C’est le principal argument de différenciation de Fairphone : ses écouteurs (comme ses autres produits) sont éco-responsables. Concrètement, comment la marque peut s’assurer de respecter cet engagement ?
D’abord en sélectionnant des matériaux au mieux recyclés (terres rares et plastique), au pire issus du commerce équitable (l’or par exemple). Lorsqu’elle n’a pas d’autre choix que d’utiliser des matériaux « neufs », la marque investit dans des crédits Fairmined (pour l’or) et Fairtrade (pour l’argent et le cobalt) pour compenser son emprunte carbone.
Résultat : les Fairbuds sont neutres en termes de déchets électroniques, assure la marque. Les 78 g du produit fini sont compensés par le recyclage de 78 g de déchets électroniques explique Fairphone.
Sur le volet humain, l’entreprise comble « l’écart entre le salaire minimum et un salaire décent » et oeuvre « activement à l’amélioration des conditions de travail auprès de la direction des usines ». Difficile de vérifier ces informations sans mener une enquête approfondie, je prends donc le parti de croire Fairphone sur parole (en attendant un futur reportage).
Ce qui est sûr, en revanche, c’est que l’on peut réparer les Fairbuds soi-même, sans avoir besoin d’une connaissance approfondie en électronique. La société propose de réparer sept éléments : les écouteurs, la batterie, l’anneau en silicone, les embouts, la coque de l’étui de chargement, la coque du boîtier de chargement ainsi que sa batterie.
Ce dernier élément est sans doute le plus important, la baisse d’autonomie au fil du temps étant la principale raison du renouvellement précipité d’une paire d’écouteurs.
Enfin, cette excellente réparabilité s’accompagne d’une garantie constructeur étendue à 3 ans, quand le reste du marché ne dépasse pas les deux ans.
Si vous cherchez à vous équiper en limitant au maximum votre empreinte carbone, Fairphone fait mieux que le reste du marché, et de loin.
L’avantage des écouteurs plus volumineux (j’y reviendrai), c’est qu’ils intègrent généralement des batteries plus imposantes. En conséquence, les Fairbuds se montrent très endurants. J’ai ainsi utilisé les écouteurs près de 7 heures avec la réduction de bruit activée. C’est deux heures de mieux que les chiffres annoncés par la marque.
Le boîtier autorise quatre recharges complètes : environ 2 heures pour le boîtier et 10 minutes pour récupérer 1h30. En tout, j’ai donc pu démarrer ma semaine avec les Fairbuds et ne les recharger que le vendredi soir. Un vrai atout face à l’autonomie correcte mais sans plus des AirPods Pro.
S’il est un domaine dans lesquels mes AirPods Pro me donnent entière satisfaction, c’est bien celui de la réduction de bruit. En dehors de quelques rares références (Bose, Sony), aucune autre marque n’a jamais réussi à me faire abandonner les AirPods Pro.
Si les Fairphone ne me feront pas changer d’avis (logique au regard de leur positionnement tarifaire), ils se révèlent très efficaces dans cet exercice. Equipés de 6 micros, les écouteurs détectent les bruits ambiants et les annulent ou les amplifient en fonction du mode d’écoute choisi.
L’ANC des Fairbuds réduit la plupart des sons parasites les plus problématiques : la rue, les transports, le vent. Ils ne font toutefois pas d’étincelles et ne nous enferment pas non plus dans une bulle acoustique. Le mode transparence, lui, est moins flamboyant.Habitué à l’excellence de celui des AirPods Pro, j’ai ressenti une sacrée différence avec les Fairbuds. Ainsi, la reproduction des bruits environnants est très approximative.
Malgré ces faiblesses techniques, le résultat reste très correct pour des écouteurs vendus 149 euros. Les Fairbuds ne sont ni meilleurs ni moins bons que leurs concurrents. Et ce n’est déjà pas si mal.
Les Fairbuds sont équipés d’un transducteur de 11 mm recouvert de titane. Une construction de qualité pour des écouteurs de cette gamme. Le résultat est-il à la hauteur ? Tout dépend de ce que l’on écoute.
La principale faiblesse des Fairbuds se situe au niveau des basses, beaucoup trop discrètes pour satisfaire les amateurs de hip-hop ou de musique électronique. L’égaliseur de l’application permet bien d’améliorer légèrement l’ensemble, mais il ne fait pas de miracle.
Les Fairbuds reproduisent en revanche très bien les médiums, notamment les voix. Si vous aimez les chansons à texte ou les podcasts, vous en serez donc très satisfaits. D’autant que l’excellente gestion de la stéréo permet une belle reproduction de la scène sonore.
Tout n’est donc pas parfait, l’ensemble se tient, mais des écouteurs vendus moins chers proposent une signature sonore bien plus séduisante. En jouant la carte de l’équilibre, Fairphone peut espérer convaincre une plus large audience, quoi que. Les sons les plus écoutés en 2024 sont plutôt basseux…
Comme la plupart des utilisateurs d’écouteurs, j’ai fait ce choix d’accessoire pour éviter l’encombrement du casque. J’apprécie donc de pouvoir glisser mon matériel dans ma poche par exemple.
Avec ses dimensions de géant (65 x 65 x 27 mm), le boîtier des Fairbuds est tout sauf discret. Le prix à payer pour intégrer la batterie amovible et le système d’ouverture en double épaisseur.
Au quotidien, ce gabarit ne se révèle pas du tout pratique : lourds et encombrants, les Fairbuds se rangent le plus souvent dans un sac à dos (ou à main), une banane ou un manteau avec de grandes poches. Oubliez le pantalon, même un peu large, ils passent mais gênent la démarche. Dommage.
À l’instar du boîtier, les écouteurs sont aussi lourds et imposants. Leur tenue n’est pas non plus des plus confortables. Je n’ai par exemple même pas tenté de les prendre avec moi pour une petite demie heure de course à pied. Là encore, cet encombrement s’explique par la possibilité d’ouvrir chaque écouteur afin d’en remplacer la pile, au besoin.
Cet inconfort est d’autant plus ennuyeux que l’on contrôle la musique depuis leur surface tactile. Dès que l’on appuie dessus, l’écouteur bouge légèrement ce qui oblige à le repositionner quasi systématiquement. J’ai donc passé mes deux semaines de test à remettre mes écouteurs à l’oreille toutes les cinq minutes. Une plaie.
Vais-je conserver les Fairbuds à la place des AirPods Pro ? La réponse est non, pour des raisons très personnelles : je suis audiophile et je me déplace beaucoup, j’ai donc besoin d’écouteurs légers avec une bonne qualité de sons.
Toutefois, avec ses premiers écouteurs sans fil, Fairphone rend une copie plutôt propre : sans être exceptionnelle, la qualité de son reste agréable, la réduction de bruit est convaincante et l’autonomie est excellente. Surtout, les Fairbuds se distinguent par leur conception éco-responsable qui passe par un haut niveau de réparabilité. Une fabrication qui rend l’ensemble encombrant et lourd. Des inconvénients acceptables si l’on souhaite avec une démarche plus écologique.
Meta est aujourd’hui l’un des leaders du marché de la réalité mixte. La société de Mark Zuckerberg commercialise déjà des casques comme le Quest 3. Mais son but ultime est de commercialiser à grande échelle des lunettes de réalité augmentée, plus compactes, qui pourront remplacer les smartphones. Et visiblement, le groupe a fait d’immenses progrès puisque d’après son CEO, Mark Zuckerberg, Meta devrait bientôt dévoiler sa première paire de lunettes “holographiques”.
Le prototype est presque prêt
Dans une interview avec la chaîne YouTube Kallaway, Zuckerberg révèle que le prototype de lunettes holographiques de Meta est presque prêt. Celui-ci indique par ailleurs qu’il s’agit d’un produit révolutionnaire, et que les personnes qui ont pu essayer la technologie ont été “étourdies”. Le patron de Meta n’en dit pas plus, mais explique que le groupe va commencer à faire des démonstrations de cette technologie. Mais malheureusement, la commercialisation de ces lunettes holographiques pourrait encore être lointaine. En effet, Mark Zuckerberg indique que l’entreprise préfère continuer à développer une version améliorée, plutôt que de vendre un prototype.
En tout cas, à un moment où la concurrence est de plus en plus rude sur le marché de la réalité mixte, Meta semble vouloir montrer à quel point il est avancé dans ce domaine. Pour rappel, depuis cette année, Meta fait face à la concurrence d’Apple, qui commercialise son casque Vision Pro. De plus, Google et Samsung se sont alliés pour développer un produit de réalité mixte. Et lors de sa concurrence Google I/O, Google a fait le teasing de futures lunettes de réalité augmentée dopées à l’intelligence artificielle. En même temps, Meta doit aussi justifier les milliards de dollars qu’il dépense sur ses projets de réalité mixte, en évoquant régulièrement ses dernières avancées technologiques. En effet, pour le moment, la division de Meta spécialisée dans la réalité mixte cause d’énormes pertes pour le groupe.
Le bracelet qui lit dans les pensées et toujours dans les tuyaux
En même temps, le groupe Meta travaille aussi sur une interface qui pourrait également révolutionner la réalité augmentée : un bracelet qui lit dans les pensées. Cela fait un moment que le groupe travaille sur cette technologie et celle-ci a, une fois de plus, été évoquée par Mark Zuckerberg dans son interview. Pour rappel, il s’agit d’un bracelet muni de capteurs, qui détectent les mouvements subtils de la main, pour convertir ces mouvements en commandes. L’idée est que l’utilisateur n’aura qu’à penser à faire un geste, pour que ce geste soit réalisé sur le logiciel de réalité augmentée.
Le groupe Meta travaille sur des lunettes holographiques et indique que son prototype est presque prêt
Meta devrait bientôt faire des démonstrations, mais la commercialisation n’est pas prévue dans l’immédiat
Mark Zuckerberg explique que Meta préfère améliorer sa technologie au lieu de vendre un prototype
Meta continue aussi de travailler sur son bracelet connecté qui lit (presque) dans les pensées
C’est un nouveau signal d’alarme. Dans un rapport récemment publié, l’American Optometric Association (AOA) démontre que passer plus de 7h par jour sur des écrans s’avère très nocif pour la santé. Cela représente aussi un coût d’environ 73 milliards de dollars par an pour l’économie américaine, précisent les experts.
Des risques pour la santé physique et mentale
Concrètement, cette exposition prolongée peut générer la fatigue oculaire numérique et le syndrome de vision informatique. Les effets de ces derniers sont notamment la sécheresse oculaire, une vision floue, ainsi que des maux de tête et des douleurs dorsales et cervicales. Autant de désagréments tristement connus des employés qui travaillent sur un ordinateur.
Mais la liste ne s’arrête pas là, car la productivité des salariés tend peu à peu à reculer, tandis que la qualité de vie tendra à se dégrader avec un recul de la qualité du sommeil ou de la santé mentale du travailleur concerné.
Il va sans dire que les experts suggèrent de passer, dans la mesure du possible, moins de temps derrière des écrans. Outre ces mesures de bon sens, Ronald Benner, président de l’AOA suggère : “Ces résultats soulignent l’importance d’adopter de meilleures habitudes en matière de temps passé devant un écran et de passer un examen annuel complet en personne avec un médecin optométriste afin de préserver la santé des yeux et la santé générale”.
Protéger les enfants
Ce n’est clairement pas la première fois que l’effet délétère du temps passé sur les écrans est pointé du doigt. En 2022, nous citions ainsi cette étude sur les effets cognitifs d’une exposition prolongée des enfants en bas âge.
Des problèmes cognitifs sont ainsi susceptibles d’apparaître avec des soucis d’attention, de concentration, voire de dépendance et d’addiction. Cela rejaillit à l’école où des difficultés d’écriture et de langage apparaissent en classe. Enfin, et pour ne rien arranger, des problèmes de surpoids liés à l’absence d’activité physique, voire même de dépression peuvent survenir. Pour tenter de remédier au problème, vous pouvez retrouver notre article où nous répertorions 3 outils pour passer moins de temps derrière les écrans.
Ce qu’il faut retenir :
Une étude américaine présente des dangers ignorés des écrans
Il en va ainsi du syndrome de vision informatique
Cela n’a rien d’évident, mais il faut essayer de réduire le temps passé devant des écrans
Le 9 juillet prochain, le monde du spatial aura les yeux rivés vers Kourou, en Guyane française. Il s’agira du tout premier vol de la fusée Ariane 6, qui doit prendre la suite de la célèbre Ariane 5, à la retraite depuis un an. Un vol très attendu qui doit servir de démonstration pour ArianeGroup. L’entreprise veut démontrer qu’elle est toujours à la page, face à une concurrence (de SpaceX essentiellement) toujours plus féroce.
Mais cette mission, qui devait être l’aboutissement d’années de travail pour des milliers de personnes en Europe comme autour du pas de tir, a déjà été entachée. En effet, Eumetsat, l’agence européenne de satellites météorologiques a décidé de gâcher la fête.
Elle devait envoyer un appareil en orbite au cours de ce tout premier vol, permettant à Ariane 6 de ne pas voler à vide. Mais elle a décidé de se rétracter, deux semaines avant le décollage, préférant SpaceX et une fusée Falcon 9 pour envoyer son satellite en orbite.
Un vol à vide
En cette fin de semaine, l’annonce a fait l’effet du bombe. Dans le petit monde du spatial européen, certains cadres ne décolèrent toujours pas. Ils se sentent “trahis” par l’un des leurs, une agence européenne, qui a préféré SpaceX au fleuron de l’industrie spatiale du vieux continent.
Pour Ariane 6 la perte de cette mission est surtout un gros coup symbolique. Les finances de l’entreprise ne seront qu’égratignées par cette désertion, mais pour l’image de marque, c’est une autre histoire. Ariane 6 souffre déjà de la concurrence avec Ariane 5, sa grande soeur adorée de tous et reconnue comme une fusée ultra-fiable, l’annonce d’un vol à vide pour la première mission du 9 juillet n’était pas vraiment la publicité dont ArianeGroup avait besoin.
D’un autre côté, peut-on vraiment en vouloir à Eumetsat. L’agence européenne a choisi la fusée la plus fiable, la moins chère et la plus populaire du marché. Au détriment d’un lanceur européen, inadapté à son époque, et dont les seules qualités avérées sont les lettres de noblesse de son fabricant.
Ariane 6 ne fait rêver personne, et c’est bien là le drame de ce lanceur. Il n’a pas encore quitté la Terre, mais il ne donne envie à aucun industriel ou presque.La fusée est en effet à usage unique, ce qui oblige ArianeGroup à prévoir longtemps à l’avance ses décollages, qui seront au nombre de 2 à 3 par an. Contre plus de 200 pour les Falcon 9 de SpaceX, qui sont réutilisables.
Esthétiquement, comme technologiquement, la fusée semble toujours bloquer au siècle dernier. ArianeGroup mise sur deux propulseurs à poudre pour faire décoller le corps central de la fusée, une architecture abandonné depuis des années par le reste de l’industrie (à l’exception du SLS, la fusée qui doit rejoindre la Lune pour le compte de la NASA, mais dont les plans remontent à 2004).
Pour ne rien arranger, le calendrier d’Ariane 6 a déjà pris trois ans de retard sur les prévisions initiales de son constructeur. Le Covid-19 est en grande partie responsable de ce délai, plus qu’acceptable dans le monde spatial, mais le savoir-faire d’ArianeGroup commence également a être remis en question.
Ariane 6 ne fait pas rêver
Les ingénieurs qui ont fait le succès de l’entreprise semi-privée dans les années 90 avec Ariane 5 sont tous ou presque à la retraire. La nouvelle garde est elle intéressée par des projets plus “innovants” et “flexibles” offerts par le New Space.
Dans un article pour Les Échos, le professeur de l’école des Mines Frédéric Arnoux annonçait déjà au début de l’année 2023 une “fuite des cerveaux” des ingénieurs européens vers les géants américains. Un “exode” particulièrement visible en France. Les résultats de ce processus, enclenché depuis une grosse décennie, seraient aujourd’hui criants chez ArianeGroup malgré les déclarations rassurantes de la direction.
Au début de l’année ArianeGroup a supprimé plus de 700 postes, dans le même temps SpaceX continue de recruter de jeunes ingénieurs à la sortie d’école. Depuis l’été 2020, l’entreprise d’Elon Musk a plus d’employés qu’ArianeGroup.
Malgré ces critiques et un avenir sombre pour Ariane 6, la fusée volera. Pour deux principales raisons. La première c’est qu’elle présente des qualités certaines. Pour continuer dans la comparaison avec Falcon 9, la fusée européenne peut envoyer 11 tonnes de charge utile en orbite géostationnaire. C’est trois de plus qu’une fusée de SpaceX.
Le deuxième grand avantage d’Ariane 6, c’est son origine. La fusée est, avant même d’avoir volée, la solution numéro 1 pour de nombreux acteurs du spatial. En Europe, elle sera sélectionnée par plusieurs départements et agences, pour des questions de souveraineté mais aussi de sécurité nationale. La DGA (Direction Générale des Armées) n’enverra pas d’appareils sensibles en orbite avec une fusée de SpaceX, sa seule solution est donc à ce jour Ariane 6.
Le New Space européen, adversaire ou confrère ?
Mais même au sein de l’Europe, Ariane 6 pourrait perdre son monopole. La fusée sera en effet concurrencer d’ici à quelques années par d’autres lanceurs (légers pour la grande majorité). Ces fusées sont en cours de développement en France, en Allemagne ou en Espagne. Des dizaines de start-up veulent se faire une place dans le marché des lanceurs européens.
Même au sein du groupe Ariane, la fusée 6e du nom n’est pas la seule solution envisagée pour rejoindre l’espace. Le projet MaiaSpace, filiale d’ArianeGroup pourrait bien faire de l’ombre à la maison mère. Le programme dispose déjà d’une belle enveloppe de 125 millions d’euros pour se développer, et MaiaSpace fait partie des quatre entreprises candidates à un plan de financement gouvernemental de 400 millions d’euros dans le cadre du programme France2030. Le premier vol est lui attendu pour la fin d’année 2025.
Face à autant d’adversaires, l’avenir d’Ariane 6 s’annonce plus qu’incertain. La fusée, qui volera donc à vide le 9 juillet prochain, va devoir rapidement remplir son carnet de commandes si elle ne veut pas tomber dans les oubliettes d’une industrie spatiale en pleine mutation.
Si vous hésitez entre plusieurs modèles de smartphones pliants, c’est peut-être car leur fiche technique est justement trop “technique”. Pour mieux comprendre les intérêts de chacun des meilleurs du moment, il faut ainsi mettre en perspective les usages qui en découlent. C’est ce que nous avons pu constater lors de nos différents tests, dont des images illustrent ce guide.
Au sein de celui-ci, vous découvrirez quels sont les meilleurs points forts de chaque modèle, selon nous. Bien sûr nous relevons aussi les imperfections, et les prix. Il s’agit des principaux critères à prendre en compte lors de l’achat, pour ne pas faire face à de mauvaises surprises par la suite. Et lorsque nous en dénichons, nous listons aussi dans ce comparatif les bonnes affaires pour s’offrir les meilleurs smartphones pliants à petit prix.
Commençons par le modèle qui nous a le plus impressionnés ces derniers mois : le OnePus Open. Certes, l’appareil est un des plus chers de ce comparatif avec un prix de 1 849 euros tout de même. Mais son design est particulièrement réussi. Or, les ratés des smartphones pliants sont nombreux côté look. Le dos de l’appareil permet notamment d’apercevoir un imposant capteur photo, signature de ce modèle. On pourrait alors penser que les clichés capturés avec sont excellents.
Ce n’est pourtant pas toujours le cas, et notre test de ce smartphone pliant a pu prouver que l’appareil photo s’avère “perfectible”. C’est plutôt dommage, d’autant plus qu’aujourd’hui, de nombreux capteurs de modèles flexibles les considèrent intrinsèquement comme des appareils haut de gamme. Alors, bien sûr, les clichés du OnePus Open restent à la hauteur de son prix : idéaux près de neuf fois sur dix. Le grand-angle fait notamment très bien le travail, et on voit que le travail d’Oppo (qui a collaboré sur ce mobile) porte ses fruits.
Avec ce smartphone, la pliure est par ailleurs très discrète et son rendu s’avère plus confortable que celui d’un Samsung Galaxy Z Fold 5, par exemple. La charnière très visible était le défaut de nombreux mobiles pliants par le passé, mais le OnePus Open a donc su résoudre ce pain point. Avec ceci, le format du dispositif est particulièrement imposant et, une fois déplié, fait office de véritable station de travail nomade. Il vous suffit d’ailleurs de brancher un moniteur externe au port USB-C, et vous voici doté d’un centre de contrôle pour votre activité professionnelle.
Côté performances, ce smartphone n’est pas en reste puisque c’est tout bonnement l’un des plus puissants de sa génération, et du marché. D’ailleurs, même la cadence d’un écran secondaire ne vient pas ralentir le système, ce qui arrive pourtant avec de vrais ordinateurs. Certes, ici, vous n’aurez pas droit aux mêmes logiciels. Mais bon nombre de nos apps peuvent maintenant être utilisées sur tous les formats, ce que le OnePus Open permet d’exploiter pleinement.
En Chine, ce mobile porte un autre nom : il s’agit du Oppo N3 Flip. Mais ne vous y méprenez pas ; la fiche technique est en réalité la même. À la différence près – non négligeable – que l’édition asiatique offre des déclinaisons plus abordables. C’est notamment le cas de la version avec 12 Go de RAM et 512 Go de stockage interne. Vous devrez ainsi opter forcément pour 16 Go de RAM et la même capacité de stockage, en France, avec le OnePus Open.
Ceci ne signifie pas pour autant que vous devez choisir l’édition orientale, bien au contraire. En effet, le système d’exploitation du OnePus Open, avec sa surcouche, est mieux adapté à la France. Sachez aussi que le fabricant propose de profiter de quatre mises à jour Android majeures, et c’est garanti. Les mises à jour de sécurité étant, pour leur part, supportées durant cinq ans. Précisons cependant qu’Apple fait mieux, avec au moins cinq ans de mises à jour d’iOS et des patchs pendant plusieurs semestres ensuite. Mais Cupertino n’a pas encore sorti de smartphone pliant.
Le OnePus Open est disponible en deux coloris, à ce jour : noir et gris. Même tarif pour les deux.
OnePlus Open au meilleur prixPrix de base : 1 849 €
Voir plus d’offres
Samsung Galaxy Z Fold 5
Le meilleur smartphone pliant pour le multitâche nomade.
[embedded content][embedded content]
Le Samsung Galaxy Z Fold 5 est souvent considéré comme LA référence en matière de smartphone pliant, probablement car son constructeur n’a pas lésiné sur le marketing. Souvent, cette pratique est synonyme de vanity metrics. Mais le Samsung Galaxy Z Fold 5 n’en met pas en avant davantage que la moyenne de la concurrence, et au final, la fiche technique n’en a pas vraiment besoin. Jugez vous-même : cet appareil, qui se plie dans le même sens que le OnePus Open, a notamment droit à l’un des meilleurs processeurs de mobiles en 2024.
Il s’agit de la puce Snapdragon 8 de deuxième génération, gravée avec une précision de quatre nanomètres. Celle-ci offre des performances époustouflantes, et ce, sans que l’appareil ne surchauffe trop rapidement. L’écran s’avère par ailleurs magnifique grâce à la technologie AMOLED, que Samsung maîtrise à la perfection depuis de longues années maintenant. En prime, pour la photo, ce mobile est également un bon exécutant.
En l’utilisant, vous profiterez notamment d’une définition de cinquante mégapixels en grand-angle, avec ouverture f/1.8. En résultent des images plutôt réussies, idem pour le téléobjectif et l’ultra grand-angle de douze millimètres. À l’avant, cependant, Samsung nous cantonne à quatre pauvres mégapixels de définition : c’est à se demander si ce n’est pas une erreur. Mais ce capteur photo est un grand-angle, alors que bon nombre de smartphones ne proposent pas cet atout pour la caméra frontale.
On retrouve malgré tout la plupart de ces avantages aussi sur le Samsung Galaxy Z Fold 4, ce qui pourrait rebuter certains au vu du prix de son successeur. Il faut en effet débourser 1 899 euros pour se l’offrir. C’est donc aussi un des plus chers, parmi tous les smartphones pliants que nous avons pu comparer. Certains pourraient donc vouloir obtenir le Fold 4, mais ce n’est pas la forcément la meilleure idée puisque ce modèle sera supporté moins longtemps, en théorie.
Pour en revenir au Samsung Galaxy Z Fold 5, notons aussi que son intégration avec le reste de l’écosystème de la même marque est particulièrement réussie. C’est même peut-être ce qui permet au mobile de se différencier le mieux. En effet, aujourd’hui, ni Motorola, ni Honor, ni ZTE, ni OnePus ne fabriquent à la fois des écouteurs sans fil, des tablettes, des ordinateurs ainsi que des montres connectées. Ce sont tous les autres fabricants de ce comparatif, qui par ailleurs ne sont pas non plus les plus avancés côté IA.
En effet, l’intelligence artificielle fait partie intégrante des fonctionnalités du Samsung Galaxy Z Fold 5 et du Samsung Galaxy Z Flip 5. Toute une suite d’options automatisées vous y attend, comme une alternative à Google Lens très efficace. Celle-ci s’appelle “Entourer pour chercher” et, comme son nom l’indique, reconnaît n’importe quel élément que vous indiquez de la sorte dans une photo. L’outil peut même identifier différents types de plantes, même si la fiabilité n’atteint pas toujours les 100 %.
L’intelligence artificielle des Samsung Galaxy Z Fold 5 vous suggère aussi les meilleures modifications à apporter à vos images, lors de la retouche. Vous pouvez donc créer des contenus professionnels de qualité avec cet appareil. Et les vrais producteurs vous confirmeront que c’est plutôt rare, sur mobile.
Un inconvénient non négligeable se cache cependant sous le châssis du Samsung Galaxy Z Fold 5, dont l’autonomie est plutôt moyenne. En effet, on ne peut compter ici que sur 4 400 mAh alors que des mobiles premium qui ne se déplient pas font parfois beaucoup mieux. Les iPhone 15 Pro Max, par exemple, sont fournis avec une pile de 4 441 mAh.
Si vous souhaitez vous offrir le Samsung Galaxy Z Fold 5, sachez cependant que comme cet appareil est sorti depuis longtemps, il est souvent en réduction.
Galaxy Z Fold5 au meilleur prixPrix de base : 1 899 €
Un deuxième smartphone pliant de Samsung figure dans notre comparatif : le Galaxy Z Flip 5. Ce modèle se plie cette fois-ci dans le sens de la largeur, et c’est d’ailleurs le premier de la liste a être conçu dans cet objectif. Il est certes plus cher que le Nubia Flip 5G, au design similaire, mais revient au même prix que le Motorola Razr 50 Ultra. En revanche, la fiche technique commence à dater et il est peut-être judicieux de patienter jusqu’au Samsung Galaxy Z Flip 6 pour s’offrir cette gamme. Ce modèle devrait en effet offrir des performances similaires au standard du secteur actuel.
Attention, le Samsung Galaxy Z Flip 5 est quand même rapide et enchaîne les calculs sans broncher, même avec l’intelligence artificielle embarquée de Galaxy AI. Mais sa batterie de 3 700 mAh est là aussi plutôt limite. Décidément, Samsung devrait revoir ce point. Du reste, l’expérience offerte par un Samsung Galaxy Z Flip 5 est peu ou prou la même que sur Samsung Galaxy Z Fold 5, en dehors du format.
En effet, le Samsung Galaxy Z Flip 5 est tout à fait compact et rappelle d’ailleurs le design d’une bonne vieille GameBoy Advance SP. Son clapet est particulièrement agréable à utiliser, même si le son du OnePus Open fait un peu mieux. Du reste, le design et les finitions sont de haute voltige et on sent que l’on tient un appareil haut de gamme entre les mains, avec le Z Flip 5.
Galaxy Z Flip5 au meilleur prixPrix de base : 1 199 €
Voir plus d’offres
Honor Magic V2
Le smartphone pliant le plus endurant, pour les digital nomads.
Le Honor Magic V2 est un autre exemple de ce qui se fait de mieux sur les marché des smartphones pliants, avec des performances de haut vol et un écran tout simplement magnifique. La conception est aussi de qualité, ce qui, comme cité précédemment, se fait rare sur le marché des pliables. Vous avez ici le choix entre plusieurs capacités de stockage, de 256 Go à 1 To. Choisissez celle qui vous convient en fonction du volume des fichiers que vous échangez le plus souvent. Pour des jeux ou des logiciels de production, une large mémoire peut être nécessaire.
Avant de passer à la caisse, sachez néanmoins que le Honor Magic V2 n’est pas étanche. C’est un vrai problème si vous le faites tomber dans du liquide, comme vous pouvez le deviner. Il faudra aussi être assez prudent avec la poussière. En effet, si celle-ci s’immisce sous la coque, le mécanisme de la pliure pourrait bien ne plus fonctionner correctement.
Vous pouvez obtenir le Honor Magic V2 en France pour la coquette somme de 1 999 euros. C’est un tarif exorbitant. Au vu du montant, on aurait apprécié que le fabricant ne fasse aucune impasse sur la fiche technique (coucou l’étanchéité). Mais le Honor Magic V2 est tout de même plus grand que le Samsung Galaxy Z Fold 5, ce qui offre un bien meilleur confort lorsque vous regardez des films. On peut même dire que ce mobile a de quoi remplacer une tablette. Vous pourriez donc économiser le prix de ce produit, en n’achetant qu’un smartphone, vous étant utile dans les mêmes cas de figure.
Honor Magic V2 au meilleur prixPrix de base : 1 999 €
Voir plus d’offres
Motorola Razr 50 Ultra
Pour une pliure presque invisible et des performances de haut vol.
Avec le Motorola Razr 50 Ultra, le fabricant nous propose un autre format qui se plie comme une console de jeux portable. Le rendu est assez bon, nous sommes d’ailleurs en train de tester l’appareil en ce moment même. Le fabricant améliore la recette du modèle précédent et nous propose notamment de profiter ici d’une certification IPX8, qui manquait cruellement au Honor Magic V2. L’écran est par ailleurs immense pour un format tout en longueur, avec pas moins de 6,9 pouces au compteur.
Ce modèle est, en prime, moins cher que les mobiles pliants au format plus carré, comme le Pixel Fold et le Samsung Galaxy Z Fold 5. Comptez ainsi 1 199 euros pour un appareil neuf avec la configuration de base, soit autant, en somme qu’un Samsung Galaxy Z Flip 5. Cependant, ce dernier est sorti avant et profite donc de meilleures réductions en ce moment.
Lorsque déplié, le Motorola Razr 50 Ultra se présente comme un smartphone traditionnel et ne vous dépaysera donc pas énormément si vous venez de ce format. De plus, le système d’exploitation est épuré et nous sommes à des années-lumière de l’expérience proposée par les surcouches disgracieuses de bon nombre de marques concurrentes. Du reste, sachez que ce mobile est propulsé par une puce Snapdragon Snapdragon 8 Gen 1 Gen 3, et que vous aurez droit à huit ou douze gigaoctets de mémoire vive selon le modèle.
Ce qu’il faut surtout savoir à propos du ZTE Nubia Flip 5G, c’est que c’est tout bonnement le moins cher de ce comparatif. Il ne faut en effet débourser que 599 euros pour s’offrir la version de base ! Soit près de quatre fois moins cher qu’un bon Honor Magic V2. Le ZTE Nubia Flip 5G se plie cependant dans l’autre sens, mais son rapport qualité/prix est tout bonnement imbattable, à ce jour. Quelques outsiders pourraient bientôt venir faire de l’ombre à cet appareil. Mais même la concurrence de Blackview n’est pas à la hauteur encore aujourd’hui, sur le secteur du milieu de gamme.
Le ZTE Nubia Flip 5G est doté d’un deuxième écran de 1,43 pouce, visible une fois plié. C’est assez petit, car le Motorola Razr 50 Ultra offre par exemple un second écran de 4 pouces à l’avant. Mais comme cet affichage est souvent cantonné aux notifications, ce n’est pas si gênant. Sachez simplement que les fonctionnalités de la petite dalle seront plus développées sur un Samsung Galaxy Z Flip 5, par exemple.
Le ZTE Nubia Flip 5G vous permet aussi de profiter d’un taux de rafraîchissement à cent vingt images par seconde. C’est une caractéristique technique premium, que l’on retrouve sur des mobiles près de quatre fois plus chers comme les iPhone 15 Pro Max. En prime, le ZTE Nubia Flip 5G dispose de la charge rapide. Si vous avez besoin de faire le plein de l’électricité en dernière minute, c’est un atout qui ne manquera pas de vous dépanner.
Conclusion : quel smartphone pliant choisir en 2024 ?
Pour savoir quel smartphone pliant acheter, encore faut-il savoir quelles sont les caractéristiques techniques qui vous importent le plus. Comme vous l’avez constaté, il est aussi question de comparer les fonctionnalités. Les smartphones pliants de Samsung sont dotés d’options uniques avec le deuxième écran du Flip ou l’intelligence artificielle, par exemple. Mais ce ne sont pas les mobiles les plus endurants.
Le ZTE Nubia Flip 5G a l’avantage de se recharger vite, et de coûter beaucoup moins cher. Quant au Honor Magic V2, nous nous devions de le comparer car c’est un des leaders. Mais son tarif surélevé devrait rebuter la majorité des consommateurs.
Lors du choix de votre smartphone pliant, pensez aussi à vous renseigner sur la compatibilité des réseaux mobiles ou sur les fonctionnalités de sécurité, notamment si vous optez pour ce format au bureau. Et bien sûr, nous mettrons à jour ce guide aussi souvent que nécessaire, pour couvrir l’actualité des nouveaux modèles.
Aspirateur balai, purificateur d’air, sèche-cheveux, toute la gamme Dyson profite de remises pouvant atteindre jusqu’à 200 euros pendant cette période estivale. Le constructeur propose ses produits phares à des prix encore jamais vus.
Il y en a pour tous les goûts et tous les budgets, et de quoi se faire plaisir pour un été plein de fraîcheur. Parmi les offres qui valent le coup, nous avons retenu 3 références du constructeur britannique, qui bénéficient de promos exclusives durant les soldes d’été. Ne tardez pas trop, les stocks pourraient partir très vite !
200€ de réduction sur le Dyson V15 Detect™ Absolute
Pour des sols toujours impeccables, le Dyson V15 Detect™ Absolute est le meilleur choix que vous puissiez faire. Cet aspirateur balai sans-fil se montrera redoutablement efficace pour éliminer la poussière et les débris de votre intérieur. Ce dernier embarque un moteur Dyson Hyperdymium™ ultra performant qui peut effectuer jusqu’à 125 000 tours par minute et offre une grande puissance d’aspiration de 240 AW.
Aussi, le Dyson V15 Detect™ Absolute laisse vos sols propres dès son premier passage. Il vous garantit donc un gain de temps considérable, et vous permet ainsi de vaquer à d’autres occupations. Avec lui, passer l’aspirateur est un vrai bonheur, et faire le ménage n’est plus une corvée. Parfait pour se débarrasser facilement les poils de votre animal de compagnie, mais aussi des cheveux, éliminer les traces laissées par un enfant de bas âge, le Dyson V15 Detect™ Absolute est paré à toutes les situations.
Ce modèle premium est en capable d’adapter sa puissance en fonction de la saleté de vos sols. Il est outre doté de deux brosses, pour un nettoyage optimal et en profondeur. Dans le détail, il embarque donc la brosse Digital MotorBar™, qui a l’avantage d’intégrer la technologie auto-démêlante, mais aussi la brosse Optic Fluffy™, qui dispose d’une lumière verte vous permettant de voir les poussières microscopiques invisibles à l’œil nu. De quoi profiter d’une efficacité redoutable lorsqu’il s’agit de faire le ménage chez vous.
Le Dyson V15 Detect™ Absolute offre une autonomie pouvant atteindre jusqu’à 60 minutes, de quoi vous laisser largement le temps d’aspirer la totalité de votre logement. L’aspirateur vient avec pas moins de 6 accessoires, dont sa station murale, qui fait aussi office de chargeur. Il est équipé d’un écran LCD qui permet d’avoir un rapide aperçu sur ses performances en temps réel, mais aussi sur l’autonomie restante, le mode de puissance actif, ou bien encore sur les rappels de maintenance du filtre et le niveau de charge.
Grâce aux offres des soldes d’été, vous pouvez profiter d’une remise immédiate de 200 euros sur cette pépite. Ainsi, le Dyson V15 Detect™ Absolute passe à seulement 599 euros au lieu de 799 euros. C’est donc une excellente opportunité pour vous équiper de ce qu’il se fait de mieux chez Dyson en matière d’aspirateur balai sans-fil.
Pour un air purifié et frais, rien de mieux que le Dyson Purifier Cool™ Formaldehyde ! Cet appareil fait office de ventilateur et de purificateur d’air. Il s’avère être votre meilleur allié, notamment pour faire face aux chaleurs estivales, mais aussi pour tout le reste de l’année.
Celui-ci intègre un filtre HEPA et à charbon actif qui le rend capable de capturer les gaz et 99,95% des particules aussi petites que 0,1 micron. Aussi, le Dyson Purifier Cool™ Formaldehyde est en mesure d’éliminer efficacement le formaldéhyde, la poussière, les allergènes mais aussi les virus. Rien ne lui résiste !
L’appareil intègre en outre la technologie Air Multiplier™ qui projette un air purifié dans votre pièce. Ainsi, le Dyson Purifier Cool™ Formaldehyde peut projeter plus de 290 litres d’air par seconde afin de vous garantir un flux d’air rafraîchissant cet été. Parfait pour la saison des allergies, le Dyson Purifier Cool™ Formaldehyde est un appareil incontournable. Une fois que vous l’aurez essayé, vous ne pourrez plus vous en passer.
Fort de son expertise dans la conception d’appareils à flux d’air, Dyson propose aussi des appareils pour la coiffure. Ainsi, son sèche-cheveux Dyson Supersonic™ représente la crème de la crème dans sa catégorie. Ce dernier et facile à manier, puisqu’il est très léger et procure une expérience utilisateur ultra convaincante. Les résultats qu’il délivre vous donneront la sensation que vous êtes passer entre les mains d’un professionnel de la coiffure.
Le sèche-cheveux Dyson Supersonic™ propose une excellente maîtrise la chaleur, vous garantissant de la sorte un séchage rapide, sans abîmer vos cheveux. Pour se faire, il s’appuie sur la technologie Air Multiplier™ qui garantie un débit d’air triplé d’une grande puissance. Le sèche-cheveux Dyson Supersonic™ ne se contente pas seulement de sa simple fonction de séchage. Il sera également parfait pour réaliser de multiples coiffures, en fonction de vos envies du moment.
Il vient avec une pléiade d’embouts, lui permettant de s’adapter aux différents types de coiffures et à tous les types de cheveux. Avec lui, vous pourrez facilement réaliser de superbes boucles et ondulations, notamment grâce à son diffuseur. Tandis que son embout de séchage doux s’avère très pratique pour coiffer les cheveux fins et les cuirs chevelus les plus sensibles. Le Dyson Supersonic™ propose aussi un embout de finition lisse, qui permet de maîtriser les chevelures plus rebelles.
Le genre super-héroique a connu son heure de gloire grâce à l’univers cinématographique Marvel (MCU). Avant eux, d’autres pionniers tels que Tim Burton, Sam Raimi, ou encore Christopher Nolan ont montré que ces longs-métrages pouvaient être d’excellente qualité.
Sur le site d’évaluation Metacritic, on peut retrouver des notes allant de 0 à 100 basées sur l’agrégation des critiques de ces œuvres. Voici donc les trois meilleurs films de super-héros de l’histoire selon ce critère.
Avec 84 sur 100, c’est Christopher Nolan qui rafle la mise avec le second volet de sa trilogie du chevalier noir. Ce film doit aussi beaucoup au regretté Heath Ledger, parfait dans le rôle du joker. Voici le synopsis fourni par Warner Bros :
Batman fait monter les enchères dans sa guerre contre le crime. Avec l’aide du lieutenant Jim Gordon et du procureur Harvey Dent, Batman entreprend de démanteler les dernières organisations criminelles qui sévissent dans les rues de la ville. Ce partenariat s’avère efficace, mais les deux hommes se retrouvent bientôt en proie au règne du chaos déclenché par un génie du crime en pleine ascension, connu des citoyens terrifiés de Gotham sous le nom de Joker.
Avec une note de 83 sur 100, Sam Raimi se trouve en seconde position. D’après le synopsis officiel :
Dans le deuxième volet de la série Spider-Man, basée sur le héros classique de Marvel Comics, Tobey Maguire reprend le rôle du doux Peter Parker, qui jongle avec l’équilibre délicat de sa double vie d’étudiant et de combattant du crime surhumain. L’aventure divertissante s’intensifie et la vie de Spider-Man devient encore plus compliquée lorsqu’il affronte un nouvel ennemi, le brillant Otto Octavius (Molina), qui s’est réincarné en “Doc Ock”, un maniaque aux multiples tentacules.
Ce premier film du MCU complète ce podium avec un score 79 sur Metacritic. Dans cette pépite, nous suivons les aventures de Tony Stark, un entrepreneur et un innovateur génial. Ce touche-à-tout est enlevé lors d’un déplacement en Afghanistan. Nous assistons alors à la genèse d’un super-héros : Iron Man. Armé de nombreuses technologies, ce dernier met ses compétences et son argent au service du bien.
Ce film très réussi a lancé l’univers cinématographique Marvel au cinéma. Ce succès est en grande partie dû au talent de l’acteur Robert Downey Jr. qui, après un gros passage à vide, a su relancer avec brio sa carrière.
Chez Coyote, l’utilisateur est au coeur de la stratégie d’entreprise. Avec cinq cadres dédiés exclusivement à faire remonter la « Voix du Client », le Français se distingue par sa capacité d’adaptation aux besoins de ses 5 millions d’utilisateurs.
C’est grâce à ces retours que Coyote est en mesure aujourd’hui de proposer une toute nouvelle application, repensée pour répondre aux attentes des conducteurs tout en conservant le savoir-faire de la marque.
Alertes moins intrusives
Les ingénieurs ont d’abord travaillé sur le design sonore des alertes.Là où Waze et Google Maps se contentent souvent d’alertes basiques, Coyote a collaboré avec Sound to Sight, une société française spécialisée dans le sound design automobile, pour créer des alertes sonores plus musicales tout en restant efficaces.
L’entreprise souhaite créer une expérience de conduite plus sereine, tout en maintenant un haut niveau de sécurité. Les nouveaux sons permettent ainsi d’alerter le conducteur de manière plus agréable, que ce soit pour signaler la progression dans une zone de contrôle ou un dépassement de vitesse.
« Il était important pour nous de repenser le design sonore de nos alertes avec le souci d’allier la sérénité à l’efficacité, explique Stéphane Curtelin, Directeur marketing et produits de Coyote. Nous avons travaillé avec les équipes expertes de Sound to Sight, une société française spécialisée dans le sound design automobile, pour proposer à notre Communauté de conducteurs des alertes sonores plus musicales tout en continuant d’interpeller en cas de danger. Notre principale préoccupation est d’attirer l’attention du conducteur lorsqu’il le faut, grâce à nos alertes audibles et visibles. Et c’est ce qui fait la force du service d’aide à la conduite Coyote depuis toujours, par rapport aux autres solutions existant sur le marché ».
Carte plus lisible et intelligence artificielle
Coyote fait aussi évoluer son interface visuelle pour améliorer la lisibilité des informations. Les couleurs de la carte ont été revues, avec un contraste plus marqué des routes. De nouvelles représentations du trafic et des routes fermées ont été introduites, utilisant un code couleur universel (pointillés rouge/blanc) facilement compréhensible.
Pour rivaliser avec les algorithmes puissants de Google et Waze, Coyote mise sur l’intelligence artificielle pour améliorer la précision de ses alertes. L’entreprise a développé un algorithme de fusion des alertes signalées par sa communauté en cas de contrôle temporaire. Cet algorithme permet non seulement d’éviter la multiplication d’alertes pour un même événement, mais aussi de calculer avec une grande précision la zone exacte d’un contrôle de vitesse.
Coyote a enrichi ses données en s’appuyant sur les informations anonymisées remontées par ses utilisateurs, combinées à celles de son partenaire cartographe Here. Cette approche permet d’améliorer significativement le calcul des temps de trajet, notamment en cas de bouchons, offrant ainsi une alternative crédible aux estimations de Waze et Google Maps.
Et plus encore…
Contrairement à ses concurrents qui se concentrent uniquement sur leurs applications mobiles, Coyote développe tout un écosystème d’aide à la conduite. L’entreprise a annoncé le lancement prochain d’un nouveau boîtier d’aide à la conduite, répondant ainsi à la demande de millions d’utilisateurs qui préfèrent un appareil dédié à une application smartphone.
Par ailleurs, Coyote prévoit de lancer une nouvelle version de son traceur pour l’offre Coyote Secure, améliorant encore son efficacité et son autonomie. Cette diversification des produits permet à Coyote de répondre à un plus large éventail de besoins des conducteurs, là où Waze et Google Maps restent cantonnés à leurs applications.
Coyote ne compte pas s’arrêter en si bon chemin. L’entreprise a déjà annoncé une refonte encore plus complète de son application pour 2025. Cette vision à long terme témoigne de sa volonté de rester à la pointe de l’innovation dans le domaine de l’aide à la conduite.
« Cette mise à jour majeure de notre application mobile, portée notamment par un nouveau design sonore que nous n’avions pas fait évoluer depuis la création du service, n’est qu’une première étape dans le cycle de renouvellement que nous avons entamé chez Coyote », analyse Stéphane Curtelin. Et de conclure :
D’ici à la fin de l’année 2024, nous lancerons sur le marché un nouveau boitier d’aide à la conduite pour répondre à la demande des millions d’utilisateurs de nos devices ainsi qu’une nouvelle version du traceur de l’offre Coyote Secure pour en améliorer encore l’efficacité et l’autonomie. Enfin, nous lancerons courant 2025 une refonte encore plus complète de l’application Coyote.
Coyote lance une nouvelle version de son application
Elle se concentre sur le confort de alertes sonores et la lisibilité de la cartographie
Coyote prévoit d’autres améliorations dans les mois à venir pour s’imposer face à Waze et Google Maps
De nombreux experts font remarquer à juste titre l’impact négatif des nouvelles IA générative sur les émissions carbone et le changement climatique. On sait en effet que ces outils sont extrêmement gourmands en énergie et posent un vrai souci de durabilité s’ils sont utilisés à grande échelle.
Des chiffres très surprenants
Une nouvelle étude publiée dans la revue Scientific Reports a abordé ce problème différemment. Les auteurs se sont ainsi intéressés à des services tels que ChatGPT, Bloom AI, DALL-E2 et ils ont comparé leurs émissions de CO2 avec celles produites par des humains effectuant les mêmes tâches.
Les chercheurs ont constaté que ces IA émettent “entre 130 et 1 500 fois moins de CO2e (équivalent dioxyde de carbone) par page de texte générée que les rédacteurs humains et que les systèmes d’illustration émettent entre 310 et 2 900 fois moins de CO2e par image que les humains”.
Andrew Torrance, un des scientifiques de l’Université du Kansas impliqué sur cette recherche, confie sa surprise :
J’aime à penser que je suis guidé par les données, et pas seulement par ce que je pense être vrai. Nous avons eu des discussions sur quelque chose qui semble vrai en termes d’émissions d’IA, mais nous voulions examiner dans le concret. Lorsque nous l’avons fait, les résultats ont été étonnants. Même selon des estimations prudentes, l’IA est extrêmement moins émettrice.
Très optimiste, ce dernier poursuit :
Ce n’est pas une malédiction, c’est une aubaine. Je pense qu’elle contribuera à faire des bons écrivains de grands écrivains, des écrivains médiocres de bons écrivains et à démocratiser l’écriture. Elle peut rendre les gens plus productifs et renforcer le potentiel humain. Je suis extrêmement optimiste : la technologie s’améliore à bien des égards et réduit les effets que nous avons sur la Terre. Nous espérons que ce n’est qu’un début et que les gens continueront à approfondir cette question.
L’humain doit garder le contrôle
Les auteurs tiennent toutefois à nuancer ces résultats. Ils expliquent ainsi que les émissions carbone ne sont pas le seul facteur à prendre en compte en ce qui concerne l’IA. Ainsi, l’IA peut générer des pertes d’emploi massives et déstabiliser nos sociétés.
Elle peut aussi porter atteinte aux droits d’auteurs et pose des questions juridiques. Il convient donc selon eux d’envisager une collaboration entre l’homme et les machines qui permet d’améliorer la productivité, tout en laissant les utilisateurs garder le contrôle sur la production.
À l’aube des élections législatives, un secteur se montre particulièrement préoccupé par l’issue des élections. Favorisée par une politique avantageuse depuis plusieurs années, la French Tech doit aujourd’hui se préparer à un après Macron.
« Une start-up nation est une nation où chacun peut se dire qu’il pourra créer une start-up. Je veux que la France en soit une », écrivait le président de la République sur X.com en avril 2017, un mois avant son ascension au pouvoir. Depuis, de nombreuses initiatives ont été déployées afin de favoriser un écosystème de l’innovation française.
Le plan France 2030, par exemple, prévoit 50 milliards d’euros pour développer la compétitivité industrielle et les technologies d’avenir au sein de l’Hexagone. L’initiative Tibi, elle, vise à inciter les investisseurs institutionnels à financer les entreprises technologiques les plus innovantes. Ces programmes portent déjà leurs fruits, la France abritant certaines des start-up les plus prédominantes d’Europe. Elle domine même le secteur tant convoité de l’intelligence artificielle (IA) générative sur le Vieux Continent, notamment grâce à son jeune fleuron Mistral AI.
Le secteur est maintenant plongé dans l’inquiétude, les derniers sondages en lien avec les élections législatives laissant Renaissance loin dans la course derrière le Rassemblement National et le Nouveau Front populaire.
La peur du repli sur soi après les élections législatives
« Pour gagner, le meilleur atout de la France est l’innovation et la priorité est à l’intégration européenne, à la diversité des talents et à l’attractivité des financements internationaux. Pas au retour du nationalisme ni à la tentation des extrêmes ou au repli sur soi », affirme dans une tribune publiée dans Les Échos Maya Noël, directrice générale de France Digitale, plus important collectif de start-up et d’investisseurs en Europe.
Au-delà de la crainte d’une politique économique moins favorable, la French Tech s’inquiète aussi du nationalisme et du rejet d’un idéal européen au terme des élections. Car de nombreux talents évoluant dans le pays sont issus de pays étrangers. « Sans les ingénieurs et développeurs venant d’Inde, du Maroc, d’Algérie, d’Ukraine, de Syrie, d’Ouzbékistan, des Philippines ou des Etats-Unis, nos entreprises se priveraient d’une richesse, d’une source d’innovation et de diversité, indispensables à notre compétitivité », poursuit Maya Noël.
Malgré tout, quelques acteurs ne cachent pas leur préférence, et une tendance se dégage chez certains. Ils estiment que l’arrivée au pouvoir du Nouveau Front populaire serait plus néfaste pour leur activité. « Nous sommes plus inquiets de l’arrivée de l’extrême gauche au pouvoir que de celle de l’extrême droite, car le RN est pro-industrie », explique un lobbyiste dans les semi-conducteurs dans les lignes de Contexte.
Quelle que soit l’issue des élections législatives, les start-up savent que leur avenir s’est assombri, et attendent désormais de voir à quel point leurs opérations seront affectées.
