls-october-2024/">un billet de blog</a>, l'entreprise détaille trois nouvelles options permettant de mieux gérer les ressources de Chrome. <h2>Du neuf pour Memory Saver</h2> La première option est une extension de l'économiseur de mémoire (nommé Memory Saver), qui accélère la navigation en libérant la mémoire des onglets inactifs. L'économiseur de mémoire n'est pas nouveau. Mais l'outil propose désormais trois modes : modéré, équilibré et maximal. <ul> <li>Le mode modéré désactive les onglets uniquement lorsque votre système en a besoin</li> <li>Le mode équilibré tient compte à la fois de vos habitudes de navigation et des besoins du système</li> <li>Le mode maximal désactive les onglets lorsque vous cessez de les utiliser</li> </ul> <h2>Un outil de détection de performance</h2> Autre nouveauté, un outil de détection des performances qui, selon Chrome, identifie les problèmes de performances et propose une solution. Par exemple, si vous naviguez sur un site web intensif et que vous avez besoin d'accélérer l'onglet que vous utilisez actuellement, Chrome peut vous suggérer de désactiver d'autres onglets qui utilisent des ressources supplémentaires. <img src="https://www.zdnet.com/a/img/resize/a8602fdf97e7cd38820f691c1fd24499a1041cd8/2024/10/30/0db1c0ba-b279-4b07-98e7-b4ed08af4014/chrome.png?auto=webp&width=1280" alt="chrome.png" /> <em>Google</em> Lorsque Chrome détecte un problème, une notification d'alerte relative à un problème de performances apparaît sous la forme d'une icône de compteur de vitesse à gauche de votre image de profil. Pour résoudre le problème, cliquez sur "Réparer maintenant". Vous pouvez désactiver la détection des performances à tout moment si vous préférez surveiller les choses manuellement. <h2>Personnaliser davantage les contrôles de performance de Chrome</h2> Enfin, vous pouvez désormais personnaliser davantage les contrôles de performance de Chrome. Vous pouvez sélectionner des sites web spécifiques qui doivent toujours avoir un onglet actif pouvant fonctionner en arrière-plan, activer ou désactiver les indicateurs visuels pour les onglets inactifs. Chrome est parfois taxé de lenteur. C'est pourquoi toute amélioration visant à accélérer les choses est la bienvenue. Et si Chrome laisse à l'utilisateur le choix des améliorations qu'il souhaite mettre en œuvre, c'est encore mieux. </div> <i>Source : <a href="https://www.zdnet.com/article/chrome-adds-a-quick-fix-tool-to-speed-up-your-browser-with-a-single-click/" target="_blank" rel="noopener">"ZDNet.com"</a></i>

Samsung confirme l’arrivée d’une nouveauté majeure en 2025 (et ce n’est pas un smartphone)

Alors que le casque Vision Pro d’Apple est déjà sur le marché, le produit de réalité mixte de Samsung se fait attendre. Pour rappel, début 2023, le géant coréen a officialisé sa collaboration avec Google et Qualcomm pour développer son produit de réalité mixte. Et on pensait que ce produit serait disponible en 2024. Mais alors qu’on approche de la fin de l’année, il devient de plus en plus évident que le casque ou les lunettes AR/VR de Samsung n’arriveront que l’année prochaine, au plus tôt.

Mais la bonne nouvelle, c’est qu’un document publié par Samsung vient de confirmer l’arrivée de son produit de réalité mixte en 2025. Comme vous le savez peut-être déjà, l’entreprise vient de présenter ses résultats financiers du troisième trimestre. Et ces résultats sont résumés dans un document PDF publié par Samsung, qui inclut aussi ses perspectives pour l’année prochaine. Le constructeur y indique que l’année prochaine, il compte “Améliorer la connectivité entre les produits, y compris les prochains appareils XR (ndlr, réalité mixte), pour améliorer encore l’expérience utilisateur dans l’écosystème Galaxy.”

Comme il le fait déjà sur les smartphones, Samsung devrait s’appuyer sur une plateforme logicielle fournie par Google, tandis que les puces seront proposées par la société Qualcomm.

Samsung va continuer à miser sur l’IA

En plus d’évoquer les futurs produits de réalité mixte, le document présente aussi la stratégie de Samsung sur les smartphones pour l’année prochaine. Par exemple, on apprend via ce document que pour la série Galaxy S25, Samsung va continuer à miser sur l’intelligence artificielle pour doper les ventes. Samsung indique par ailleurs qu’il compte aussi améliorer la rentabilité de sa division smartphone en améliorant l’IA, et en développant des ventes centrées sur les produits phares.

Sinon, Samsung prédit une légère croissance du marché des smartphones en 2025, tandis que ceux des tablettes, des PC portables et des montres connectées devraient se développer.

  • Samsung vient de publier ses résultats financiers du troisième trimestre et la présentation qui résume ces résultats mentionne les futurs produits de réalité mixte du constructeur
  • Ces produits devraient arriver en 2025, d’après ce document
  • Samsung a annoncé son retour sur ce marché, via un partenariat avec Google et Qualcomm, en 2023

📍 Pour ne manquer aucune actualité de Presse-citron, suivez-nous sur Google Actualités et WhatsApp.

C’est Halloween : préparez-vous à trembler avec ces 6 jeux d’horreur à ne pas rater

Halloween est la période rêvée pour se replonger dans des titres qui ont marqué le genre par leur atmosphère glaçante et leur narration captivante. Jeux indépendants ou jeux à plus gros budget, il y en a pour tous les goûts. Des couloirs tortueux de l’esprit d’un artiste aux forêts brumeuses de Bright Falls, ces six œuvres promettent des dizaines d’heures de tension et d’angoisse ponctuées de sursauts pour les amateurs de sensations fortes.

Layers of Fear : les démons de la création

Le studio polonais Bloober Team nous invite dans l’esprit tourmenté d’un peintre en quête de son chef-d’œuvre et obsédé par la perfection. Très rude à vivre psychologiquement, ce titre sorti en 2016 sur PC (disponible sur Steam), PlayStation 4 et Xbox One, floute les limites du réel dans un manoir victorien dont l’architecture se déforme au rythme de la folie grandissante du protagoniste. Les couloirs s’allongent infiniment, les portes se multiplient, les tableaux prennent vie et l’on se demande avec anxiété ce qui se cachera derrière chaque nouvelle porte.

Le jeu brille par son atmosphère très pesante tendant vers le psychédélisme horrifique, son ambiance glauque à souhait et ses visions d’horreur qui vous maintiendront en haleine jusqu’à la dernière touche de peinture.

À savoir, le jeu a bénéficié d’une nouvelle version en 2023, plutôt originale puisqu’il ne s’agit même pas d’un remaster ou d’un simple remake. Les développeurs ont poussé le travail un cran plus loin en proposant une réinterprétation totale du jeu original, de ses DLC et de sa suite Layers of Fear 2, le tout tournant sous le sublime Unreal Engine 5.

[embedded content][embedded content]

Silent Hill 2 : l’enfer de la brume

Konami a marqué l’histoire du jeu vidéo en 2001, en sortant Silent Hill 2, une plongée vertigineuse dans les abîmes de la culpabilité. James Sunderland, veuf tourmenté, reçoit une lettre de son épouse décédée l’invitant à la rejoindre à Silent Hill. S’ensuit une descente aux enfers psychologique où chaque monstre, chaque environnement reflète les tourments intérieurs du protagoniste.

Le jeu a révolutionné le genre par sa narration mature et sa symbolique profonde, portées par la bande-son magistrale d’Akira Yamaoka. La version remastérisée de 2024, développée aussi par Bloober Team est disponible sur PC, PlayStation 5 et Xbox Series, a réussi à sublimer cette œuvre intemporelle avec des graphismes à couper le souffle. La ville de Silent Hill, enveloppée d’un brouillard épais et omniprésent, vous hantera probablement des années après l’avoir visitée.

[embedded content][embedded content]

SOMA : l’horreur de l’être

Frictional Games, créateur de la mythique série Amnesia, a encore une fois fait grand bruit en 2015 avec cette aventure sous-marine dystopique. Dans la station PATHOS-II, le joueur incarne Simon Jarrett, un homme ordinaire projeté dans un futur post-apocalyptique.

Entre les coursives métalliques rouillées et les abysses insondables dans lesquels vous serez plongé, SOMA interroge brillamment la nature de la conscience et de l’identité humaine. Sommes-nous vraiment nous-mêmes si nos souvenirs peuvent être altérés ou effacés ? La conscience existe-t-elle grâce à notre corps, notre esprit, ou quelque chose de plus intangible ?

Le jeu se démarque par son système de dissimulation qui évite les traditionnels combats au profit d’une tension permanente, renforcée par une atmosphère sonore exceptionnelle. Dans SOMA, vous serez la proie et n’aurez aucun moyen de défense, si ce n’est la fuite pour vous cacher le plus rapidement possible. Disponible sur PC, PS4 et Xbox One, SOMA est l’un des rares jeux qui a su marier l’horreur viscérale et questionnements philosophiques profonds.

[embedded content][embedded content]

The Quarry : l’hommage aux slashers

Supermassive Games nous a livré en 2022, l’héritier spirituel d’Until Dawn. Cette production ambitieuse suit neuf moniteurs de colonie de vacances piégés dans une nuit sanglante à Hackett’s Quarry. Nous sommes plutôt proches ici du film interactif reprenant les codes des films d’horreur classiques des années 1980, notamment les slashers comme Halloween, Vendredi 13 ou Les Griffes de La Nuit.

Pour autant, le jeu est une vraie réussite, particulièrement grâce à son système de choix qui feront évoluer le scénario en votre faveur… ou non. Chaque décision aura un impact sur le déroulement de l’histoire et pourra conduire à la survie ou à la mort brutale des personnages.

La réalisation est de haute volée, servie par un casting incluant David Arquette et Brenda Song, une bande-son éclatante et une atmosphère terriblement oppressante. Le titre est disponible sur PC, PS5, PS4, Xbox Series et Xbox One.

[embedded content][embedded content]

Blair Witch : la terreur sylvestre

En 2019, Bloober Team (encore !) s’empare de la licence culte pour livrer une expérience exceptionnelle dans les bois de Black Hills. Ellis, ancien policier accompagné de son fidèle chien Bullet, recherche un enfant disparu dans une forêt maudite. Blair Witch excelle dans sa représentation de la désorientation et de la paranoïa croissante, sublimée par un sound design oppressant qui transforme chaque craquement de branche en menace potentielle.

Armé d’un simple caméscope, vous pourrez manipuler la réalité, révéler des indices cachés et créer des liens avec le passé. Vous serez très heureux d’être accompagné de votre toutou, un véritable personnage à lui seul qui vous apportera le réconfort nécessaire au cœur de cette forêt claustrophobique.

Disponible sur PC, PS4, Xbox One et Switch, si vous aimez les jeux qui vous invitent à l’exploration lente, Blair Witch saura vous tenir compagnie durant les froides soirées automnales qui s’annoncent.

[embedded content][embedded content]

Alan Wake 2 : le retour triomphal

Remedy Entertainment a frappé très fort en 2023 avec cette suite tant attendue par les fans de la série (13 ans d’attente tout de même !). Alan Wake, toujours prisonnier du Dark Place, partage désormais l’affiche avec Saga Anderson, agent du FBI enquêtant sur des meurtres rituels à Bright Falls.

Le jeu révolutionne la formule originale en embrassant pleinement l’horreur survivaliste, tout en conservant ses mécaniques de combat basées sur la lumière. En effet, l’une de vos principales armes est… une lampe torche qui vous servira à éclairer l’environnement, mais surtout à repousser vos ennemis. Le puissant moteur Northlight permet des effets de lumière saisissants et une modélisation des personnages criante de réalisme.

Disponible sur PC, PS5 et Xbox Series, Alan Wake 2 n’a pas déçu : une narration complexe et métafictionnelle inspirée par David Lynch, une direction artistique très soignée et un gameplay aux petits oignons. Nous tenons là un titre qui frôle la perfection sur beaucoup d’aspects.

[embedded content][embedded content]

De l’horreur psychologique pure aux expériences narratives plus cinématographiques, chacun de ces titres a apporté avec brio sa pierre à l’édifice du genre survival-horror. Ces six œuvres prouvent que le jeu vidéo est désormais un terrain plus que fertile pour explorer nos peurs les plus profondes. La plupart de ces titres sont, de plus, proposés à un prix dérisoire sur Steam jusqu’au 4 novembre (à part Alan Wake 2) pour l’événement L’Épouvantable Halloween de Steam.

  • Certains jeux explorent la folie, la conscience et les peurs profondes pour offrir une expérience horrifique et psychologique captivante.
  • Des œuvres cultes ont été revisitées pour proposer aux fans des aventures encore plus saisissantes.
  • Les récits de certains titres propulsent le joueur dans des ambiances dignes des meilleurs films d’horreur.

📍 Pour ne manquer aucune actualité de Presse-citron, suivez-nous sur Google Actualités et WhatsApp.

10 milliards de robots en 2040 : l’incroyable prédiction d’Elon Musk

D’après Elon Musk, d’ici 2040, il y aura plus de robots humanoïdes sur Terre que d’humains. Le patron de Tesla a partagé cette prédiction alors qu’il intervenait via visioconférence lors d’une conférence en Arabie Saoudite. “Chaque pays disposera d’une IA ou de plusieurs IA, et il y aura beaucoup de robots, bien plus de robots que d’êtres humains”, a-t-il également déclaré. Elon Musk estime qu’il pourrait y avoir au moins 10 milliards de robots, dont les prix se situent entre 20 000 dollars et 25 000 dollars.

Tesla anticipe déjà cette demande

Pour rappel, si Tesla est surtout connu pour ses véhicules électriques, l’entreprise développe également des robots humanoïdes baptisés Optimus. D’après le site de Tesla, Optimus est conçu pour exécuter les tâches dangereuses, ennuyeuses, ou répétitives à la place des humains. Et Elon Musk estime que ce sont les robots Optimus qui pourraient doper la croissance de Tesla sur le long terme. En effet, celui-ci, la capitalisation de Tesla pourrait dépasser les 25 billions de dollars (25 000 milliards de dollars) grâce aux robots. Musk estime par ailleurs qu’Optimus aura plus d’impact à long terme que les robotaxis de Tesla, qui ne permettraient d’atteindre que 5 billions de dollars de capitalisation.

Un marché de 38 milliards de dollars en 2035 ?

Le principal intérêt des humanoïdes est qu’ils ne sont pas programmés pour un seul usage. Ainsi, si ce type de robot peut travailler dans les usines, il pourrait aussi, plus tard, travailler en tant que robot domestique. D’ailleurs, Musk a déjà indiqué, précédemment, qu’on pourrait même demander à ces robots de garder nos enfants. Mais comme d’habitude, les déclarations de Musk, qui est parfois un peu trop optimiste, sont toujours à considérer avec prudence.

En tout cas, le marché des robots humanoïdes pourrait être gigantesque d’ici une dizaine d’années. Par exemple, Jacqueline Du, une analyste chez Goldman Sachs, a prédit que ce marché pourrait peser 38 milliards de dollars en 2035.

  • Elon Musk prédit que d’ici 2040, il y aura plus de robots que d’humains sur Terre
  • Tesla développe déjà un robot humanoïde baptisé Optimus
  • Et Musk pense que, grâce à ce produit, la capitalisation de Tesla pourrait dépasser les 25 billions de dollars
  • D’après une analyste de Goldman Sachs, le marché des robots humanoïdes pourrait dépasser les 38 milliards de dollars en 2035

📍 Pour ne manquer aucune actualité de Presse-citron, suivez-nous sur Google Actualités et WhatsApp.

Gemini : l’intelligence artificielle de Google pourrait aussi conduire des véhicules à votre place

Les modèles d’IA Gemini de Google peuvent déjà répondre à nos questions, nous aider à nous organiser, à rédiger des documents ou encore à coder des applications. Mais dans un avenir qui n’est pas si lointain, Gemini pourrait aussi… conduire des véhicules. En tout cas, c’est la nouvelle piste qui est explorée par Waymo, la filiale d’Alphabet (maison-mère de Google) spécialisée dans les véhicules autonomes et les robotaxis.

Aujourd’hui, Waymo est leader dans son domaine. La filiale d’Alphabet propose déjà un concurrent d’Uber qui exploite des voitures autonomes dans quelques villes américaines, et qui réalise plus de 150 000 courses par semaine. Et si Waymo est satisfait des technologies qu’il utilise actuellement, celui-ci explore désormais la possibilité d’améliorer ses véhicules autonomes en ayant recours à l’intelligence de Gemini.

Dans une récente publication, Waymo présente un article scientifique dans lequel il décrit une nouvelle technologie baptisée End-to-End Multimodal Model for Autonomous Driving. “Propulsé par Gemini, un grand modèle de langage multimodal développé par Google, EMMA utilise un modèle formé unifié de bout en bout pour générer les trajectoires futures des véhicules autonomes directement à partir des données des capteurs. Formée et optimisée spécifiquement pour la conduite autonome, EMMA exploite les vastes connaissances mondiales de Gemini pour mieux comprendre les scénarios complexes sur la route”, lit-on dans le communiqué de Waymo.

Pourquoi utiliser Gemini ?

L’approche actuelle de Waymo s’appuie sur plusieurs modules indépendants pour réaliser les différentes tâches de la conduite autonome. L’avantage de ce système est qu’il facilite le débogage et l’optimisation de chaque module séparément. Cependant, celui-ci a un problème d’évolutivité. Et ce système aurait du mal à s’adapter à de nouveaux environnements, car il est optimisé pour des scénarios ciblés.

L’utilisation des grands modèles de langage multimodaux (qui comprennent aussi bien les textes que les images) pourrait résoudre ce problème d’évolutivité. “En effet, les MLLM, en tant que modèles de base généralistes, excellent dans deux domaines clés : (1) ils sont formés sur de vastes ensembles de données à l’échelle d’Internet qui fournissent une riche « connaissance du monde » au-delà de ce qui est contenu dans les journaux de conduite courants, et (2) ils démontrent des capacités de raisonnement supérieures grâce à des techniques telles que le raisonnement en chaîne de pensée”, lit-on dans l’article de Waymo.

Des défis à relever

Mais pour le moment, bien que l’utilisation de l’intelligence artificielle générative sur les voitures autonomes a un énorme potentiel, Waymo estime qu’il y a encore d’importants défis à relever. Par exemple, le système EMMA imaginé par Waymo a encore des limitations au niveau de sa capacité à traiter les vidéos. De plus, celui-ci ne comprend encore que les images, mais pas les données provenant de capteurs plus complexes, comme les capteurs LiDAR.

“Bien qu’EMMA démontre des résultats prometteurs, elle en est encore à ses débuts avec des défis et des limites en matière de déploiement embarqué, de capacité de raisonnement spatial, d’interprétabilité et de simulation en boucle fermée. Malgré cela, nous pensons que nos découvertes EMMA inspireront de nouvelles recherches et progrès dans ce domaine”, indique l’article de Waymo.

  • Gemini peut déjà résumer des e-mails, répondre aux questions ou encore générer du code informatique
  • Mais celui-ci pourrait, plus tard, être utilisé par les systèmes de conduite des voitures autonomes
  • Waymo, le spécialiste des robotaxis, a imaginé un nouveau système basé sur Gemini pour gérer la conduite autonome
  • Mais pour le moment, les travaux n’en sont qu’à leurs débuts, car, si ce système présente un énorme potentiel, il a aussi d’importantes limitations qu’il faudra d’abord éliminer

📍 Pour ne manquer aucune actualité de Presse-citron, suivez-nous sur Google Actualités et WhatsApp.

En contournant le virage de l’électrique, Toyota s’est pris un mur

Au cours de ces dernières années, Toyota nous a plutôt habitués à des chiffres flatteurs, mais ce n’est pas ce qui vient de se produire. Le géant japonais fait en effet face à une chute mondiale de sa production. Faisons le point.

Des difficultés en Chine et au Japon

Comme le précise Electrek, la firme nippone a construit 4,71 millions de véhicules au cours du premier semestre 2024, soit une baisse de 7 % par rapport au record de l’année précédente : 5,06 millions de voitures produites. C’est aussi la première fois depuis quatre ans que Toyota voit sa production mondiale diminuer.

Alors, que se passe-t-il ? La compagnie éprouve notamment des difficultés sur le marché chinois où sa production est en baisse de 17 %. Elle fait surtout face à un nouveau géant de l’électrique : BYD qui cartonne avec son Seagull vendu à seulement 10 000 dollars sur place.

Sur ses propres terres, Toyota est aussi en danger. En effet, BYD a lancé le Seal, souvent comparé au Model 3 de Tesla. La firme de l’Empire du Milieu multiplie les initiatives et commence à faire de l’ombre à son rival japonais, qui a pris du retard en matière de véhicules électriques.

Toyota veut se relancer sur l’électrique

Bien sûr, le géant de l’automobile est loin d’avoir dit son dernier mot. Il a ainsi annoncé en septembre dernier un plan de 7 milliards de dollars en vue d’électrifier l’industrie japonaise. Ce projet inclut d’ailleurs Nissan et d’autres grandes sociétés locales.

Toyota promet donc des batteries de nouvelle génération qui seraient bien plus efficaces et moins chères. L’ambition est d’ailleurs, d’ici 2027, d’offrir une autonomie d’environ 600 km. Si ce pari est tenu, le constructeur tiendrait dans son jeu un sérieux atout, car les clients citent souvent ce facteur dans les raisons qui les poussent à retarder l’achat d’une voiture électrique.

Joignant les actes à la parole, l’entreprise mise d’emblée 1,7 milliard de dollars pour booster ses filiales spécialisées et lancer une nouvelle usine pour sa marque de luxe, Lexus, qui doit voir le jour d’ici 2029.

À court terme, on a toutefois appris que Toyota a prévu de réduire sa production mondiale de voitures électriques à un million de voitures en 2026. Ce qui représenterait une baisse d’environ 30 % par rapport à son plan antérieur (autour de 1,5 million). Pour en savoir plus à ce sujet, n’hésitez pas à aller relire notre article dédié ici.

📍 Pour ne manquer aucune actualité de Presse-citron, suivez-nous sur Google Actualités et WhatsApp.

Spotify, Deezer : la taxe streaming a fait beaucoup de bruit pour des résultats décevants

Au cours des derniers mois, la nouvelle taxe sur le streaming musical a fait beaucoup parler d’elle. Poussée par le CNM (Centre National de la Musique), qui a pour but de soutenir les professionnels de la musique et de garantir la diversité, le renouvellement et la liberté de la création musicale, la mise en place de cette taxe s’est retournée contre les utilisateurs de Spotify. Après moult menaces, la plateforme suédoise a augmenté ses tarifs le 1er juillet dernier. Que cela soit légitime de la part de Spotify, ou pas, là n’est pas la question.

Entrée en vigueur depuis bientôt un an, il est temps de faire un point. Il semblerait que la taxe sur le streaming musical n’ait pas été à la hauteur des attentes du gouvernement. Du moins, pas encore.

La taxe sur le streaming musical rapporte 6 millions d’€ de moins que prévu

Quand le gouvernement a mis en place la nouvelle taxe sur le streaming musical, quitte à s’attirer les foudres de Spotify, il estimait que celle-ci rapporterait 15 millions d’euros sur l’année 2024. Une somme rondelette pour réaliser de nombreuses actions afin de faire rayonner les artistes francophones, notamment. Malheureusement, le gouvernement a eu les yeux plus gros que le ventre.

À l’heure actuelle, cette taxe n’a permis au CNM d’encaisser que 7,1 millions d’euros. D’ici à la fin de l’année, ce chiffre devrait grimper à 9,3 millions d’euros, selon le président du Centre National de la Musique Jean-Philippe Thiellay devant la commission culture du Sénat. Par rapport aux prévisions annoncées, cela représente 38% de moins soit un manque de 6 millions d’euros. Aïe.

Le président du CNM explique ces faibles résultats par un démarrage lent. Face au Sénat, Jean-Philippe Thiellay précise aussi qu’il faut notamment prendre en compte le plancher d’imposition à 20 millions d’euros de chiffre d’affaires qui fait que pendant plusieurs mois les entreprises n’atteignent pas ce plancher”. De plus, le texte n’étant pas encore publié au Bulletin officiel, certains acteurs du milieu semblent en profiter tant qu’ils le peuvent. Ainsi, il a explicitement demandé à ce que “les services fiscaux fassent leur travail”.

Rappelons que cette taxe sur le streaming musical est obligatoire. Les plateformes de streaming sont, par conséquent, sommées de reverser 1,2% de leur chiffre d’affaires afin de contribuer au financement de la filière musicale. Malgré ce manque de 6 millions d’euros, le Centre National de la Musique affirme avoir pu réaliser plusieurs actions qui n’auraient pas été possibles sans l’avènement de cette taxe. Comme des clips de Julien Doré et Barbara Pravi ou encore des aides à l’export d’artistes comme Pomme, Indila et Zaho de Sagazan.

📍 Pour ne manquer aucune actualité de Presse-citron, suivez-nous sur Google Actualités et WhatsApp.

Deezer
3,9 M avis