Libre express : responsabilité sociale, Richard Stallman, témoignages libristes
En bref : des exemples de bonnes pratiques RSE. Richard Stallman a un cancer. Des militants, à Framasoft et LFI, racontent leur engagement.
En bref : des exemples de bonnes pratiques RSE. Richard Stallman a un cancer. Des militants, à Framasoft et LFI, racontent leur engagement.
Marvel donne rendez-vous aux fans du Dieu de la Malice dès ce vendredi 6 octobre 2023. La série Loki s’offre (enfin) une deuxième saison et on ne va pas bouder notre plaisir. Depuis la diffusion du premier épisode en juin 2021, bien des choses ont évolué dans le monde merveilleux de Marvel. Croyez-nous, vous avez plutôt intérêt à réviser un peu avant de lancer la saison 2 de Loki.
Comme la plupart des films et des séries du MCU depuis quelques mois, il y a du travail. Les programmes de l’Univers Cinématographique de Marvel sont plus interconnectés que jamais et il est parfois primordial d’avoir vu un film ou une série pour comprendre les enjeux d’un autre programme. C’est encore plus vrai avec Loki, maintenant que le multivers est le fil rouge du MCU.
En attendant de retrouver le Dieu de la Malice sur votre petit écran, nous avons répertorié les 4 programmes Marvel à avoir vu. On vous dit tout dans cet article.
En 2021, Loki ouvrait la porte du multivers. Un tournant crucial dans l’Univers Cinématographique de Marvel. Notre homme-araignée en a fait les frais dans Spider-Man : No Way Home. Si voir le dernier métrage consacré au personnage campé par Tom Holland n’est pas crucial, il est toujours bon de réviser pour votre cours sur le multivers.
Après la mort de Mysterio dans Spider-Man : Far From Home, Peter Parker demande un coup de main au Doctor Strange pour retrouver une vie paisible. Par malheur, le sort est compromis et, à force de jouer avec l’espace-temps, les portes du multivers ouvrent leurs portes. Bien que le Sorcier Suprême ait réussi à rétablir l’ordre, cet incident n’est pas sans conséquences dans le MCU. C’est le début des ennuis.
Après les événements de Spider-Man : No Way Home, Doctor Strange a fait face aux conséquences de ses actes dans Doctor Strange in the Multiverse of Madness. Après un léger aperçu, Marvel offrait un véritable saut tête la première dans le multivers dans ce nouveau métrage.
Cela n’est pas un scoop : la saison 2 de Loki est étroitement liée à Doctor Strange in the Multiverse of Madness. La nouvelle cuvée d’épisodes consacré au Dieu de la Malice et frère de Thor devrait aller encore plus loin que ce que nous a offert le second film dédié au Sorcier Suprême.
Sorti en ce début d’année, Ant-Man et la Guêpe : Quantumania a introduit Kang Le Conquérant comme le nouvel antagoniste de taille du MCU. Celui choisi pour remplacer ce bon vieux Thanos. Surnommé “Celui Qui Demeure”, ce personnage effrayant apparaissait pour la toute première fois dans la première saison de Loki.
Le troisième opus consacré aux aventures de Scott Lang nous présentait, notamment, un nombre incalculable des variants du terrible Kang Le Conquérant dans l’Univers Cinématographique de Marvel. Bien que nos héros aient réussi à combattre leur ennemi, l’antagoniste est loin d’avoir dit son dernier mot. La scène post-générique de Ant-Man et la Guêpe : Quantumania mentionne sans détours la série Loki. Il est donc capital de voir ce film avant la saison 2.
Enfonçons une porte ouverte : impossible de suivre la saison 2 de Loki si vous n’avez pas vu la première salve d’épisodes. Si vous avez le temps de redécouvrir la première saison de Loki lors de votre marathon Marvel, ne vous privez surtout pas.
Si vous craignez d’avoir oublié quelques éléments clé de la série et que vous n’avez pas le temps de vous replonger dans la première saison, on a une solution. À défaut de regarder les 6 épisodes de la saison 1 de Loki, nous vous conseillons fortement de visionner un récapitulatif. Cela tombe bien, nos collègues de Journal du Geek s’en sont chargés pour vous.
Le champion des caméras d’action est de retour avec sa nouvelle proposition qui devrait vite devenir la reine dans le milieu, j’ai nommé la GoPro Hero 12. Et quel meilleur moyen pour la mettre à l’épreuve que d’essayer de suivre sur un kart Nick Woodman, PDG de GoPro lui-même ?
La GoPro Hero 12 Black est déjà disponible au prix de 449,99 euros.
À ça, il faudra ajouter au moins une carte Micro SD, tandis qu’une batterie enduro, une fixation adhésive incurvée, une boucle de fixation et vis moletée ainsi qu’un câble USB-C sont fournis.
Avec cette nouvelle Hero 12, GoPro propose de filmer avec une résolution folle de 5.3k, pour un rendu toujours plus impressionnant en diffusion grand format. Difficile de croire qu’une si petite caméra peut offrir une image aussi nette, mais c’est pourtant le cas. La véritable nouveauté dans cette suite de la GoPro Hero 11 se situe dans le HDR, où la Hero 12 a un rendu des couleurs plus naturel quand forte lumière et ombre puissante sont présentées dans la scène. On peut remarquer dans notre vidéo d’illustration, où une lumière puissante perce régulièrement entre les arbres, que le résultat reste tout de même très convaincant grâce aux capacités de la nouvelle GoPro.
La stabilisation est aussi un point essentiel essentiel des caméras d’action. Avec la Hero 12, GoPro et son stabilisateur HyperSmooth 6.0 vont apparemment encore plus loin. S’il est difficile de constater s’il y a une véritable différence avec l’ancienne version, il n’empêche que l’on peut constater que la stabilisation est exceptionnelle, faisant passer mes nombreux passages et autres sauts sur les vibreurs du circuit pour un voyage sur un lac au calme le plus plat.
Bien sûr, il est possible de filmer dans des résolutions inférieures à 5,3K, notamment en format vertical dans le but de ne pas avoir à cropper les vidéos plus tard dans l’optique de les poster sur les réseaux sociaux. J’ai particulièrement apprécié la praticité de l’écran tactile, mais aussi la possibilité d’utiliser des commandes vocales pour lancer ou arrêter une vidéo en portant des gants par exemple. La navigation dans les menus est on ne peut plus simple, et se servir de la GoPro Hero 12 est simplissime.
Pour se démarquer de la GoPro précédente, la Hero 12 aborde un design différent, avec des points bleus sur sa coque façon Jackson Pollock. À mon sens, ce design est moins classieux que celui de la Hero 11, mais après tout, que cela importe vraiment pour une caméra d’action ? Le point le moins évident avec la caméra GoPro est sa difficulté à ouvrir le port de charge, chose quasiment impossible sans ongle. Celui-ci présentant une ouverture très ferme qui rend le changement de batterie, la récupération de la carte SD ou le chargement de la Hero 12 compliqués. Plutôt logique étant donné que celle-ci est waterproof, mais frustrant au point que j’utilise maintenant un médiator rigide afin d’éviter tout risque de retournement d’ongle.
Vient ensuite une des plus grandes nouveautés de la GoPro Hero 12 en comparaison de sa grande sœur, longtemps demandée par la communauté. Un filetage 1/4-20 a été ajouté au bas de la caméra, permettant ainsi de l’exploiter avec du matériel moins spécifique à GoPro. Ici en illustration, j’ai utilisé un trépied que l’on trouve dans les magasins de bricolage afin d’y monter la Hero 12. Une bonne initiative qui offre encore de nouvelles possibilités de montage et de polyvalence à la nouvelle GoPro.
La GoPro Hero 12 établit l’exploit d’augmenter son autonomie en comparaison de sa grande sœur, tout en conservant strictement la même batterie. Cela offre une durée de prise de vidéo en qualité maximale de 52 minutes de suite avant de s’arrêter pour chauffe excessive, ce qui est effectivement beaucoup plus important en comparaison de ce que permettait la GoPro Hero 11.
Si l’application GoPro Quik propose des éléments pratiques, on regrettera cependant ses capacités de montages, qui sont plutôt difficiles à prendre en main. On lui préférera donc une application de montage qui a maintenant fait ses preuves, à la manière de InShot par exemple. Par contre, la liaison entre la caméra et l’application est plutôt bien travaillée. En s’abonnant à un compte GoPro, il est notamment possible d’uploader automatiquement les vidéos sur un cloud, en choisissant ou non de libérer ensuite la MicroSD de son contenu. Une fonctionnalité particulièrement utile pour qui aurait une carte à la capacité de stockage réduite. Aucun souci également pour connecter la caméra, et utiliser le smartphone comme écran déporté pour la Hero 12 ainsi que gérer celle-ci. Il est d’ailleurs maintenant possible de suivre le flux vidéo sur le smartphone quand la GoPro filme, ce qui peut être particulièrement utile.
Il est désormais possible de connecter des écouteurs ou un casque Bluetooth la GoPro Hero 12. Vous vous dites probablement que d’écouter vos vidéos en les regardant sur le petit écran de la caméra n’est pas des plus pratique, et c’est effectivement le cas. Par contre, utiliser des écouteurs ou un casque Bluetooth équipé d’un micro permet notamment d’enregistrer le son de plus loin, mais aussi d’utiliser les commandes vocales de la GoPro à distance. Une fonction particulièrement utile quand la caméra n’est pas à portée de main, à l’extérieur d’une voiture par exemple.
GoPro montre encore une fois qu’il est le leader incontestable de la caméra d’action. La précédente itération est cette fois encore améliorée, avec son autonomie plus importante, un stabilisateur encore plus performant, et l’ajout très attendu d’un filetage lui offrant plus de polyvalence. Il ne fait aucun doute que la GoPro Hero 12 Black est encore une fois la meilleure caméra d’action du moment, GoPro confirmant son savoir-faire en améliorant ce qui était améliorable sur la GoPro Hero 11. Prochaine étape pour GoPro, travailler sur son application de montage, et potentiellement offrir un clapet de charge plus facile à ouvrir.
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C’est une innovation majeure qui pourrait nous faire faire d’énormes économies d’énergie. Des scientifiques de l’Université de Stanford viennent en effet de dévoiler une nouvelle peinture pour toit qui devrait nous permettre de mieux lutter contre le changement climatique tout en réduisant notre facture d’électricité.
Concrètement, et en l’appliquant sur un toit, cette dernière rejette jusqu’à 80 % de la lumière infrarouge moyenne du soleil, soit dix fois plus que les peintures utilisées sur ce type de surface.
En clair, elle est capable de renvoyer une grande partie de la chaleur et nous aide à garder les maisons plus fraîches en été. Mais cela ne s’arrête pas là. Les chercheurs expliquent en effet que leur création est une “solution d’économie d’énergie tout au long de l’année”.
Dans le détail, et selon les tests, les économies réalisées sur la climatisation ont été de 21 % en période estivale. Mais sous un climat froid, elle a aussi permis de réduire de 36 % l’énergie nécessaire pour le chauffage. En effet, la peinture peut être utilisée à l’intérieur pour conserver la chaleur en hiver.
Autre nouveauté appréciable apportée par cette recherche : diverses couleurs sont proposées : blanc, bleu, rouge, jaune, vert, orange, violet et gris foncé.
Cité par Science Alert, Yi Cui, spécialiste des matériaux à Stanford, précise : “Pour le chauffage et la climatisation, nous devons réduire l’énergie et les émissions au niveau mondial afin d’atteindre nos objectifs d’émissions zéro”. Les chercheurs continuent d’affiner leur innovation avant d’envisager une commercialisation de leur nouveau produit.
Précisons que d’autres expérimentations de ce type sont menées. C’est par exemple le cas à Grenoble, où le toit du centre culturel La Bifurk a été peint en blanc pendant l’été. Dans un communiqué, la municipalité a vanté l’efficacité de cette initiative :
Les mesures ont montré une diminution significative des températures sur le toit, à 1 mètre au-dessus de la toiture ainsi qu’à l’intérieur du bâtiment. Lors des pics enregistrés, la température du toit est passée de 70°C à l’été 2020 (avant application) à 40°C pendant l’été 2021 (après application).
Forte de ce succès, la Ville songe à “étendre ce dispositif à d’autres bâtiments municipaux, comme des gymnases”. Que pensez-vous de ces dernières innovations, et seriez-vous tenté de les utiliser en cas de commercialisation ? Dites-le-nous dans les commentaires.
Tous les ans la glace « de mer » autour du pôle Nord et du pôle Sud fond avant de se reformer. Cet équilibre fragile, allant au gré des saisons, n’a pas été bousculé depuis des milliers d’années. Mais avec l’arrivée de la révolution industrielle, le changement climatique a des effets dramatiques sur la banquise.
Selon les derniers relevés de la NASA et du National Snow and Ice Data Center (NSIDC), la glace de mer de l’Arctique (au Nord) a atteint son expansion minimale ce 19 septembre. C’est donc à cette date que la banquise a été la plus petite possible. Sa taille n’était alors que de 4,23 millions de kilomètres carrés. C’est le « sixième score le plus bas » depuis le début des mesures, annonce l’agence spatiale américaine.
Si cette situation est déjà très inquiétante, les scientifiques n’en sont pas au bout de leurs peines. En effet, les conditions climatiques très douces au cours de l’hiver austral ont entraîné un très faible agrandissement de la banquise dans l’hémisphère Sud.
Le 10 septembre elle a atteint les 16,96 millions de kilomètres carrés. C’est tout simplement le maximum le plus bas jamais mesuré par la NASA depuis le début des années 90. Selon Walt Meier, scientifique de la glace de mer au NSIDC, c’est tout simplement du jamais vu.
Au pôle Sud la situation est catastrophique. L’expansion de la glace de mer est très faible, elle laisse de nouvelles routes maritimes ouvertes. Même constat au Nord, le passage du Nord-Ouest est bien plus grand que d’habitude.
Les scientifiques craignent que cette expansion de la glace, particulièrement faible cette année, ne devienne un standard dans les prochaines années à cause du réchauffement climatique. En plus de la fonte des glaces estivales, qui entraîne la montée globale des eaux des océans, une réduction aussi importante de la formation de glace de mer lors des saisons hivernales pourrait encore accélérer le processus de montée des eaux.
Selon les chercheurs, si la glace ne se reforme pas à au moins 50 % des standards d’avant la période industrielle chaque année, la montée des eaux pourrait être deux à trois fois plus importante que dans nos simulations actuelles.
Autre conséquence terrible pour l’humanité et le climat, la densité de la glace de mer. Comme l’expliquent les scientifiques, on a retrouvé cette année des morceaux de glace fine et éparse dans des zones qui étaient autrefois de grands manteaux blancs. La glace a fondu sur des centaines de milliers de kilomètres carrés. À mesure que cette glace fond, la banquise restante se réchauffe et un vrai cercle vicieux se met alors en place. Plus la banquise est petite, plus elle est sensible aux changements de température, plus elle est capable de se réduire en taille au cœur de l’été.
La situation au Sud est légèrement différente. En effet l’Antarctique n’est pas seulement une immense banquise flottante. La glace est ici posée sur la terre ferme. Mais selon certaines estimations les roches pourraient bientôt traverser le manteau blanc pour se faire une place de manière durable dans ce paysage.
Le 22 décembre 2023, Zack Snyder espère frapper un grand coup avec son nouveau film Rebel Moon qui sortira sur Netflix. Ce nouveau film de science-fiction qui se déroule dans une galaxie lointaine est évidemment comparé à Star Wars.
Le cinéaste a toutefois apporté une précision cet été à nos confrères de Screen Rant. Il explique en effet en quoi son long-métrage diffère de la mythique franchise propriété de Disney. Il dit espérer que chaque planète explorée dans le film ait sa propre identité, qu’il s’agisse de la mode vestimentaire ou du terrain :
J’ai toujours ri du fait que dans Star Wars, il se trouve que les costumes indigènes de cette étrange Tatooine, cette planète bizarre au milieu de nulle part, sont à la mode dans tout l’univers. Je les trouvais très particuliers. (…) Quand on fait un film de science-fiction, on se dit : “Bon, quel est le monde ? À quoi ressemble la planète d’origine ? Ils pourraient tous porter des combinaisons fluo et qui sait.
Bien sûr, on jugera sur pièce, mais il s’agit en tout cas d’une critique récurrente adressée à Star Wars. Certains spectateurs estiment en effet que les paysages sont très peu variés et que l’on retrouve finalement tout le temps, des déserts, des forêts, ou des univers marins dans les différents mondes de la saga.
Pour rappel, Rebel Moon prend place dans une colonie située aux confins d’une galaxie menacée par le régent Balisarius. Les habitants vont alors confier leur destin à une jeune femme au passé mystérieux. Elle tente ensuite d’aller chercher des guerriers pour organiser la résistance face aux troupes tyranniques qui mettent en péril cette paisible contrée.
Rappelons que c’est l’actrice française Sofia Boutella qui joue Kora, la jeune femme énigmatique qui a pour tâche d’aider à rassembler des troupes. On l’a déjà vu à l’œuvre dans des grosses productions, comme Kingsman ou encore Star Trek Beyond. À ses côtés, nous retrouvons Ed Skrein va incarner le régent Balisarius. Ce dernier est surtout célèbre pour sa participation à la série Game of Thrones, mais aussi Alita : Battle Angel, et Deadpool.
Enfin, la distribution est complétée par Charlie Hunnam, Cleopatra Coleman, Michiel Huisman, Jena Malone, Cary Elwes, Stuart Martin, Kingston Foster, Alfonso Herrera, Ingvar Sigurdsson, ou encore Ray Fisher.
Êtes-vous vous intrigué par Rebel Moon, et allez-vous le visionner à sa sortie sur Netflix pour Noël ? Dites-le-nous dans les commentaires.
Le Pink Week-end est l’une des opérations que les futurs clients de Boursorama Banque attendent tous avec impatience. Sur quelques jours autour d’un week-end, elle met en avant une offre spéciale avec une prime supérieure à la normale. Contre 80 euros en temps classique, vous pouvez toucher 150 euros de bonus si vous ouvrez un compte entre le vendredi 29 septembre et le lundi 2 octobre.
Afin d’accéder à cette prime, il suffit juste d’ouvrir un compte standard gratuit (sans condition et sans engagement) avec le code PINKW150. C’est ce code qui vous permettra d’activer la prime de 150 euros annoncée par la banque en ligne.
Avec 5 millions de clients, Boursorama est leader de la banque en ligne. Reconnue comme étant la “banque la moins chère” depuis 15 ans selon nos confrères du Monde, elle connait un succès sans précédent dans l’histoire de la banque. Son compte gratuit, sans condition et premium, est un argument qui séduit. N’importe qui peut y accéder et toucher le bonus de 150 euros en cash.
En ce moment, Boursorama Banque affiche le Pink Week-end le plus simple jamais présenté. Le découpage du bonus est évident – et il suffit de suivre la procédure d’inscription classique pour le toucher. D’abord, vous recevrez 70 euros de prime sur votre compte au moment de l’ouverture effective de celui-ci. Il faudra juste réaliser un premier versement sur celui-ci pour recevoir ce bonus. L’argent que vous avez déposé peut ensuite être retiré, il n’est pas bloqué.
La seconde partie de la prime, qui est de 80 euros, est versée lorsque vous commandez votre carte bancaire. Celle-ci est gratuite (sauf si vous prenez la version en métal), c’est donc une simple formalité. Vous avez le choix entre la Welcome et la Ultim, sachant que cette dernière représente presque toutes les ouvertures : elle est plus complète, plus flexible, avec les mêmes conditions d’attribution et elle est gratuite. La carte Welcome est uniquement pour ceux qui veulent s’imposer un budget serré chaque mois, sans découvert autorisé.
Lorsque vous avez ouvert votre compte et choisi votre carte bancaire, vous aurez donc les 150 euros en cash sur votre compte. Cet argent peut être retiré ou déplacé, comme bon vous semble. Boursorama Banque se distingue non seulement par le montant offert pour ce Pink Week-end mais également par la souplesse des conditions sur ce bonus : il est facile à décrocher et il ne vous faudra que quelques minutes pour y prétendre.
Il n’y a aucune contrepartie en l’échange de ces 150 euros en cash : vous pouvez garder ce compte aux côtés de votre compte bancaire actuel. Boursorama Banque ne vous demande pas d’y domicilier votre salaire (ou votre épargne). Pour que le compte courant et la carte restent gratuits, il faut juste utiliser la CB au moins une fois par mois – sans montant minimum.
Devenir leader de la banque en ligne – et être 5x plus grosse que sa première rivale – est un sacré défi. Boursorama Banque y est parvenue en offrant le parfait mix pour de la banque : un compte gratuit, une gamme de produits bancaires complète et une tarification agressive. Les interfaces sont faciles à maitriser pour tout le monde et elles offrent un maximum d’autonomie aux utilisateurs. Si besoin, les conseillers bancaires sont à disposition.
En choisissant de ne pas avoir d’agence physique, Boursorama Banque a fait un choix clivant. Cela lui permet d’économiser des coûts… et les répercuter sur les frais bancaires de ses clients. En moyenne, ils économisent 212 euros de frais bancaires par an par rapport à une banque française moyenne. Il faut aussi noter que la majeure des clients ne paient aucun frais bancaires du tout : le compte et la CB sont gratuits, vous n’avez donc pas de raison d’avoir un quelconque coût si vous avez un usage traditionnel de votre banque.
Pour profiter du Pink Week-end, il faut s’inscrire ici avant le 2 octobre à minuit :
Parmi les opérateurs mobiles du marché, il est parfois difficile de faire un choix. L’offre variée que proposent ces derniers peut facilement devenir un casse-tête pour les personnes à la recherche d’un forfait répondant le mieux à leurs besoins. Cela dit, quelques acteurs du secteur des télécoms se démarquent en proposant des formules dites flexibles qui permettent sur le long terme, de réaliser de vraies économies.
Prixtel, l’opérateur virtuel qui appartient au groupe Altice (SFR) est l’un d’entre eux. Son forfait phare Oxygène vous octroie une souplesse que l’on ne retrouve pas chez Orange, Bouygues ou bien encore Free. Concrètement, ce dernier vous permet de bénéficier d’une enveloppe internet allant de 40 Go à 80 Go, des appels, SMS et MMS en illimité ainsi que de 15 Go à l’étranger, le tout à partir de seulement 7,99 euros par mois.
Profiter du forfait Oxygène de Prixtel
Sans engagement, ce forfait mobile offre un grand confort d’utilisation puisqu’il permet d’avoir accès à une rallonge d’internet lorsque vous en avez besoin – moyennant un petit coût supplémentaire. Dans les faits, le tarif de base de 7,99 euros vous donne droit à 40 Go. Vient ensuite la première rallonge de 20 Go qui, si vous l’utilisez, vous permet d’avoir entre 40 Go et 60 Go pour 10,99 euros.
La seconde rallonge vous permet de monter jusqu’à 80 Go pour 12,99 euros cette fois-ci. Cette dernière est facturée à ce tarif pour une consommation mensuelle comprise entre 60 Go et 80 Go. En somme, on peut considérer qu’il s’agit d’un forfait 3-en-1. L’approche de Prixtel est donc bien plus avantageuse que celle des autres opérateurs qui eux, vous font payer l’intégralité du prix de leur forfait, que vous utilisiez la moitié ou l’intégralité de leur l’enveloppe internet.
Choisir le forfait Oxygène de Prixtel, ce n’est pas seulement faire des économies sur votre facture, mais aussi un geste pour la planète. En effet, l’opérateur est engagé depuis de nombreuses années à réduire son empreinte carbone et par la même occasion la vôtre. L’opérateur est l’un des rares à développer des projets destinés à absorber et réduire l’émission de CO2 émis, liée de près ou de loin à son activité.
En 2022 par exemple, ce dernier a planté une nouvelle forêt de 35 000 arbres dans la région Centre-Val-de-Loire. Cette démarche écologique permettra ainsi de capter 2 700 tonnes de CO2e d’ici 5 ans. Prixtel ne compte d’ailleurs pas s’arrêter en si bon chemin puisque à long terme, son objectif est d’arriver à 0% d’émission de CO2e d’ici 2040.
Profiter du forfait Oxygène de Prixtel
Si vous êtes soucieux de l’impact qu’a l’utilisation de votre forfait mobile sur la planète, vous pouvez consulter depuis votre espace abonné, la quantité de CO2e que vous générez chaque mois. En tant qu’acteur engagé, l’opérateur donne même quelques conseils pour réduire au maximum votre empreinte carbone. Cela passe par l’achat d’un smartphone reconditionné plutôt qu’un neuf, la réparation de ce dernier lorsque c’est possible, tout comme la limitation de votre consommation quotidienne d’internet.
Pour les gros consommateurs d’internet, le forfait Oxygène sera peut-être un peu juste. Heureusement, Prixtel propose une formule qui reprend le même fonctionnement que ce dernier : Le grand. Celui-ci est proposé à partir de 9,99 euros pour 100 Go. Il peut monter jusqu’à 160 Go pour 15,99 euros. De 100 à 130 Go, il vous sera facturé 12,99 euros.
Si vous êtes du genre à télécharger vos films et séries pour les regarder plus tard hors ligne, cette formule sera parfaitement adaptée. Elle vous permettra aussi d’utiliser votre smartphone ou tablette comme routeur internet pour palier à une mauvaise connexion Wifi à la maison. Vous avez les mêmes services que ceux proposés avec le forfait Oxygène, à savoir : 15 Go depuis l’UE/DOM, les appels et SMS/MMS illimités en France et depuis l’UE et les DOM.
On rappelle que Prixtel est un opérateur virtuel. Cela signifie qu’il ne dispose pas de magasins ou boutiques ayants pignon sur rue. Chez lui, tout se passe sur internet, depuis votre espace client ou l’application mobile. Si vous avez une question sur votre forfait mobile, vous pourrez compter sur son service client réputé fiable et réactif, joignable même le week-end, à des horaires flexibles.
Si vous êtes prêt à changer d’opérateur pour vous tourner vers une offre Prixtel, la démarche est simple et rapide. Tout est expliqué en détail sur leur site. Pour garder votre numéro de téléphone, il faudra communiquer votre code RIO au moment de votre inscription. Ce dernier s’obtient facilement, en composant le 3179 depuis votre mobile (appel gratuit). Prixtel se chargera de son transfert et par la même occasion, de la résiliation de votre ancien forfait.
Si vous ne connaissez pas encore CapCut, cet article va vous aider à mieux appréhender cette nouvelle star des applications mobiles. Sachez tout d’abord qu’il s’agit d’un outil de montage et d’éditions de vidéos. Ce logiciel a été développé par ByteDance et lancé en 2019. C’est depuis lors un énorme carton partout dans le monde.
Selon Data.ai, elle est actuellement utilisée par 490 millions d’utilisateurs sur Android et iPhone, soit près de 25 % du nombre de personnes qui utilisent TikTok : 2,1 milliards. D’ailleurs, la filiation entre les deux services est très nette. En effet, les internautes peuvent se connecter à CapCut via leurs comptes TikTok, puis partager leur création sur cette dernière. De quoi bénéficier simplement de sa force de frappe.
Ce lien entre les deux plateformes fait considérablement grimper les chiffres de CapCut qui progresse même hors de ces deux plus gros marchés : les États-Unis et la Chine. L’app performe en effet désormais en Europe, mais aussi en Amérique latine et au Moyen-Orient.
Cette popularité rejaillit sur ses résultats financiers et sa capacité de monétisation. Les analystes précisent en effet que CapCut est le service de montage vidéo le plus rentable avec 50 millions de dollars de dépenses enregistrées au cours du premier trimestre 2023 (+180 % par rapport aux six derniers mois de l’année dernière).
Très loin de s’arrêter en si bon chemin, CapCut a décidé de rajouter des outils d’intelligence artificielle à son offre d’effets et de filtres. C’était notamment le cas en avril dernier sur son app iOS. Cela semble plaire au public, puisque les experts ont noté un pic de téléchargements juste après ce lancement.
Signalons par ailleurs que CapCut est loin d’être la seule offre sur ce marché. On peut notamment citer des alternatives telles que InShot Editeur Vidéo & Montage Vidéo.
Si vous souhaitez en savoir plus sur CapCut, vous pouvez retrouver notre fiche très complète sur cette application mobile. Elle détaille notamment comment vous pouvez profiter au maximum de cet outil d’édition très puissant. De votre côté, utilisez-vous déjà CapCut, et si oui êtes-vous satisfait ? Dites-le-nous dans les commentaires.
Ce qu’il faut retenir :
Dans la revue des «Annales des Mines», qui consacre un numéro à la souveraineté numérique, Jean-Paul Smets, entrepreneur et libriste, dresse un réquisitoire contre le système français du «cloud de confiance» et pointe d’autres discriminations contre les solutions libres.