Outre ses véhicules électriques, Tesla commercialise également depuis quelques années son Powerwall. Concrètement, le Powerwall de Tesla est une batterie qui stocke l’énergie, détecte les pannes de courant et devient automatiquement la source d’énergie du foyer lorsque le réseau est en panne. Rappelons que Tesla ne propose pas que des véhicules électriques, et si le constructeur américain se focalise sur l’électrique, il lui arrive parfois de commercialiser des produits plus “étonnants”, comme ce pack de bières…
Le Powerwall, l’autre succès de Tesla
L’une des grandes forces du Powerwall, c’est de pouvoir être associé à des panneaux solaires, de le recharger avec la lumière du soleil donc, et ainsi pouvoir utiliser ses appareils du quotidien pendant plusieurs jours. De plus, sa conception compacte tout-en-un permet de nombreuses options de montage pour les espaces intérieurs comme extérieurs.
“Utilisez le Powerwall seul ou combinez-le à d’autres produits Tesla pour économiser de l’argent, réduire votre empreinte carbone et préparer votre maison aux pannes de courant” écrit Tesla sur son site web. Et force est d’admettre qu’avec son boitier high-tech, Tesla séduit des centaines de milliers d’utilisateurs à travers le monde. Récemment, le compte Tesla Energy a confirmé l’installation de plus de 750 000 Powerwalls. Evidemment, la firme a d’ores et déjà indiqué son ambition d’atteindre le million d’installations.
Selon divers analystes, ce succès s’explique non seulement par des considérations environnementales et écologiques bien sûr, mais aussi par un réel besoin, notamment dans les régions où les coupures électriques sont fréquentes. De plus, avec l’application Tesla, il est tout à fait possible de suivre en temps réel la production et la consommation d’énergie du foyer. Rappelons toutefois que le prix d’un Tesla Powerwall (installation comprise) dépasse les 10 000 dollars.
Le Powerwall 2 est assorti d’une garantie de 10 ans et compatible avec le réseau pour permettre la vente de l’énergie stockée à la compagnie d’électricité (en fonction des réglementations locales bien sûr).
Dans sa version de seconde génération, le Powerwall est capable de stocker 13,5 kWh, avec la possibilité de cumuler les Powerwalls entre eux (jusqu’à 16 unités). Côté puissance, le modèle actuel plafonne à 7 kW (pic), et à 5 kW en continu. Avec sa troisième génération de Powerwall, Tesla va encore optimiser son produit, puisque la puissance continue va grimper à 11,5 kW. De plus, le Powerwall 3 intégrera un onduleur solaire directement dans son boitier.
Alors qu’Ubisoft est en pleine débâcle financière avec des rumeurs de rachat par un groupe étranger, une autre annonce est tombée comme un coup de tonnerre dans le ciel bleu de Kyoto. Le Public Investment Fund (PIF), fonds souverain de l’Arabie saoudite, envisage d’augmenter sa participation dans Nintendo au-delà des 8,58 % qu’il détient déjà. Cette nouvelle fait trembler le monde du jeu vidéo, soulevant des questions sur l’avenir de l’emblématique entreprise japonaise et les motivations du royaume pétrolier.
Le royaume saoudien, nouveau géant du gaming ?
L’appétit du PIF pour l’industrie du jeu vidéo ne date pas d’hier. Capcom, Nexon, Take Two Interactive, Activision Blizzard… La liste des éditeurs dans lesquels le fonds a investi s’allonge d’année en année. Cette stratégie s’inscrit dans un plan plus large de diversification de l’économie saoudienne, longtemps dépendante du pétrole.
Le prince Faisal bin Bandar bin Sultan Al-Saud, vice-président du PIF, ne cache pas ses ambitions : « Il y a toujours des opportunités », déclare-t-il au Tokyo Game Show. Mais il tempère : « Nous ne voulons rien précipiter. » Cette prudence apparente ne rassure guère les observateurs, qui voient dans ces investissements une manœuvre politique autant qu’économique.
Entre « sportswashing » et soft power
L’Arabie saoudite ne se contente pas d’investir dans les entreprises du secteur. Le royaume multiplie les initiatives pour s’imposer comme un acteur majeur de l’e-sport. L’organisation de l’Esports World Cup à Riyad et l’obtention des Jeux olympiques d’e-sport pour 2025 en témoignent.
Ces événements s’inscrivent dans la stratégie « Vision 2030 » portée par le prince héritier Mohammed Ben Salmane. L’objectif ? Diversifier l’économie, certes, mais aussi redorer l’image du pays sur la scène internationale. Une pratique qualifiée de « sportswashing » par ses détracteurs, qui accusent le royaume d’utiliser le sport et le divertissement pour faire oublier ses violations des droits humains.
L’industrie du jeu face à un dilemme éthique
L’offensive saoudienne place les acteurs du jeu vidéo face à un délicat dilemme. D’un côté, les investissements massifs du PIF offrent des perspectives de croissance alléchantes. De l’autre, l’association avec un régime autoritaire soulève des questions éthiques.
Le cas de Nintendo cristallise ces tensions. Entreprise familiale aux valeurs fortes, le géant japonais se retrouve au cœur d’un enjeu géopolitique. Comment concilier l’afflux de capitaux avec la préservation de son identité et de son indépendance ?
Cette problématique ne se limite pas à Nintendo. Toute l’industrie du jeu vidéo se trouve confrontée à ce questionnement. Entre opportunités économiques et responsabilité morale, le secteur navigue en eaux troubles.
Le fonds souverain saoudien envisage d’augmenter sa participation dans Nintendo, suscitant l’inquiétude de l’industrie du jeu vidéo
Cette stratégie s’inscrit dans un plan de diversification économique de l’Arabie saoudite, accusée de pratiquer le « sportswashing »
L’industrie du gaming fait face à un dilemme entre opportunités financières et considérations éthiques face aux investissements saoudiens
Assurances habitation, santé, auto, on peut chercher longtemps les bonnes nouvelles sur le plan tarifaire, il n’y en a pas. D’après les prévisions de plusieurs cabinets spécialisés, il faut en effet s’attendre à des hausses de prix sensibles sur ces différents dossiers. Petit tour d’horizon.
Les mutuelles vont augmenter
Les tarifs des complémentaires santé risquent d’exploser l’an prochain. L’estimation de la hausse est de 6 à 8 % d’après Facts & Figures, tandis qu’Addatis anticipe de 9 à 11 % d’augmentation.
Parmi les causes évoquées, on trouve la revalorisation des consultations qui passeront à de 26,50 à 30 euros à partir du mois de décembre pour médecins généralistes. Dans le même temps, celles des spécialistes (dermatologues, gynécologues, gériatres etc) vont également être revues à la hausse.
Cité par Le Figaro, Cyrille Chartier-Kastler, fondateur du cabinet de conseil Facts & Figures, commente ainsi : « Les complémentaires-santé individuelles devraient davantage augmenter que les assurances collectives d’entreprises, plus nombreuses ». Il précise que ces hausses sont indépendantes de celles liées au vieillissement de l’assuré. De quoi créer une vraie frustration chez ces derniers.
Flambée des prix des assurances auto
La tendance est la même du côté des primes d’assurance auto qui devraient bondir de 5 à 6 % en 2025. Cité par le site 60 millions de consommateurs, Facts & Figures pointe « la dérive persistante du prix des pièces détachées neuves et la dégradation du comportement des Français au volant depuis le début de l’année ». Et ce malgré la libéralisation du marché en 2023 qui devrait produire des effets positifs prochainement, d’après les experts.
Envolée des tarifs des assurances habitation
Le pire est à venir concernant la multirisque habitation qui devrait voir ses tarifs augmenter de 8 à 20 % l’année prochaine. Cette fois, ce sont les inondations qui se sont multipliées en 2024 qui sont notamment en cause.
D’ailleurs, le gouvernement a décidé d’une hausse du taux de cotisation lié aux catastrophes naturelles payé par les assurés. Ce dernier passera de 12 à 20 % en 2025, ce qui peut s’entendre du fait de l’augmentation des risques liés au changement climatique, mais qui fera aussi grimper la facture des clients.
Ces informations tombent d’autant plus mal que l’on a appris ce matin que le gouvernement étudie l’idée d’augmenter une taxe sur l’électricité. De quoi là encore faire flamber les factures. Pour en savoir plus, vous pouvez aller lire notre article ici.
Avez-vous déjà constaté des augmentations sur les prix de vos assurances ? Dites-le-nous dans les commentaires.
Ce qu’il faut retenir :
Les prix des assurances auto, habitation, et les complémentaires santé vont augmenter en 2025
Divers paramètres expliquent ces hausses
C’est une mauvaise nouvelle pour le pouvoir d’achat des Français
On connaissait déjà cette escroquerie au colis non livré. Elle repose sur un principe simple : vous recevez un SMS frauduleux qui explique que votre livraison est trop grosse pour rentrer dans votre boîte aux lettres. On vous renvoie alors vers un lien qui permet, si vous tombez dans le panneau, de récupérer vos données personnelles, voire de voler directement votre argent. Cette stratégie devient de plus en plus sournoise comme des internautes l’ont expliqué au site signal-arnaques.com.
Des approches de plus en plus ciblées
Concrètement, ces acteurs malveillants vont cette fois intégrer directement le nom de leur cible dans le SMS. De quoi rendre l’approche bien plus crédible que par le passé et inciter la victime à passer à l’action.
Ils l’enjoignent d’ailleurs à « fixer un nouveau rendez-vous » en se rendant sur un site frauduleux. Comme l’ont déjà noté nos confrères de Numerama, ce portail a été créé en début de mois et il a déjà été désactivé par Google.
Quoi qu’il en soit, ce type d’escroqueries semble malheureusement amené à se multiplier prochainement. On a en effet assisté à une explosion des fuites de données au cours des dernières semaines. Les cybercriminels se trouvent donc en possession d’informations sensibles qui peuvent les aider à mieux personnaliser leurs tentatives de phishing.
De bons réflexes à adopter
Si vous recevez un message d’un interlocuteur qui fournit des éléments précis sur vous, il est malheureusement bien plus facile de tomber dans le panneau. Pour éviter le pire, il convient donc d’adopter un certain nombre de réflexes.
Lorsque vous recevez un SMS ou un e-mail, il faut dans tous les cas ne jamais cliquer sur un lien présent dans le message. Vous devriez plutôt vous connecter directement sur votre compte pour vérifier les informations. En cas de doute, n’hésitez pas à contacter l’acteur impliqué avant de procéder à un paiement ou de fournir vos données personnelles.
Vous pouvez aussi vérifier l’orthographe de ces messages qui est parfois douteuse. Malheureusement, les cybercriminels s’appuient de plus en plus sur l’IA pour leur rédaction, si bien qu’on n’y voit souvent que du feu. N’agissez jamais dans l’urgence et prenez toujours le temps de la réflexion.
Enfin, lorsque cela est possible, activez l’authentification multifacteurs sur votre compte. Cette dernière vient en effet compliquer considérablement la tâche de ces acteurs malveillants, ce qui est toujours bon à prendre.
Avez-vous déjà été visé par ce type d’attaques pernicieuses ? Dites-le-nous dans les commentaires.
Le piratage de rencontres sportives bat son plein en France et dans le reste du monde. Dans ce contexte, les IPTV illégales connaissent un franc succès, ce qui a le don de faire enrager les diffuseurs qui cherchent des solutions.
Et justement, l’Alliance anti-piratage audiovisuel (AAPA), une organisation qui regroupe les grandes ligues de football européennes et des groupes comme Canal+ et beIN, vient de publier un manifeste rempli de recommandations à destination des décideurs de l’Union européenne.
Prendre des mesures contre « le vol numérique »
La directrice exécutive de l’AAPA, Miruna Herovanu, ne tourne d’ailleurs pas autour du pot :
Après des années de travail préparatoire pour lutter contre le piratage en ligne, il est temps que les décideurs politiques de l’UE et au-delà reconnaissent pleinement que des mesures décisives et ciblées sont nécessaires au niveau européen. La montée du vol numérique exige des mesures.
Parmi les nombreux dispositifs envisagés par ces organisations, l’un d’eux retient l’attention. On sait en effet qu’il existe déjà des outils légaux permettant aux ayants droit d’obtenir des décisions de justice enjoignant les fournisseurs d’accès à Internet à bloquer l’accès aux sites illégaux.
L’ AAPA veut aller beaucoup plus loin et impliquer d’autres acteurs dans cette répression :
Conformément à la codification de la jurisprudence existante de la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) une injonction en vertu de l’article 8.3 de la directive Info Soc est disponible contre tous les intermédiaires dont les services sont utilisés pour enfreindre les droits de propriété intellectuelle, y compris (mais sans s’y limiter) les fournisseurs de paiement, les sociétés de publicité, les moteurs de recherche, les navigateurs Internet, les fournisseurs de VPN (Virtual Private Network), les résolveurs DNS alternatifs et les bureaux d’enregistrement de domaines.
Haro sur les VPN et les DNS
Comme le font remarquer à juste titre nos confrères de Torrent Freak, cette prise de position tombe en même temps qu’une nouvelle législation adoptée en Italie qui force les VPN à bloquer les contenus pirates. De fait, ces services sont souvent utilisés pour contourner les mesures de blocages, ce qui a tendance à faire enrager les acteurs concernés.
Notons que ces plateformes sont de plus en plus dans le viseur des autorités. Dans un récent rapport, l’Arcom a d’ailleurs dit souhaiter une plus grande implication « des fournisseurs de VPN et de DNS alternatifs dans l’application de la loi, aux côtés des FAI ». Vous pouvez relire notre article qui aborde cette problématique ici.
Que pensez-vous de ces pistes, et estimez-vous qu’elles ont une chance de fonctionner contre le piratage ? Dites-le-nous dans les commentaires.
Il fût un temps où Ubisoft rimait avec innovation, succès et qualité. En effet, si dans les années 1980, l’éditeur lançait de nombreux titres à destination des Amstrad CPC, Amiga et autres Atari ST, dès 1995, Ubisoft connait un énorme succès avec Rayman, puis avec l’édition de titres comme Grandia, Rainbow Six, Ape Escape 2, Ghost Recon, Largo Winch sans oublier évidemment l’excellent Splinter Cell en 2002., ou encore le reboot de Prince of Persia, l’adaptation de King Kong ainsi qu’Assassin’s Creed.
Les meilleures consoles
Ubisoft bientôt racheté par son partenaire chinois Tencent ?
Malheureusement (pour Ubisoft comme pour les joueurs), la réputation de l’éditeur va progressivement se tarir, la faute à de (trop) nombreuses suites souvent sans saveur (Far Cry, Assassin’s Creed…), mais aussi à des jeux moins ambitieux, dont la qualité, à leur sortie du moins, laisse souvent à désirer. Aussi, de nombreux joueurs ont pris pour habitude de ne pas acheter les jeux Ubisoft à leur sortie, préférant patienter pour une baisse de prix, mais aussi le déploiement de diverses mises à jour visant à optimiser le jeu en question.
En 2024, la situation d’Ubisoft est plus catastrophique que jamais. Après un Prince of Persia: The Lost Crown réussi, mais dont les ventes ont clairement souffert du syndrome évoqué ci-dessus, mais aussi un Skull and Bones catastrophique, Ubisoft misait gros sur le récent Star Wars Outlaws. Toutefois, à l’instar des dernières productions du géant français, ce dernier s’est avéré “correct, mais sans plus“, tout en souffrant de nombreux défauts à son lancement, dont un bug majeur ayant imposé à certains joueurs de redémarrer leur partie depuis le début. Pas encore de quoi redorer le blason de la marque donc…
Avec Assassin’s Creed Shadows, Ubisoft devait redresser la barre. Seulement voilà, avant même sa sortie, prévue initialement en novembre, le jeu a enchainé les maladresses, les polémiques et les erreurs historiques, contraignant finalement Ubisoft à décaler sa sortie au 14 février 2025.
Evidemment, en bourse, Ubisoft a connu une dégringolade historique ces dernières années, le titre passant même en dessous des 10€ le 26 septembre dernier, soit son niveau le plus bas. Ce dernier est subitement remonté à 14€ vendredi 4 octobre, bien aidé par… une rumeur de rachat.
Car oui, selon Bloomberg, la famille Guillemot et le chinois Tencent (qui représentent à eux deux 25% des actions Ubisoft) envisageraient un rachat du géant français. Ce n’est pas la première fois que le groupe Ubisoft est au coeur d’un rachat éventuel, et cela était déjà le cas en 2016, avec des rumeurs de rachat par le groupe Vivendi. Rappelons que Ubisoft compte un peu moins de 20 000 salariés dans le monde, soit nettement plus que des géants comme Electronic Arts ou encore Sony Interactive Entertainment.
Outre les soucis financiers, Ubisoft va également devoir gérer les tensions sociales au sein de son entreprise, puisque des syndicats ont appelé à une grève de trois jours à partir du 15 octobre, dénonçant (entre autres) une politique de retour au bureau jugée trop stricte. Reste à savoir maintenant comment (et si) Ubisoft va parvenir à redonner des couleurs à son célèbre logo, devenu bien triste d’ailleurs depuis l’introduction de la nouvelle “identité” de la marque en 2017.
Le réseau social Facebook est en train de rajeunir son audience. Au mois de juin, le réseau social indiquait compter 40 millions d’utilisateurs journaliers âgés entre 18 ans et 29 ans, le plus haut niveau sur 4 ans. Cité par Reuters, un représentant de Facebook avait également évoqué “cinq trimestres de croissance saine de l’utilisation de l’application” par les jeunes adultes.
En d’autres termes, Facebook est de moins en moins un réseau social de vieux en Amérique du Nord, son marché domestique. Et celui-ci va capitaliser sur cette croissance de l’utilisation de son app par les jeunes adultes en introduisant de nouvelles fonctionnalités pensées principalement pour cette tranche de la population.
De nouveaux onglets
“Nous ajoutons des fonctionnalités qui aident les jeunes adultes – et tous les utilisateurs de Facebook – à explorer leurs centres d’intérêt et à se connecter avec le monde au-delà de leurs amis proches”, annonce le réseau social. Parmi les nouveautés testées par Facebook, il y a un onglet “Local” qui, comme son nom l’indique, mettra en avant des contenus locaux. Ces contenus peuvent provenir de plusieurs sources, dont les groupes, Marketplace et les événements. Cette nouveauté est actuellement testée dans quelques villes américaines. Et en plus du nouvel onglet, Facebook a aussi développé un résumé des événements locaux pour la semaine et pour le weekend.
Today at our Facebook IRL event in Austin, we shared new developments for the future of @Facebook and @Messenger, and introduced updates that expand how people can explore their interests and connect with the world around them.https://t.co/QtmW8Mv8rH
“Dans cette nouvelle section, nous pouvons faire apparaître des événements locaux, des groupes intéressants, des personnes, des entreprises, des objets à vendre – pour vous aider à vous connecter avec plus de personnes et à découvrir des informations qui vous aideront à passer à l’étape suivante avec votre nouvelle communauté”, indique le réseau social. En plus de l’onglet pour les contenus locaux, Facebook teste aussi un espace baptisé Explore qui est dédié aux centres d’intérêt de l’utilisateur.
Une nouvelle interface pour les vidéos
D’après Facebook, les jeunes adultes passent 60 % de leur temps sur l’app à regarder des vidéos. Et plus de la moitié des jeunes adultes regardent des vidéos Réels tous les jours. Et pour qu’il soit plus facile pour les utilisateurs de trouver les vidéos Réels (et les autres types de vidéo), Facebook a décidé de transformer l’onglet vidéo en une expérience plein écran. L’objectif est de donner une place plus importante aux vidéos Réel (un format inspiré de TikTok) sur l’app.
Pour le moment, on ne sait pas quand ces nouveautés pourraient débarquer en France.
Facebook est de moins en moins un réseau social de vieux, puisque le nombre de jeunes adultes utilisant l’app quotidiennement est en augmentation en Amérique du nord
Pour capitaliser sur cette croissance, Facebook a annoncé quelques changements, dont deux nouveaux onglets pour recommander du contenu
Le réseau social souhaite aussi donner une place plus importante aux vidéos Réels sur son application
Maintenant que l’iPhone 16 est disponible, les médias s’intéressent un peu plus aux prochaines nouveautés de la firme de Cupertino. En effet, il se murmure depuis un moment qu’Apple va organiser un autre keynote ce mois d’octobre pour présenter de nouveaux Mac et de nouveau iPad. Et dans sa dernière newsletter, le journaliste Mark Gurman (Bloomberg), qui est généralement une source bien informée, a publié la liste des nouveaux produits qu’Apple devrait lancer avant la fin de l’année, ainsi que les nouveautés qui arriveraient au premier semestre 2025.
D’après Gurman, voici les produits qui devraient être annoncés durant l’événement de ce mois d’octobre (le journaliste précise qu’au moins l’un de ces produits pourrait être disponible dès le premier novembre) :
Un MacBook Pro d’entrée de gamme de 14 pouces avec la puce M4
De nouveaux MacBook Pro de gamme supérieure avec des écrans de 14 pouces et de 16 pouces, et les puces M4
Les nouveaux Mac mini avec un nouveau design et disponibles avec la puce M4 ou la puce M4 Pro
Un nouvel iMac avec puce M4
Un nouvel iPad mini
Sinon, pour le premier semestre 2025, voici la liste des produits qu’Apple prévoirait de sortir :
Des MacBook Air M4 avec des écrans de 13 pouces et de 15 pouces
Le nouvel iPhone SE
De nouveaux iPad Air avec écrans de 11 pouces et de 13 pouces
De nouveaux claviers Magic Keyboard pour ces nouveaux MacBook Air
Une nouvelle version de la balise AirTag
Dans sa newsletter, Mark Gurman précise que de nouveaux Mac Studio et Mac Pro sont aussi en développement. Mais ce développement prendrait un peu plus de temps.
Apple : vers une nouvelle stratégie
En tout cas, d’après le journaliste de Bloomberg, un changement de stratégie serait en cours chez Apple. En substance, la firme aurait aujourd’hui tendance à lancer un nouveau produit quand celui-ci est prêt, ou à ne pas sortir une nouveauté si celle-ci n’a pas encore été finalisée, au lieu de s’imposer un rythme annuel.
D’ailleurs, Apple aurait déjà commencé à dévier de son ancienne stratégie en présentant de nouveau iPad au mois de mai, ou en lançant de nouveaux Mac et le nouvel HomePod en janvier 2023. Par ailleurs, Mark Gurman rappelle aussi qu’Apple a présenté de nouveaux MacBook Air en juin 2023.
Cette nouvelle approche serait plus facile à gérer, pour Apple, qui nous a habitués à de grands lancements en automne.
Apple Intelligence arriverait le 28 octobre
Sinon, la newsletter de Mark Gurman évoque aussi la sortie d’Apple Intelligence. Pour rappel, cette nouveauté n’est pas encore disponible sur la version stable d’iOS 18. Mais elle sera déployée sur les modèles compatibles via la mise à jour iOS 18.1. Et d’après Gurman, cette mise à jour arriverait le 28 octobre. Malheureusement, ce lancement ne concerne pas les iPhone et les iPad utilisés dans l’Union européenne. En effet, dans l’UE, Apple est soumis à des règles supplémentaires auxquelles il devra se conformer avant de proposer Apple Intelligence sur iOS et iPadOS (macOS n’est pas concerné par ces règles).
Après avoir lancé l’iPhone 16, Apple devrait organiser un nouvel événement ce mois d’octobre
Et dans sa dernière newsletter, le journaliste Mark Gurman (Bloomberg) publie la liste des nouveautés qu’Apple devrait présenter durant cet événement, ainsi qu’une liste des nouveautés Apple qui devraient débarquer au premier semestre 2025
Celui-ci indique par ailleurs qu’Apple tendrait à adopter des calendriers plus souples pour la sortie de ses nouveaux produits
D’un coté, le roi des dinosaures (Tyrannosaurus rex), de l’autre, le Mégalodon, (Otodus megalodon) un requin gigantesque, seigneur des océans primitifs. Ces deux géants, séparés par des millions d’années et des environnements radicalement différents, ont dominé leurs mondes en tant que superprédateurs. Le T. rex régnait sur les terres du Crétacé (145 millions d’années à 66 millions d’années avant notre ère), tandis que le Mégalodon terrorisait les milieux aquatiques bien plus tard, au début du Miocène (23 millions d’années et 5,3 millions d’années avant notre ère).
Si l’on devait s’amuser à les faire s’affronter, comment peut-on les comparer en termes de taille, de puissance et de capacités de chasse ?
Des mondes et des époques distincts
Le Tyrannosaurus rex a arpenté ce qui est aujourd’hui l’ouest des États-Unis, il y a environ 68 à 66 millions d’années. Contrairement à l’aridité actuelle de ces régions, son habitat était alors subtropical, rappelant les bayous de Louisiane (chenaux d’eau douce qui serpentent à travers les marais au sud des USA). Ce carnivore vorace se nourrissait d’une grande variété de proies, des petits dinosaures aux crocodiles, sans oublier quelques mammifères primitifs.
Le Mégalodon, quant à lui, a régné bien plus tard, de 23 à 3,6 millions d’années avant l’apparition de l’espèce humaine. Ce requin colossal, le plus grand poisson ayant jamais existé, sillonnait presque tous les océans du globe, à l’exception des eaux polaires. Son régime alimentaire incluait de grands mammifères marins et diverses espèces de poissons. Peu de proies lui échappaient.
Le choc des titans : une question de taille et de force
La différence de taille entre ces deux prédateurs est saisissante. Selon les estimations basées sur ses dents fossilisées, le Mégalodon pouvait atteindre une longueur d’environ 20 mètres, soit la taille d’un semi-remorque. Le T. rex, bien qu’imposant, ne mesurait « que » 12 mètres de long. Cependant, comme le souligne Scott Persons, professeur assistant de paléontologie au College of Charleston, la taille supérieure du Mégalodon est en partie due à la flottabilité de l’eau qui soulage les contraintes de la gravité.
En termes de puissance de morsure, accrochez-vous bien. Le Mégalodon l’emporte haut la main avec une force estimée à 133 500 newtons, contre 53 000 à 35 500 newtons pour le T. rex. La morsure d’un Mégalodon équivaut donc au poids de deux grands éléphants adultes et est plus de sept fois plus puissante que celle d’un grand requin blanc (Carcharodon carcharias). Comparée à celle d’un Homme, sa puissance est multipliée par un facteur compris entre 190 et 267. Pour une échelle concrète, c’est comme si environ 200 humains mordaient simultanément avec toute leur force concentrée au même endroit !
Vitesse et agilité : l’avantage terrestre
La vitesse de ces prédateurs fait l’objet de débats animés parmi les paléontologues. Le Mégalodon, handicapé par la résistance de l’eau, aurait probablement atteint une vitesse maximale d’approximativement 18 km/h. Le T. rex, bien que sa capacité à courir soit controversée, aurait pu, selon certains experts comme Persons, atteindre des vitesses de pointe autour de 40 km/h.
Cette différence de vélocité s’explique par leurs environnements respectifs : le milieu aquatique du Mégalodon offrait plus de résistance, tandis que le T. rex évoluait sur la terre ferme, lui permettant potentiellement des déplacements plus rapides malgré sa bipédie et sa masse imposante.
Chacun de ces titans préhistoriques était parfaitement adapté à son environnement, dominant la chaîne alimentaire de son époque. Le T. rex, plus petit, mais probablement plus agile, disposait d’une force de morsure redoutable, bien qu’inférieure à celle du Mégalodon. Ce dernier, véritable colosse des mers, compensait sa lenteur relative par une puissance de mâchoire inégalée. La comparaison est donc difficile : un Mégalodon dans la savane n’aurait aucune chance contre un T-rex, tout comme un T-rex serait rapidement dépassé par un Mégalodon en pleine mer.
Dans tous les cas, estimons-nous heureux de ne pas avoir foulé le sol ou nagé en pleine mer en leur compagnie. Le T. rex fut victime de l’extinction massive du Crétacé-Paléogène, causée par un astéroïde, tandis que le Mégalodon succomba probablement à la concurrence d’autres prédateurs marins. La nature est bien faite.
Le Mégalodon est beaucoup plus grand, atteignant 20 mètres, contre 12 mètres pour le T. rex.
Le Mégalodon l’emporte avec une morsure d’une puissance de 133 500 newtons, tandis que celle du T. rex est de 35 500 à 53 000 newtons.
Le T. rex était plus rapide et agile sur terre, avec une vitesse estimée à 40 km/h, tandis que le Mégalodon était limité par la résistance de l’eau, atteignant 18 km/h.
Depuis sa sortie il y a dix ans, l’Apple Watch est devenue la montre la plus vendue au monde. Une prouesse qu’Apple doit à son audace, sa créativité et son sens de l’innovation, le tout saupoudré d’un savoir-faire marketing unique.
Pour les dix ans de l’Apple Watch, on attendait donc un peu de nouveauté, la montre Pommée n’ayant pas beaucoup évolué en 10 ans. La keynote d’Apple nous a fait l’effet d’une douche froide. Sur le papier, la Watch 10 n’évolue que très peu par rapport à la Watch 9. Une mauvaise impression ? Pour le savoir, nous avons enfilé l’Apple Watch Series 10 pendant deux semaines. Découvrez notre test complet.
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Ce qu’on a aimé de l’Apple Watch Series 10
Son design plus fin et son poids plume
Enfin ! L’Apple Watch « classique » change enfin de look. Enfin presque. Ne vous attendez pas à une franche évolution, Apple a choisi de conserver les mêmes lignes que les générations précédentes. On retrouve donc ce cadran rectangulaire aux coins arrondis avec la couronne de contrôle sur le côté. Le système d’attache est aussi le même, celui de navigation aussi.
En revanche, Apple a revu la conception en profondeur pour proposer une montre à la fois plus légère et plus fine. Ainsi, le haut-parleur et les antennes ont été repositionnés, la couronne digitale, l’écran en verre et le processeurs S10 affinés.
En résulte une montre de 9,7 mm d’épaisseur pour seulement 35 g (dans la version GPS/Cellular en 42 mm). Cela représente une fonte de 10% pour la version aluminium et 20% pour la version titane. Cela peut sembler anecdotique mais au quotidien, cette cure de minceur se ressent, à tel point que l’on oublie parfois que l’on porte une montre.
Son plus grand écran
Le boîtier de l’Apple Watch Series 10 change (disponible en 42 et 46 mm) alors son écran aussi. Et ce n’est pas trop tôt. Sur la version 42 mm, le gain d’espace est de l’ordre de 9% par rapport à la Series 9, 30% par rapport à la Series 6 et 75% par rapport à la Series 3 ! La version 46 mm bat même tous les records de taille chez Apple. L’écran y est 3% plus grand que celui de l’Apple Watch Ultra 2.
Ce gain d’espace se traduit logiquement par un meilleur confort de lecture. La navigation est aussi plus agréable. Nous avons par exemple pu répondre à des messages en quelques mots avec beaucoup plus d’aisance que sur les versions précédentes.
L’écran OLED de la Watch Series 10 est aussi plus lumineux. Il peut atteindre 2 000 nits (l’iPhone 16 par exemple ne dépasse pas les 1 600 nits) et descendre jusqu’à 1 nit pour éviter de s’abîmer les yeux dans les environnements sombres ou au réveil. Le taux de rafraîchissement épouse aussi les standards actuels : il varie de 1 à 120 Hz selon les interactions que l’on a avec la montre. Du tout bon.
L’apnée du sommeil
Chaque année, Apple propose une petite fonctionnalité santé/sport afin de justifier le passage à la génération suivante. L’Apple Watch 10 inaugure la détection de l’apnée du sommeil, un mal de plus en plus répandu (ou repéré).
Pour détecter l’apnée du sommeil, l’Apple Watch Series 10 exploite les données recueillies par l’accéléromètre ensuite analysées et traitées par la puce S10, identique à la S9. C’est d’ailleurs pour cette raison que la Watch Series 9 et la Watch Ultra 2 peuvent aussi profiter de cette fonctionnalité.
Avant d’être alerté par une éventuelle apnée, l’utilisateur doit d’abord habituer la montre à ses cycles de sommeil. Il faut donc dormir avec la Watch Series 10 pendant 30 jours avec au moins 10 nuits non consécutives. Ne souffrant pas d’apnée du sommeil, nous n’avons pas pu tester l’efficacité du système mais nous avons récemment trouvé un cobaye prêt à tenter l’expérience. Nous mettrons donc à jour ce test afin de partager ses retours.
La charge plus rapide
Si l’autonomie de l’Apple Watch 10 ne bouge pas d’un poil (nous y reviendrons), la vitesse de recharge, elle, évolue. Apple promet de retrouver 80% d’autonomie en 30 minutes de charge et 8 heures d’utilisation en 15 minutes. Des chiffres que nos tests confirment.
Avec l’arrivée de l’apnée du sommeil, le suivi de ces données pourrait bien s’étendre auprès de plus d’utilisateurs. Encore faut-il que la montre ait assez d’énergie pour tenir la nuit entière. Grâce à la charge rapide, même en cas de batterie épuisée, une charge de 8 minutes permet d’assurer le suivi du sommeil pendant 8 heures. Idem en cas de soirée qui pourrait se prolonger tard dans la nuit. On ne peut qu’apprécier.
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Ce qu’on a moins aimé
L’autonomie toujours limitée à une journée
Voilà maintenant dix longues années que l’autonomie de l’Apple Watch ne s’améliore pas. Et cette génération ne changera pas cet état de fait. La Series 10 tient toujours 18 heures maximum en utilisation continue sans trop forcer sur les activités sportives ou le GPS. Elle peut monter jusqu’à 36 heures avec les modes d’économie d’énergie, comme les précédentes générations.
Il nous semble regrettable qu’Apple n’ait toujours pas réussi à optimiser l’autonomie de sa montre. Si l’on pouvait autrefois mettre cela sur le compte des limites technologiques, ce n’est plus vraiment le cas en 2024. Certains constructeurs parviennent en effet à proposer des modèles aux dimensions tout aussi contenues mais bien plus endurants. Apple préfère ajouter de nouvelles fonctionnalités chaque année. Un choix compréhensible mais pas acceptable pour autant.
Peu de changements depuis des années
Le principal problème de l’Apple Watch Series 10 est le même que celui des derniers iPhone 16 : elle n’apporte pas de grand changement par rapport aux générations précédentes. Cela est d’autant plus triste qu’elle est le modèle fêtant les dix ans de l’Apple Watch.
Ainsi, la Watch Series 9 lancée l’année dernière n’a rien à lui envier, à l’exception de son écran plus grand et de sa recharge plus rapide. Car, nous le rappelons, la détection de l’apnée du sommeil, principale nouveauté technique de la Watch 10, est disponible sur la Series 9.
Ces évolutions mineures posent deux problèmes, le plus évident étant le manque d’attrait pour la nouveauté, surtout qu’Apple continue de vendre sa montre pas loin de 500 euros. Un peu de créativité ne ferait donc pas de mal, notamment en matière de design. Il en faut plus qu’un coloris noir de jais pour nous satisfaire.
Surtout, ces infimes améliorations posent la question du rythme de sortie annuelle.Apple, qui se fait le chevalier vert de la tech, continue de maintenir ce rythme de sortie qui n’a plus aucune raison d’exister, si ce n’est continuer à engranger des profits afin de satisfaire les actionnaires.
Il serait peut-être temps de reconsidérer cette façon de vendre la tech, car les consommateurs, eux, sont près à changer leurs habitudes. Pour preuve, alors que le marché des smartphones a baissé en volume ces dernières années, celui du reconditionné à explosé.
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Notre avis sur l’Apple Watch Series 10
En soi, l’Apple Watch Series 10 est une très bonne montre connectée. Toujours aussi efficace pour le suivi de la santé et de l’activité sportive (à condition d’avoir un iPhone), cette nouvelle version est plus légère et plus confortable à utiliser grâce à son écran plus grand. La recharge plus rapide est aussi bienvenue, tout comme la fonction de détection de l’apnée du sommeil.
Malgré tout, on ne peut s’empêcher de ressentir une certaine lassitude. Apple continue de proposer peu ou proue la même chose chaque année, sans artifices, sans surprise, sans audace. Cela est d’autant plus regrettable que ce modèle incarne la version anniversaire des dix ans. On aurait pensé que la fête serait plus folle.