Meta double ses bénéfices au troisième trimestre
La maison mère de Facebook semble se porter à merveille. Les derniers résultats publicitaires sont plus que dans le vert et les bénéfices dépassent les 11 milliards de dollars.
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Sur le secteur premium des ardoises numériques, il n’y a plus vraiment foule du côté du haut de gamme. Il faut dire qu’Apple domine tellement de la tête et des épaules que cela en devient presque décourageant pour les autres constructeurs. Si bien que ces derniers tentent de grappiller quelques miettes en s’installant sous…la barre des 500 euros. C’est le cas d’Oppo, avec sa Pad Air, de Xiaomi avec sa Pad 6, de OnePlus avec sa Pad et plus récemment de Lenovo avec ses Tab P12 Pro et M10.
Dès que l’on monte un peu en gamme, seul l’irréductible Samsung résiste à la domination de la firme de Cupertino. On pourrait éventuellement citer Huawei, avec sa dernière MatePad Pro 11, mais ce produit ressemble plus à un coup d’éclat qu’à une réelle résistance.
Du coup, lorsque le sud-coréen renouvelle son trio de tablettes premium, forcément nous sommes en branle-bas de combat. La Galaxy Tab S9 est-elle suffisamment armée pour défier Apple et son iPad Air (2022) ? Et surtout, possède-t-elle assez de nouveautés pour que les possesseurs de Tab S8 se tournent vers elle ? Après plus d’un mois de test, voici notre avis.
Bien qu’elle soit plus accessible que ses deux grandes sœurs, la Galaxy Tab S9 est tout de même vendue à partir de 899 € pour sa version 128 Go – Wi-Fi.
Soit une nette augmentation par rapport à la Tab S8, lancée à 769 euros en 2022, avec la même configuration.
Pour la version 128 Go et 5G, le tarif passe à 1099 euros, tandis que les versions 256 Go – Wi-Fi et 256 Go – 5G affichent 1049 euros et 1199 euros. Chaque modèle est disponible en deux couleurs et dispose du style S-Pen.
Pour justifier la segmentation de ses trois tablettes, Samsung avait jusqu’à présent réservé la meilleure technologie d’écran à ses modèles Plus et Ultra. Cette année, ce n’est plus le cas. La nouvelle Tab S9 troque donc sa dalle de 11 pouces LCD pour du Dynamic AMOLED 2X d’une définition de 2560 x 1600 pixels.
Avant d’en profiter, nous avons dû passer les couleurs en mode Naturel. Comme à son habitude, le mode Vif de Samsung présente quelques dérives sur les déclinaisons de bleu et de rouge. Une fois ce changement effectué, la Tab S9 possède une température de couleurs bien plus appréciable et proche de la réalité.
Du côté de la luminosité, c’est suffisant pour un usage en extérieur et très satisfaisant la nuit en intérieur. C’est un beau cadeau qu’offre Samsung ici à sa cadette avec cet écran. La Tab S9 offre globalement une expérience visuelle bien plus premium que la Tab S8 de 2022.
C’est l’autre grande nouveauté de cette année. La Tab S9 se met au diapason de ce qui se fait de mieux en matière de puissance. À savoir la puce Snapdragon 8 Gen 2. Un SoC puissant et efficace qui fait des petites merveilles depuis son lancement et qu’on peut déjà trouver sur le Samsung Galaxy S23.
Sans surprise, la puce la plus athlétique de Qualcomm, ici épaulée par 8 Go de mémoire vive, est un véritable régal en termes de CPU. Elle sait tout faire vite et bien. Cela confère à la Galaxy Tab S9 une polyvalence extrêmement appréciable. Bureautique, streaming vidéo, gestion du multitâche, retouche photo et vidéo… Il est très difficile de faire toussoter la petite dernière du constructeur sud-coréen.
En termes de gaming, c’est également un vrai régal. Tous les jeux tournent avec la meilleure configuration avec une fluidité et une stabilité hors pair. Franchement, Samsung intègre et gère à merveille la toute-puissance de la Snapdragon 8 Gen 2.
Cette mainmise se ressent également du côté de la gestion de la température. Même après des sessions de trois ou quatre heures d’affilée, la chauffe est restée admirablement contenue.
Voici une question qui a fait grandement débat au sein de la rédaction. Est-ce que la Tab S9 peut se substituer complètement à un ordinateur ? Pour des loisirs et du multimédia, sans contestation possible. Dès que nous étions à notre domicile ou en déplacement, notre Macbook Air est resté constamment au garage. Pour une utilisation quotidienne dans un cadre professionnel, tout va être une question de goût.
Comme sur les anciens modèles, il est possible d’adjoindre à la Galaxy Tab S9 un clavier. Deux modèles Samsung sont disponibles : le Book Cover Keyboard Slim (150 euros) et une version plus premium, le Book Cover Keyboard (230 euros). Soit dans les deux cas, une sacrée rallonge tarifaire.
Utilisée de cette manière, la tablette de Samsung devient un produit totalement viable pour travailler au long cours. La puissance de calcul est suffisante et surtout la célèbre interface DeX transforme l’environnement de votre tablette en mini PC.
Mais (car il y a évidemment un “mais”) on se retrouve vite à l’étroit en l’utilisant plusieurs jours d’affilée. En effet, la largeur de la dalle est un poil trop petite et l’amplitude de l’appareil nous donne l’impression de travailler recroquevillé.
Pour certains de nos collègues, l’interface épurée de la Tab S9, par rapport à un ordinateur, et cette taille plus réduite favorisent la concentration et la productivité. Encore une fois, tout est question de goût et d’habitude de travail. Cependant, pour un usage purement professionnel, je reste persuadé que les écrans de la Tab S9+ et surtout celui de la Galaxy S9 Ultra seront plus adaptés.
D’autant que les différences entre ces trois tablettes sont plutôt minimes cette année. Ce qui change principalement, c’est la taille d’écran, la mémoire vive, le stockage et la batterie. Et bien sûr, le prix.
Quoiqu’il en soit, pour effectuer de la retouche photo, prendre des notes en réunion ou travailler dans un train ou occasionnellement chez soi, la Tab S9 est une formidable compagne d’appoint. D’autant plus, et nous le répétons années après années, que le S-Pen est le meilleur stylet du marché. Réactif, léger et précis, il a un petit quelque chose que l’Apple Pencil n’a pas.
Comme chaque année, le constructeur sud-coréen nous livre une tablette exemplaire en termes de design et de finitions. L’année 2023 ne changera rien à cette habitude.
L’élégant boîtier en aluminium est compact (254,3 x 165,8 mm) et il tient parfaitement en main grâce à ses tranches arrondies. Alors que la Tab 8 affichait 6,3 mm d’épaisseur pour 503 grammes, la Tab S9 s’affine et s’allège légèrement, 5,9 mm pour 498 grammes. Transporter la tablette sous le bras ou dans un sac se fait, comme vous l’aurez compris, avec une facilité déconcertante.
Au dos, comme d’habitude, les traces de doigts sont plutôt légion. Un vrai petit souillon qu’il faudra nettoyer régulièrement. C’est dommage, car pour le reste, c’est un sans-faute. Le S-Pen se connecte facilement dans son encoche et l’intégration du capteur photo est réussie, car minimaliste. Au lieu d’un bloc, il est intégré directement dans le dos, à l’image de ce qu’à fait Samsung sur les Galaxy S23.
À propos de photo, Samsung a abandonné l’ultra grand-angle présent sur la Tab S8. Cette année, la Tab S9 ne possède qu’un seul capteur dorsal, un grand-angle de 13 mégapixels. Est-ce une grande perte ? Pas vraiment, tant l’utilisation d’une tablette en mode photo n’est pas réellement pertinente. Sauf pour des applications de plans 3D ou éventuellement pour transformer ponctuellement la tablette en babyphone.
D’ailleurs, ce capteur n’est pas faramineux, il a tendance à surexposer la scène. Son petit frère à l’avant, un capteur de 12 mégapixels, fait tout le contraire. Le rendu est plutôt sombre. Deux capteurs tout juste honorables pour un usage d’appoint, pas plus.
Finalement, la grosse nouveauté design est plutôt cachée dans la manche de Samsung. Contrairement à l’an dernier, la Tab S9, et son stylet, possèdent une certification IP68. On pourra enfin la prendre sans crainte dans son bain et l’été prochain autour d’une piscine.
Bien qu’elle soit équipée d’une batterie plus généreuse, 8400 contre 8000 mAh, la Tab S9 n’est pas aussi endurante que l’année passée. Il faut dire qu’avec un écran plus énergivore et une puce plus puissante, on s’y attendait un peu.
La Galaxy Tab S9 dispose tout de même d’une bonne autonomie. En usage modéré, elle tient facilement trois ou quatre jours. Lorsque nous l’avons utilisée en ordinateur d’appoint, de manière intensive pendant 7 heures par jour, elle n’a rendu l’âme qu’au bout d’une quinzaine d’heures. C’est encore une fois un très bon score, sauf…que l’iPad Air lui est très légèrement supérieur. D’une bonne heure.
Compatible avec une charge rapide de 45 W, la Galaxy Tab S9 est par contre bien plus rapide que l’iPad Air pour reprendre des forces. Elle améliore même légèrement son score de l’an dernier d’un bon quart d’heure. Comptez désormais une heure et vingt minutes avec le chargeur adapté, pour la faire passer de 0 à 100%. Pour rappel, l’ardoise d’Apple met plus de deux heures pour une charge complète. Match nul !
Cette année, Samsung a décidé de gâter la cadette de la fratrie. Comme ses consoeurs, la Tab S9 se dote désormais d’un magnifique écran Amoled tout en accueillant en son sein le surpuissant SoC Snapdragon 8 Gen 2. Ajoutez à cela une nouvelle certification IP68, un design encore plus compact et une charge légèrement plus rapide et vous obtiendrez la plus belle évolution de cette cuvée 2023.
Cette fois, la Tab S9 tient sans conteste la comparaison avec l’iPad Air dans de nombreux domaines. L’ardoise possède même quelques atouts supplémentaires comme la possibilité d’étendre sa mémoire via une carte microSD jusqu’à 1 To et un stylet livré directement avec le produit.
Là où les deux tablettes se rejoignent dans leur utilisation professionnelle. Idéales pour augmenter votre productivité, elles nous paraissent encore trop étroites pour se substituer totalement à un ultrabook.
Malgré tout, et sauf si vous ne jurez que par l’Amoled, investir dans une Tab S9 si vous avez déjà une Tab S8 ne semble pas pertinent. Tout d’abord parce que le produit reste assez cher et ensuite car cette mise à niveau d’écran sera, sauf cataclysme, très probablement reconduite sur la cuvée 2024.
Si vous possédez un modèle encore plus ancien ou que vous recherchez une tablette ultime pour vous divertir et travailler occasionnellement. Alors la Tab S9 est ce qu’il se fait de mieux actuellement sur le marché.
On peut dire que Hayao Miyazaki nous a fait quelques jolies frayeurs. Après deux annonces de départ à la retraite, le cinéaste s’est finalement rapidement remis au travail pour nous offrir un ultime film d’animation. Des adieux en grande pompe pour celui qui fait rêver des générations depuis presque 40 ans.
Le Garçon et le Héron se sera fait attendre. Miyazaki a mis plusieurs années à concrétiser ce nouveau projet, et pas des moindres. Après une sortie sur l’archipel nippon, le nouveau film d’animation du célèbre studio Ghibli pose ses valises chez nous.
Dès le 1er novembre 2023, les cinéphiles pourront donc découvrir la nouvelle création de Hayao Miyazaki, Le Garçon et le Héron, dans les salles obscures. Cela faisait 10 ans que le réalisateur japonais ne nous avait rien offert. Quant au dernier film du studio d’animation, il était sorti directement sur Netflix en 2021 et il n’avait pas su faire mouche auprès des spectateurs.
Dire que les attentes pour Le Garçon et le Héron sont élevées serait presque un euphémisme. Miyazaki est reconnu comme un cinéaste accompli et un maître incontesté dans le domaine de l’animation. Son nouveau projet est donc attendu au tournant et sera assurément scruté. Voici ce que nous avons pensé du film Le Garçon et le Héron.
Dix ans après la sortie du film Le Vent se Lève, qui devait initialement permettre à Miyazaki de faire ses adieux aux fans, le cinéaste est de retour avec Le Garçon et le Héron. Ce nouveau film d’animation permet au réalisateur de montrer une nouvelle fois l’étendue de son talent, dont nous étions d’ores et déjà convaincus depuis de nombreuses années.
En 2023, Hayao Miyazaki est au sommet de son art. Visuellement, Le Garçon et le Héron est splendide. Ceux qui aiment l’esthétique des films du studio Ghibli seront donc comblés par cette nouvelle œuvre. Miyazaki a mis tout son savoir-faire dans la réalisation du Garçon et le Héron. Résultat : une merveille !
Chaque plan est envoûtant, l’animation est d’une fluidité exceptionnelle et on ne peut que saluer la beauté du film. À la musique, Miyazaki a fait appel à son partenaire de toujours, Joe Hisaishi. Sur la forme, il n’y a rien à redire : Le Garçon et le Héron est sublime. Sur le fond, en revanche, le réalisateur devrait laisser plus d’un spectateur pantois.
Lire aussi – Le Garçon et le Héron : voici ce qu’il faut savoir sur le nouveau chef d’oeuvre de Miyazaki
Le Garçon et le Héron est un ultime cadeau, gardé au chaud précieusement, que beaucoup ne comprendront pas vraiment. Miyazaki nous livre l’histoire touchante de Mahito. À 11 ans, ce jeune garçon est forcé de quitter Tokyo avec son père suite au décès de sa mère dans un bombardement pendant la Seconde Guerre mondiale. Alors qu’il tente de s’habituer à sa nouvelle vie, où son père a déjà refait sa vie avec la sœur de feu son épouse, le garçonnet courroucé va vivre un véritable récit initiatique mené tambour battant par un drôle de héron cendré.
Dans Le Garçon et le Héron, on retrouve la trace d’une quantité d’œuvres de Miyazaki. Une pointe du Vent se Lève par là, un soupçon du Voyage de Chihiro, une petite pincée de Mon Voisin Totoro… Mais tout est plus sombre. Pas autant que Le Tombeau des Lucioles de son acolyte Isao Takahata, bien sûr, mais tout de même. En même temps, le point de départ du film est la mort de la mère du héros, en proie aux flammes, conséquence affreuse de la guerre. Cet épisode traumatisant hante Mahito tout au long du métrage.
Devant Le Garçon et le Héron, il faut faire preuve de patience. Visiblement, Miyazaki n’est pas pressé de plonger dans le vif du sujet et nous fait profiter d’une première partie contemplative, qui a son charme. Mais qui ne satisfera peut-être pas tout le monde.
Le Garçon et le Héron se veut plus cryptique que d’autres films que nous a déjà offerts Miyazaki au cours de sa carrière. De nombreuses couches, entre fantasmes, rêves, cauchemars et réalité, composent le long métrage. Il va donc falloir plus d’un visionnage pour véritablement tout comprendre. Sans notice, il est difficile de savoir clairement que faire des multiples pièces de puzzle que nous confie le cinéaste lors de ces deux heures de visionnage. Décousu, trop abstrait, une allure de rêve un peu fiévreux par moment… Si cette complexité peut freiner plus d’un spectateur, elle fait aussi toute la beauté du film et de ses messages.
Véritable dédale mystique, Le Garçon et le Héron a de nombreuses choses à confier aux spectateurs qui sauront tendre l’oreille. Ainsi, pour ce dernier rendez-vous, Miyazaki nous laisse avec une flopée d’interrogations sur le monde, le destin et la vie… Mais aussi sur l’avenir de son propre studio d’animation. À plus de 80 ans, à quel futur peut prétendre le studio Ghibli quand le cinéaste ne sera plus ? Ce n’est pas pour rien que le titre original du film pourrait être traduit par Comment vivrez-vous ?.
Le Garçon et le Héron laissera plus d’un spectateur sur sa faim. Sa conclusion plutôt énigmatique permet cependant à chacun d’être libre d’interpréter les messages qu’a essayé de faire passer Miyazaki. Mais à se vouloir trop cryptique, Le Garçon et le Héron pourrait finalement n’être qu’un poids plume dans la filmographie du réalisateur japonais.
Lire aussi – 5 films cultes de Hayao Miyazaki à voir absolument
Les fans du studio Ghibli devraient se laisser séduire par Le Garçon et le Héron. Pour cette nouvelle œuvre, Hayao Miyazaki n’a pas fait les choses à moitié. Le long métrage est d’une beauté spectaculaire et on se rince l’œil pendant deux heures. Vous en prendrez aussi plein les oreilles, la partition du Garçon et le Héron étant confiée à Joe Hisaishi, fidèle acolyte du réalisateur.
En réalité, c’est le fond du long métrage qui devrait faire le plus débat. Abstrait et décousu, Le Garçon et le Héron mérite assurément plus d’un visionnage pour obtenir toutes les clés et comprendre pleinement ce labyrinthe cryptique. Mais pour quiconque aime se laisser porter, le film d’animation devrait être un régal.
Voilà quelques années déjà que Google redouble d’efforts pour renforcer toujours davantage la sécurité de sa boutique d’applications sur Android. S’il fut un temps où les applications vérolées et autres clones étaient légion, les efforts fournis par le géant américain ont permis au Play Store de retrouver un côté très sécurisé… même si cela n’empêche pas certaines applications malveillantes de passer entre les mailles du filet.
Le spécialiste en sécurité Dr Web a récemment publié un nouveau rapport concernant l’activité virale sur nos précieux smartphone en ce qui concerne le mois de septembre. Et selon les experts, c’est un malware baptisé HiddenApps qui serait le plus répandu, un logiciel de type “adware”, qui se dissimule au sein d’applications somme toute banale, comme certains jeux vidéo.
Aussi, dès à présent, il convient de vérifier si vous n’avez pas déjà procédé à l’installation des jeux suivants depuis le Play Store Android : Super Skibydi Killer (lequel cumule déjà plus de 1 million de téléchargements), mais aussi Agent Shooter et Rubber Punch 3D (500 000 téléchargements chacun), ainsi que le plus confidentiel, mais néanmoins vérolé, Rainbow Stretch, qui comptabilise plus de 50 000 téléchargements.
Concrètement, une fois HiddenApps installé (par le biais d’une application vérolée) sur un smartphone, ce dernier va commencer à afficher des publicités indésirables, à l’insu bien évidemment de l’utilisateur. Le malware se fait
Ces dernières se rendent volontairement indétectables (ou presque), en fonctionnant en arrière-plan, et le processus a non seulement pour vocation de générer de l’argent, pour les hackers, mais il va aussi puiser dans les ressources du smartphone.
Prudence donc, même si Dr Web indique que les malwares dissimulés dans les jeux ont tendance à être moins répandus ces dernières semaines. Comme toujours, et malgré quelques failles, on rappelle qu’il est plus que recommandé d’installer ses applications Android uniquement via le Play Store officiel.
Récemment, on découvrait que l’application iRecorder Screen Recorder, offrant notamment un outil d’enregistreur d’écran et installée sur plus de 50 000 smartphones, avait bénéficié d’une mise à jour durant laquelle du code avait été injecté, permettant à l’application d’espionner les utilisateurs, via un enregistrement sonore effectué toutes les 15 minutes.
Il est désormais possible avec cet appareil de tracer dès leur création les photos afin de détecter les futures modifications faites à l’aide de l’intelligence artificielle. Mais il coûte très cher.
Le Jackery Explorer 2000 Plus peut se recharger avec son panneau solaire et redistribuer l’énergie à tous vos appareils électroniques, y compris ceux de votre demeure ou de votre lieu de travail.
S’il y a bien quelque chose qu’il faut arrêter de faire en cas de changement de smartphone, c’est de laisser son ancien compagnon de route moisir dans un tiroir. La meilleure solution pour que votre smartphone puisse avoir une nouvelle vie, c’est de le vendre afin de financer une partie de votre nouvel appareil.
Mais il existe une dizaine d’utilisations alternatives pour votre ancien smartphone, que vous pouvez découvrir ici. Certaines nécessiteront de toute évidence de supprimer toutes traces de vos données personnelles, et pour ça, rien de mieux qu’une réinitialisation pour remettre votre smartphone en état de sortie d’usine.
Nous allons vous expliquer la démarche qui est relativement simple, mais qui peut comprendre certaines subtilités tout de même. À titre d’information, la démarche a été réalisée sur un Google Pixel 6 Pro tournant sous Android 13. Pas d’inquiétude si vous disposez d’un autre modèle ou encore d’un smartphone Android d’une autre marque, la démarche est identique. Pour cela, il suffit de :
Bien sûr, on ne peut que vous conseiller de sauvegarder les données auxquelles vous tenez absolument avant d’effectuer cette opération. Il est possible d’uploader simplement vos photos sur le cloud de Google en vous rendant dans l’application “Photos” par exemple. Voilà, votre smartphone est désormais vierge de toutes données, et prêt à être revendu.
Il y avait de quoi se demander pourquoi Apple avait choisi d’organiser une keynote ce 30 octobre à une heure aussi tardive (1 heure du matin en France, contre 19 heures habituellement). La réponse ? Au-delà d’annonces sur la nouvelle gamme de puces M3, M3 Plus et M3 Max, et de mises à jour du MacBook Pro et des iMac, Apple a mis les petits plats dans les grands pour fêter Halloween avec une keynote aux airs de film “d’horreur”. Très famille et sans vraie chair de poule, s’entend… jugez plutôt :
Le Apple Park s’est paru d’un éclairage lugubre et couvert de nuées artificielles – et Tim Cook est apparu tel un entre-deux entre chasseur de démons et personnage dans la célèbre pub Apple de 1984 réalisée par Ridley Scott. Une scénarisation qui a surpris l’audience et les journalistes qui suivent assidûment ces présentations. Car si Apple est connu pour filmer ses keynote comme de vraies productions de cinéma, jamais la firme n’avait vraiment donné de coloration saisonnière à l’événement.
En soit, la keynote elle-même était plutôt mineure, exception faite des puces M3. On note que Apple mise toujours sur sa gamme d’iMac (qui semblent pourtant ne pas représenter d’énormes volumes de ventes, en comparaison des MacBook Air et MacBook Pro). La Touch Bar disparaît des derniers modèles, sans réellement susciter d’émotion. Et surtout un nouveau coloris noir sidéral fait son apparition.
On n’avait pas vu Apple lancer de coloris vraiment noir depuis 2006, avec le MacBook 13″ en polycarbonate noir – l’un des premiers à troquer les puces IBM PowerPC pour des puces Intel. Mais revenons à la production elle-même : qui aurait pu imaginer… que tout a en réalité été filmé avec des iPhone 15 Pro ? Une “fuite” (très habile) de la firme montre en effet l’envers du décor, et on peut voir que absolument tous ces plans (qui plus est nocturnes) ont été filmés avec l’un des derniers iPhone.
Vous pouvez voir quelques extraits du tournage dans les vidéos ci-dessous. On imagine que ce résultat digne de caméras beaucoup plus professionnelles doit autant à l’éclairage (tous les vidéastes vous diront que c’est l’un des aspects les plus essentiels), que les équipements de stabilisation, dolly, et autres – pour le coup très professionnels – sur lesquels Apple a monté ses appareils.
Toutes les images ont vraisemblablement été enregistrées en ProRAW vidéo, un format de compression sans pertes qui donne beaucoup de marge de manoeuvre en post-production pour corriger le point noir et la colorimétrie.
Il n’empêche que cette démonstration illustre avec beaucoup de force les capacités vidéo des derniers modèles de la firme. Même si ces derniers ont tendance à parfois chauffer plus que de raison, surtout lors de ce type d’enregistrements en continu…
Behind the scenes of the first Apple event to be shot on iPhone! Here’s some snippets, but definitely give the whole video a watch… My mind is truly blown pic.twitter.com/IJPsPPmWbv
— Ian Zelbo (@ianzelbo) October 31, 2023
Après des mois de disette, les ventes mondiales de téléphones mobiles ne se sont contractées que de 1 % au troisième trimestre. Une relative embellie qui profite davantage aux fabricants chinois qu’aux leaders Samsung et Apple.
Halloween est là, avec ses sorcières, ses citrouilles et ses « trick or treat ». L’occasion de mettre à l’épreuve les IA pour savoir laquelle en propose les meilleures illustrations.